Lettre n° 2348
2348
Par la grâce de D.ieu,
17 Tévet 5714,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai été heureux d’apprendre, par votre mère, que votre fils vient d’avoir une fille. Puisse D.ieu faire que ses parents l’éduquent de manière positive et juive, dans la santé et la joie.
Bien évidemment, il est nécessaire, à l’époque actuelle, que les parents traitent également avec leurs enfants des questions qui, auparavant, ne se posaient même pas. De cette façon, ils assument leur mission et se renforcent.
Je veux dire qu’il faut expliquer aux enfants que leur foyer doit être juif, que la cuisine doit être cachère, qu’ils doivent respecter le Chabbat, la pureté familiale, la fréquentation du Mikwé. De façon générale, on n’obtient pas un tel résultat en une seule fois. Cela ne doit pas empêcher les parents d’aborder ce sujet à différentes reprises.
En effet, quand on voit un enfant qui veut se faire mal physiquement, on fait tout ce que l’on peut pour l’en empêcher. Il est donc bien clair que, s’il souhaite se faire souffrir à la fois physiquement et moralement, il faut lui parler à différentes reprises, jusqu’à le convaincre.
Pour que cela soit plus aisé et plus rapide, la meilleure manière de procéder est, en général, de formuler une requête, de la manière qui convient et avec les explications qui s’imposent, plutôt que de se disputer. On doit, avant toute autre chose, souligner que le comportement juif n’a pas pour but de rendre service à D.ieu. C’est plutôt le moyen d’avoir une vie heureuse. Un Juif a le devoir d’emprunter le chemin de la Torah et des Mitsvot.
Certes, on peut constater que certains ne respectent pas tous ces Préceptes et qu’ils passent, néanmoins, une journée agréable. On peut, à ce propos, formuler deux remarques. Tout d’abord, il n’est pas aisé de déterminer ce que l’autre ressent. On éprouve une gêne naturelle à raconter ce qui n’est pas positif, surtout quand on se sait responsable d’une telle situation, pour avoir adopté une attitude opposée à la Torah. De plus, la Torah explique que D.ieu est très patient. Il souhaite offrir à un Juif le plus de temps possible, afin qu’il prenne enfin conscience de la vérité et qu’il rejoigne le droit chemin.
Parfois, plusieurs années sont nécessaires pour que l’on comprenne à quel point il est dommage de s’écarter de la Torah. Pour s’assurer que rien de mal n’arrivera, ce qu’à D.ieu ne plaise et pour se protéger, il est donc préférable d’agir dès maintenant, même si l’on pense que ce mal ne pourra pas survenir avant quelques années.
Je ne souhaite pas en dire plus et j’espère que ces lignes seront suffisantes pour vous convaincre d’intervenir énergiquement auprès de vos enfants, avec proximité et de la manière qui convient, pour les rapprocher de la pratique juive.
Que D.ieu vous vienne en aide.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Par la grâce de D.ieu,
17 Tévet 5714,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai été heureux d’apprendre, par votre mère, que votre fils vient d’avoir une fille. Puisse D.ieu faire que ses parents l’éduquent de manière positive et juive, dans la santé et la joie.
Bien évidemment, il est nécessaire, à l’époque actuelle, que les parents traitent également avec leurs enfants des questions qui, auparavant, ne se posaient même pas. De cette façon, ils assument leur mission et se renforcent.
Je veux dire qu’il faut expliquer aux enfants que leur foyer doit être juif, que la cuisine doit être cachère, qu’ils doivent respecter le Chabbat, la pureté familiale, la fréquentation du Mikwé. De façon générale, on n’obtient pas un tel résultat en une seule fois. Cela ne doit pas empêcher les parents d’aborder ce sujet à différentes reprises.
En effet, quand on voit un enfant qui veut se faire mal physiquement, on fait tout ce que l’on peut pour l’en empêcher. Il est donc bien clair que, s’il souhaite se faire souffrir à la fois physiquement et moralement, il faut lui parler à différentes reprises, jusqu’à le convaincre.
Pour que cela soit plus aisé et plus rapide, la meilleure manière de procéder est, en général, de formuler une requête, de la manière qui convient et avec les explications qui s’imposent, plutôt que de se disputer. On doit, avant toute autre chose, souligner que le comportement juif n’a pas pour but de rendre service à D.ieu. C’est plutôt le moyen d’avoir une vie heureuse. Un Juif a le devoir d’emprunter le chemin de la Torah et des Mitsvot.
Certes, on peut constater que certains ne respectent pas tous ces Préceptes et qu’ils passent, néanmoins, une journée agréable. On peut, à ce propos, formuler deux remarques. Tout d’abord, il n’est pas aisé de déterminer ce que l’autre ressent. On éprouve une gêne naturelle à raconter ce qui n’est pas positif, surtout quand on se sait responsable d’une telle situation, pour avoir adopté une attitude opposée à la Torah. De plus, la Torah explique que D.ieu est très patient. Il souhaite offrir à un Juif le plus de temps possible, afin qu’il prenne enfin conscience de la vérité et qu’il rejoigne le droit chemin.
Parfois, plusieurs années sont nécessaires pour que l’on comprenne à quel point il est dommage de s’écarter de la Torah. Pour s’assurer que rien de mal n’arrivera, ce qu’à D.ieu ne plaise et pour se protéger, il est donc préférable d’agir dès maintenant, même si l’on pense que ce mal ne pourra pas survenir avant quelques années.
Je ne souhaite pas en dire plus et j’espère que ces lignes seront suffisantes pour vous convaincre d’intervenir énergiquement auprès de vos enfants, avec proximité et de la manière qui convient, pour les rapprocher de la pratique juive.
Que D.ieu vous vienne en aide.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,