Lettre n° 2345
Par la grâce de D.ieu,
15 Tévet 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre et la demande de bénédiction qui y était jointe. J’en donnerai lecture, en un moment favorable, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Vous me dites que vous êtes désespéré par votre situation morale. Vous constatez, en effet, des successions d’élévations et de chutes. Vous consulterez, à ce sujet, Igueret Hakodech de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h. Ce texte est imprimé à la fin du Sidour Méa Chearim, page 30a, au paragraphe “ Pour comprendre ce bon conseil ”. Sans doute l’un des ‘Hassidim de votre ville possède-t-il ce Sidour. Vous consulterez également le Torah Or(1), Parchat Vayéchev, au discours intitulé “ Cantique des degrés ”.
Concrètement, vous connaissez le proverbe(2) de mon beau-père, le Rabbi, qui le rapporta au nom de son père(3), selon lequel tout ce qui trouble l’étude de la Torah et la prière a vraisemblablement une source qui n’est pas pure. Parfois, le mauvais penchant revêt une redingote de soie.
Votre lettre semble indiquer que ces pensées vous empêchent d’étudier la Torah et de prier comme il faudrait le faire. Dès lors, comment douter de leur origine ? Il faut donc les repousser. Et, le moyen d’y parvenir est également expliqué dans le Tanya, à partir du chapitre 26. Que D.ieu vous accorde la réussite.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) De l’Admour Hazaken également.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°2338.
(3) Le Rabbi Rachab.
15 Tévet 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre et la demande de bénédiction qui y était jointe. J’en donnerai lecture, en un moment favorable, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Vous me dites que vous êtes désespéré par votre situation morale. Vous constatez, en effet, des successions d’élévations et de chutes. Vous consulterez, à ce sujet, Igueret Hakodech de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h. Ce texte est imprimé à la fin du Sidour Méa Chearim, page 30a, au paragraphe “ Pour comprendre ce bon conseil ”. Sans doute l’un des ‘Hassidim de votre ville possède-t-il ce Sidour. Vous consulterez également le Torah Or(1), Parchat Vayéchev, au discours intitulé “ Cantique des degrés ”.
Concrètement, vous connaissez le proverbe(2) de mon beau-père, le Rabbi, qui le rapporta au nom de son père(3), selon lequel tout ce qui trouble l’étude de la Torah et la prière a vraisemblablement une source qui n’est pas pure. Parfois, le mauvais penchant revêt une redingote de soie.
Votre lettre semble indiquer que ces pensées vous empêchent d’étudier la Torah et de prier comme il faudrait le faire. Dès lors, comment douter de leur origine ? Il faut donc les repousser. Et, le moyen d’y parvenir est également expliqué dans le Tanya, à partir du chapitre 26. Que D.ieu vous accorde la réussite.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) De l’Admour Hazaken également.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°2338.
(3) Le Rabbi Rachab.