Lettre n° 2300
Par la grâce de D.ieu,
16 Kislev 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Its’hak Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 10 Kislev. J’y ai lu avec satisfaction que vous allez mieux et que vous êtes satisfait de votre sort. Puisse D.ieu faire que se développent ce sort et cette joie.
Vous évoquez le fait de parler pendant la prière. Vous savez à quel point les premiers Sages, ont mis en garde contre cela, pendant de nombreuses générations. En outre, vous avez sûrement eu connaissance du récit de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon lequel, étant enfant, il posa la question suivante à son père, le Rabbi : “ Pourquoi l’homme fut-il créé avec deux yeux ? ”. Son père lui répondit que l’œil droit(2) servait à observer son prochain de manière généreuse, alors que l’on devait considérer de l’œil gauche(3) les plaisirs de ce monde.
Si vous tenez compte du fait que cette prière s’insère dans les activités commerciales et les préoccupations de ce monde, que l’on doit interrompre pour s’adresser au Saint béni soit-Il, vous renforcerez le côté positif par rapport à l’autre(4). Ainsi, vous vous rapprocherez des Injonctions de notre sainte Torah, y compris dans votre existence quotidienne.
Bien évidemment, il n’est pas toujours nécessaire de rendre cela(5) public, car on pourrait en faire usage pour cautionner une telle attitude(6). Mais, vous-même devez avoir conscience qu’il faut considérer l’autre avec bienveillance. Cette idée vous aidera à y parvenir.
Je vous joins ce qui a été imprimée(7) à l’occasion de la fête de la libération du 19 Kislev, qui approche. De fait, le contenu de ce texte est valable tout au long de l’année.
Avec ma bénédiction de bonne santé,
Notes
(1) Le Rav I. Y. Nelson.
(2) Celui de la bonté.
(3) Celui de la sévérité.
(4) Vous considérerez avec bienveillance ceux qui font l’effort d’interrompre leurs activités pour prier, même s’ils parlent.
(5) La nécessité de considérer l’autre avec bienveillance.
(6) Le fait de parler pendant la prière.
(7) Le discours ‘hassidique intitulé “ Il a libéré mon âme dans la paix ” de 5704.
16 Kislev 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Its’hak Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 10 Kislev. J’y ai lu avec satisfaction que vous allez mieux et que vous êtes satisfait de votre sort. Puisse D.ieu faire que se développent ce sort et cette joie.
Vous évoquez le fait de parler pendant la prière. Vous savez à quel point les premiers Sages, ont mis en garde contre cela, pendant de nombreuses générations. En outre, vous avez sûrement eu connaissance du récit de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon lequel, étant enfant, il posa la question suivante à son père, le Rabbi : “ Pourquoi l’homme fut-il créé avec deux yeux ? ”. Son père lui répondit que l’œil droit(2) servait à observer son prochain de manière généreuse, alors que l’on devait considérer de l’œil gauche(3) les plaisirs de ce monde.
Si vous tenez compte du fait que cette prière s’insère dans les activités commerciales et les préoccupations de ce monde, que l’on doit interrompre pour s’adresser au Saint béni soit-Il, vous renforcerez le côté positif par rapport à l’autre(4). Ainsi, vous vous rapprocherez des Injonctions de notre sainte Torah, y compris dans votre existence quotidienne.
Bien évidemment, il n’est pas toujours nécessaire de rendre cela(5) public, car on pourrait en faire usage pour cautionner une telle attitude(6). Mais, vous-même devez avoir conscience qu’il faut considérer l’autre avec bienveillance. Cette idée vous aidera à y parvenir.
Je vous joins ce qui a été imprimée(7) à l’occasion de la fête de la libération du 19 Kislev, qui approche. De fait, le contenu de ce texte est valable tout au long de l’année.
Avec ma bénédiction de bonne santé,
Notes
(1) Le Rav I. Y. Nelson.
(2) Celui de la bonté.
(3) Celui de la sévérité.
(4) Vous considérerez avec bienveillance ceux qui font l’effort d’interrompre leurs activités pour prier, même s’ils parlent.
(5) La nécessité de considérer l’autre avec bienveillance.
(6) Le fait de parler pendant la prière.
(7) Le discours ‘hassidique intitulé “ Il a libéré mon âme dans la paix ” de 5704.