Lettre n° 2307
Par la grâce de D.ieu,
22 Kislev 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 9 Kislev, écrite à l’issue du Chabbat Parchat Vaychla’h, de même que la précédente.
Vous devez transmettre à votre épouse qu’il n’y a nullement matière à réflexion, en ce domaine, d’autant qu’il s’agit, comme je l’ai déjà écrit, d’un manque de confiance en D.ieu, Qui est l’Essence du bien et désire donc faire du bien aux Juifs, surtout lorsqu’il s’agit d’avoir des enfants, ce qui est une Mitsva de la Torah transmise à chacun d’entre nous.
Il est donc certain que D.ieu accordera la bénédiction et la réussite qui permettront de satisfaire cette demande. A l'opposé, marquer sa nervosité, bien plus, pleurer ne font qu’affaiblir le corps et la foi de l’âme. On ne peut donc se permettre pareille chose. Que D.ieu vous vienne en aide, à l’un et à l’autre, afin de donner de bonnes nouvelles, à ce sujet.
J’ai été satisfait de lire, dans votre lettre, que vous avez rencontré différentes personnes, qui vous ont demandé de transmettre leurs salutations. Vous m’avez fait part également de ce qui a été dit lors de la réunion ‘hassidique de Tichri dernier(1). J’espère qu’à l’avenir, vous resterez en contact avec ces personnes. De fait, le lien entre tous les Juifs est d’un grand apport, matériel et spirituel, pour tous les participants(2).
Je vous joins une copie de ma lettre, adressée à tous, à l’occasion de la fête de la libération du 19 Kislev(3). Elle vous sera sûrement utile pour ces contacts.
Un jeune homme vous a demandé s’il existe des commentaires du Tanya. Vous pourrez lui répondre que, pour l’heure, ceux-ci ne sont pas imprimés. Néanmoins, lorsque l’on aborde l’étude du Tanya, on doit savoir que celui-ci est une partie de la Torah, que l’on doit donc apprendre comme toutes les autres. Or, lorsque l’on étudie le ‘Houmach, la Michna, la Guemara ou le Rambam pour la première fois, et même pour la seconde et la troisième, on ne peut prétendre en saisir toutes les finesses. On en perçoit donc, tout d’abord, l’aspect général, puis, de temps à autre, on en approfondit la connaissance.
En conséquence, si ce jeune homme étudie le Tanya avec une intention pure, il l’envisagera comme toute autre partie de la Torah, que nul ne peut comprendre de manière exhaustive, car “ elle est plus longue que la terre, plus large que la mer ”. Et, s’il n’en comprend pas une idée, il obtiendra sûrement une explication en interrogeant les ‘Hassidim. Vous pouvez lui transmettre tout cela.
Vous pourrez donner également une copie de ma lettre adressée à tous à ce jeune homme.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) A laquelle ces personnes participaient.
(2) A ces réunions ‘hassidiques.
(3) Il s’agit de la lettre n°2292.
22 Kislev 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 9 Kislev, écrite à l’issue du Chabbat Parchat Vaychla’h, de même que la précédente.
Vous devez transmettre à votre épouse qu’il n’y a nullement matière à réflexion, en ce domaine, d’autant qu’il s’agit, comme je l’ai déjà écrit, d’un manque de confiance en D.ieu, Qui est l’Essence du bien et désire donc faire du bien aux Juifs, surtout lorsqu’il s’agit d’avoir des enfants, ce qui est une Mitsva de la Torah transmise à chacun d’entre nous.
Il est donc certain que D.ieu accordera la bénédiction et la réussite qui permettront de satisfaire cette demande. A l'opposé, marquer sa nervosité, bien plus, pleurer ne font qu’affaiblir le corps et la foi de l’âme. On ne peut donc se permettre pareille chose. Que D.ieu vous vienne en aide, à l’un et à l’autre, afin de donner de bonnes nouvelles, à ce sujet.
J’ai été satisfait de lire, dans votre lettre, que vous avez rencontré différentes personnes, qui vous ont demandé de transmettre leurs salutations. Vous m’avez fait part également de ce qui a été dit lors de la réunion ‘hassidique de Tichri dernier(1). J’espère qu’à l’avenir, vous resterez en contact avec ces personnes. De fait, le lien entre tous les Juifs est d’un grand apport, matériel et spirituel, pour tous les participants(2).
Je vous joins une copie de ma lettre, adressée à tous, à l’occasion de la fête de la libération du 19 Kislev(3). Elle vous sera sûrement utile pour ces contacts.
Un jeune homme vous a demandé s’il existe des commentaires du Tanya. Vous pourrez lui répondre que, pour l’heure, ceux-ci ne sont pas imprimés. Néanmoins, lorsque l’on aborde l’étude du Tanya, on doit savoir que celui-ci est une partie de la Torah, que l’on doit donc apprendre comme toutes les autres. Or, lorsque l’on étudie le ‘Houmach, la Michna, la Guemara ou le Rambam pour la première fois, et même pour la seconde et la troisième, on ne peut prétendre en saisir toutes les finesses. On en perçoit donc, tout d’abord, l’aspect général, puis, de temps à autre, on en approfondit la connaissance.
En conséquence, si ce jeune homme étudie le Tanya avec une intention pure, il l’envisagera comme toute autre partie de la Torah, que nul ne peut comprendre de manière exhaustive, car “ elle est plus longue que la terre, plus large que la mer ”. Et, s’il n’en comprend pas une idée, il obtiendra sûrement une explication en interrogeant les ‘Hassidim. Vous pouvez lui transmettre tout cela.
Vous pourrez donner également une copie de ma lettre adressée à tous à ce jeune homme.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) A laquelle ces personnes participaient.
(2) A ces réunions ‘hassidiques.
(3) Il s’agit de la lettre n°2292.