Lettre n° 2271
Par la grâce de D.ieu,
20 Mar’hechvan 5714,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva et du Talmud Torah
de Kfar ‘Habad, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre question. Vous me dites que vous vous interrogez, à propos de certaines classes, dans lesquelles la langue d’étude était, jusqu’à ce jour, le Yiddish. Pour différentes raisons, que vous mentionnez dans votre lettre, vous vous demandez ce qu’il y a lieu de faire, à la prochaine rentrée et vous sollicitez mon avis.
Malgré les raisons invoquées, il est nécessaire que les études se poursuivent en Yiddish, comme c’était le cas jusqu’à maintenant. Vous voyez de quelle manière les forces négatives luttent à propos de chaque détail, sont prêtes à tout pour obtenir la victoire. Ce qui est, chez nous, un élément constitutif de la Torah ne serait donc pas comparable à ce qui fait l’objet de leurs préoccupations ?
Or, vous savez que toutes les pratiques doivent être maintenues, même s’il s’agit de la couleur des lacets et, combien plus, pour tout ce qui concerne l’éducation. Il est difficile de prévoir les conséquences que peut avoir la moindre modification, intervenant pendant les années de l’enfance, sur tout le reste de l’existence. Pour des personnes comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus.
Avec ma bénédiction de réussite dans votre mission sacrée et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
20 Mar’hechvan 5714,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva et du Talmud Torah
de Kfar ‘Habad, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre question. Vous me dites que vous vous interrogez, à propos de certaines classes, dans lesquelles la langue d’étude était, jusqu’à ce jour, le Yiddish. Pour différentes raisons, que vous mentionnez dans votre lettre, vous vous demandez ce qu’il y a lieu de faire, à la prochaine rentrée et vous sollicitez mon avis.
Malgré les raisons invoquées, il est nécessaire que les études se poursuivent en Yiddish, comme c’était le cas jusqu’à maintenant. Vous voyez de quelle manière les forces négatives luttent à propos de chaque détail, sont prêtes à tout pour obtenir la victoire. Ce qui est, chez nous, un élément constitutif de la Torah ne serait donc pas comparable à ce qui fait l’objet de leurs préoccupations ?
Or, vous savez que toutes les pratiques doivent être maintenues, même s’il s’agit de la couleur des lacets et, combien plus, pour tout ce qui concerne l’éducation. Il est difficile de prévoir les conséquences que peut avoir la moindre modification, intervenant pendant les années de l’enfance, sur tout le reste de l’existence. Pour des personnes comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus.
Avec ma bénédiction de réussite dans votre mission sacrée et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,