Lettre n° 2276
Par la grâce de D.ieu,
26 Mar’hechvan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du vendredi de la Parchat ‘Hayé Sarah et je réponds à votre interrogation. Votre sœur est mariée au frère de votre fiancée et vous me demandez ce que j’en pense, car votre fiancée appartient à une famille érudite et pudique.
Cette question est évoquée dans le testament de Rabbi Yehouda le ‘Hassid, au paragraphe 33. L’explication, à ce sujet, figure dans les Pisskeï Dinim du Tséma’h Tsédek, partie Yoré Déa, page 213a. Le Tséma’h Tsédek indique qu’il a lui-même adopté un tel comportement en mariant son fils et sa fille à une fille et à un fils(1). Vous consulterez le long développement qui est donné à ce sujet.
Ce problème est également traité par le Chiveim Temarim, qui commente le testament de Rabbi Yehouda le ‘Hassid et par le Otsar Ha Posskim, imprimé à Jérusalem, Even Haézer, pratiquement à la conclusion du second chapitre.
Concrètement, il s’agit d’une bonne proposition(2) et votre couple sera béni. Toutefois, il serait bon que vous, c’est-à-dire vos deux couples, ne résidiez pas dans la même ville(3) ou, en tout cas, pas dans le même quartier. Cette précaution est demandée lorsque deux frères épousent deux sœurs. Combien plus est-elle efficace pour un fils et une fille qui épousent une fille et un fils, cas plus ordinaire, pour lequel aucune restriction n’est introduite, comme le disent les Décisionnaires, à ces références, que vous consulterez.
Puisse D.ieu faire que votre union soit célébrée en un moment bon et fructueux et que vous bâtissiez un foyer ‘hassidique.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) C’est-à-dire à une sœur et un frère.
(2) Cette union est positive.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°1707.
26 Mar’hechvan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du vendredi de la Parchat ‘Hayé Sarah et je réponds à votre interrogation. Votre sœur est mariée au frère de votre fiancée et vous me demandez ce que j’en pense, car votre fiancée appartient à une famille érudite et pudique.
Cette question est évoquée dans le testament de Rabbi Yehouda le ‘Hassid, au paragraphe 33. L’explication, à ce sujet, figure dans les Pisskeï Dinim du Tséma’h Tsédek, partie Yoré Déa, page 213a. Le Tséma’h Tsédek indique qu’il a lui-même adopté un tel comportement en mariant son fils et sa fille à une fille et à un fils(1). Vous consulterez le long développement qui est donné à ce sujet.
Ce problème est également traité par le Chiveim Temarim, qui commente le testament de Rabbi Yehouda le ‘Hassid et par le Otsar Ha Posskim, imprimé à Jérusalem, Even Haézer, pratiquement à la conclusion du second chapitre.
Concrètement, il s’agit d’une bonne proposition(2) et votre couple sera béni. Toutefois, il serait bon que vous, c’est-à-dire vos deux couples, ne résidiez pas dans la même ville(3) ou, en tout cas, pas dans le même quartier. Cette précaution est demandée lorsque deux frères épousent deux sœurs. Combien plus est-elle efficace pour un fils et une fille qui épousent une fille et un fils, cas plus ordinaire, pour lequel aucune restriction n’est introduite, comme le disent les Décisionnaires, à ces références, que vous consulterez.
Puisse D.ieu faire que votre union soit célébrée en un moment bon et fructueux et que vous bâtissiez un foyer ‘hassidique.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) C’est-à-dire à une sœur et un frère.
(2) Cette union est positive.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°1707.