Lettre n° 2313
Par la grâce de D.ieu,
24 Kislev 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, me demandant de prier pour vous.
Vous connaissez la causerie de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon laquelle la bénédiction(1) est comparable à la pluie. Cette dernière, en effet, fertilise le champ uniquement quand il a été labouré et semé. Or, il en est de même pour la bénédiction. Celui qui la reçoit doit lui-même labourer, c’est-à-dire parvenir à une profonde humilité, en méditant à la grandeur de D.ieu, ce qui est le moyen, pour l’homme, de prendre la mesure de sa petitesse.
Vous consulterez, à ce sujet le commentaire des Tossafot de Rabbi Yehouda sur le traité Bera’hot, au début du chapitre En Omedim, qui est cité, dans la Hala’ha, dans les notes du Ramah sur le Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, chapitre 98, fin du paragraphe 1.
Et, l’on plante en donnant de la Tsédaka avant la prière, en accomplissant la Mitsva de la meilleure façon. Ainsi, la bénédiction est fructueuse, comme l’indique la Paracha relative aux bénédictions d’Its’hak, grâce auxquelles, même “ dans ce pays-là ” et “ cette année-là ”, il put obtenir “ cent mesures ”, c’est-à-dire, selon l’interprétation du Targoum et de nos Sages : “ Cent fois plus que ce qu’il escomptait ”.
Il est sûrement inutile de vous souligner la nécessité d’étudier l’enseignement profond de la Torah, en particulier à notre époque. En effet, un Juste, venu du ciel, le Ari Zal, qui vit encore, nous a fait savoir que “ il est une Mitsva de révéler cette Sagesse ”, en particulier aux jeunes gens qui se consacrent à l’étude. Que D.ieu vous confère la réussite.
Avec ma bénédiction afin d’étudier la Torah en craignant D.ieu,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2290.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2251.
24 Kislev 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, me demandant de prier pour vous.
Vous connaissez la causerie de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon laquelle la bénédiction(1) est comparable à la pluie. Cette dernière, en effet, fertilise le champ uniquement quand il a été labouré et semé. Or, il en est de même pour la bénédiction. Celui qui la reçoit doit lui-même labourer, c’est-à-dire parvenir à une profonde humilité, en méditant à la grandeur de D.ieu, ce qui est le moyen, pour l’homme, de prendre la mesure de sa petitesse.
Vous consulterez, à ce sujet le commentaire des Tossafot de Rabbi Yehouda sur le traité Bera’hot, au début du chapitre En Omedim, qui est cité, dans la Hala’ha, dans les notes du Ramah sur le Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, chapitre 98, fin du paragraphe 1.
Et, l’on plante en donnant de la Tsédaka avant la prière, en accomplissant la Mitsva de la meilleure façon. Ainsi, la bénédiction est fructueuse, comme l’indique la Paracha relative aux bénédictions d’Its’hak, grâce auxquelles, même “ dans ce pays-là ” et “ cette année-là ”, il put obtenir “ cent mesures ”, c’est-à-dire, selon l’interprétation du Targoum et de nos Sages : “ Cent fois plus que ce qu’il escomptait ”.
Il est sûrement inutile de vous souligner la nécessité d’étudier l’enseignement profond de la Torah, en particulier à notre époque. En effet, un Juste, venu du ciel, le Ari Zal, qui vit encore, nous a fait savoir que “ il est une Mitsva de révéler cette Sagesse ”, en particulier aux jeunes gens qui se consacrent à l’étude. Que D.ieu vous confère la réussite.
Avec ma bénédiction afin d’étudier la Torah en craignant D.ieu,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2290.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2251.