Lettre n° 2391
Par la grâce de D.ieu,
6 Chevat 5714,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Hillel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je vous remercie pour les remarques que vous avez formulées à propos de ma lettre du 19 Kislev dernier(2).
Concernant le paragraphe qui commence par “ on sait que ”, vous dites qu’il faut citer le Zohar, à la Parchat Balak. Vous faites sans doute allusion à la page 196b. Néanmoins, rien n’oblige à dire que ce texte parle de l’âme avant qu’elle ne descende ici-bas, bien au contraire. Cela ne concerne pas ce qui est dit dans ma lettre laquelle, bien entendu, fait uniquement allusion à la période précédant la descente dans le corps.
Concernant le paragraphe qui commence par “ bien que ”, vous citez “ une source digne de foi, à ce sujet ”, le Tana Dveï Elyahou, commentant le verset “ Béni soit l’homme(3).
Vous faites sans doute allusion au Tana Dveï Elyahou Rabba, au début du dix huitième chapitre. De fait, je suis surpris que vous ne citiez pas, dans votre lettre, le chapitre, la page et la partie de chaque livre. Dans le traité Erouvin 53a, Rav Achi lui-même parle de l’oubli, à son époque. Que pouvons-nous dire après que les Sages se soient exprimés ?
Cette référence semble, néanmoins, sans rapport avec ce qui est dit dans ma lettre, laquelle fait allusion aux besoins de l’homme, comme la nourriture et la boisson ou même à ce qui est nécessaire pour le monde futur, c’est-à-dire à la pratique des Mitsvot.
Avec ma bénédiction de réussite dans vos préoccupations communautaires et personnelles, dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav H. Medalye. Voir, à son sujet, la lettre n°2329.
(2) Il s’agit de la lettre n°2292.
(3) Qui place sa confiance en D.ieu.
6 Chevat 5714,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Hillel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je vous remercie pour les remarques que vous avez formulées à propos de ma lettre du 19 Kislev dernier(2).
Concernant le paragraphe qui commence par “ on sait que ”, vous dites qu’il faut citer le Zohar, à la Parchat Balak. Vous faites sans doute allusion à la page 196b. Néanmoins, rien n’oblige à dire que ce texte parle de l’âme avant qu’elle ne descende ici-bas, bien au contraire. Cela ne concerne pas ce qui est dit dans ma lettre laquelle, bien entendu, fait uniquement allusion à la période précédant la descente dans le corps.
Concernant le paragraphe qui commence par “ bien que ”, vous citez “ une source digne de foi, à ce sujet ”, le Tana Dveï Elyahou, commentant le verset “ Béni soit l’homme(3).
Vous faites sans doute allusion au Tana Dveï Elyahou Rabba, au début du dix huitième chapitre. De fait, je suis surpris que vous ne citiez pas, dans votre lettre, le chapitre, la page et la partie de chaque livre. Dans le traité Erouvin 53a, Rav Achi lui-même parle de l’oubli, à son époque. Que pouvons-nous dire après que les Sages se soient exprimés ?
Cette référence semble, néanmoins, sans rapport avec ce qui est dit dans ma lettre, laquelle fait allusion aux besoins de l’homme, comme la nourriture et la boisson ou même à ce qui est nécessaire pour le monde futur, c’est-à-dire à la pratique des Mitsvot.
Avec ma bénédiction de réussite dans vos préoccupations communautaires et personnelles, dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav H. Medalye. Voir, à son sujet, la lettre n°2329.
(2) Il s’agit de la lettre n°2292.
(3) Qui place sa confiance en D.ieu.