Lettre n° 2303
Par la grâce de D.ieu,
18 Kislev 5714,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 16/11. Lorsque je me trouverai près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai tous les noms que vous me transmettez, afin que leurs besoins soient satisfaits.
Je vous ai déjà fait remarquer une fois que vous devez parler à votre fille des lois que toutes les femmes juives doivent connaître, en particulier celles du Mikwé et de la pureté familiale. En effet, vous m’écrivez qu’elle est fiancée.
Pour l’heure, je n’ai reçu, de votre part, aucune réponse, à ce sujet. Je voudrais donc vous souligner encore une fois qu’il n’y a pas lieu d’être gêné d’évoquer de tels sujets(1), car ils ont une implication pour les enfants et les petits-enfants, conditionnent le bonheur, physique et moral.
Les parents s’efforcent d’assurer la subsistance matérielle de leurs enfants et ils doivent aussi leur garantir une existence morale saine et heureuse, mais non, ce qu’à D.ieu ne plaise…(2).
J’ai bon espoir que vous interviendrez en ce sens, par les différents moyens appropriés et avec l’énergie qui convient. Que D.ieu vous confère la réussite.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2266.
(2) L’inverse de cela.
18 Kislev 5714,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 16/11. Lorsque je me trouverai près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai tous les noms que vous me transmettez, afin que leurs besoins soient satisfaits.
Je vous ai déjà fait remarquer une fois que vous devez parler à votre fille des lois que toutes les femmes juives doivent connaître, en particulier celles du Mikwé et de la pureté familiale. En effet, vous m’écrivez qu’elle est fiancée.
Pour l’heure, je n’ai reçu, de votre part, aucune réponse, à ce sujet. Je voudrais donc vous souligner encore une fois qu’il n’y a pas lieu d’être gêné d’évoquer de tels sujets(1), car ils ont une implication pour les enfants et les petits-enfants, conditionnent le bonheur, physique et moral.
Les parents s’efforcent d’assurer la subsistance matérielle de leurs enfants et ils doivent aussi leur garantir une existence morale saine et heureuse, mais non, ce qu’à D.ieu ne plaise…(2).
J’ai bon espoir que vous interviendrez en ce sens, par les différents moyens appropriés et avec l’énergie qui convient. Que D.ieu vous confère la réussite.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2266.
(2) L’inverse de cela.