Lettre n° 2396
[7 Chevat 5714]
Vous m’écrivez que vous ne maîtrisez pas la situation(1). C’est la seconde fois que vous formulez une telle affirmation. Et, à la première, je vous disais déjà que, lorsque quelqu’un ne se formalise pas, on ne se formalise pas avec lui, en particulier en ce domaine(2).
On vous a dit que le mariage ne doit pas avoir lieu un dimanche, mais, si ce n’est pas le cas, il n’y a nullement lieu d’éprouver des craintes.
Que D.ieu multiplie la joie pour chacun. Et vous consulterez le Rambam, à la fin des lois du Loulav(3), cité dans la lettre de mon beau-père, le Rabbi qui constitue l’avant propos du Kountrass Ha Avoda.
Notes
(1) Et, se trouve donc dans l’impossibilité de mettre en pratique ce que le Rabbi lui a dit.
(2) L’énervement ne doit donc pas gâcher la joie.
(3) Montrant que la joie est partie intégrante de la Mitsva.
Vous m’écrivez que vous ne maîtrisez pas la situation(1). C’est la seconde fois que vous formulez une telle affirmation. Et, à la première, je vous disais déjà que, lorsque quelqu’un ne se formalise pas, on ne se formalise pas avec lui, en particulier en ce domaine(2).
On vous a dit que le mariage ne doit pas avoir lieu un dimanche, mais, si ce n’est pas le cas, il n’y a nullement lieu d’éprouver des craintes.
Que D.ieu multiplie la joie pour chacun. Et vous consulterez le Rambam, à la fin des lois du Loulav(3), cité dans la lettre de mon beau-père, le Rabbi qui constitue l’avant propos du Kountrass Ha Avoda.
Notes
(1) Et, se trouve donc dans l’impossibilité de mettre en pratique ce que le Rabbi lui a dit.
(2) L’énervement ne doit donc pas gâcher la joie.
(3) Montrant que la joie est partie intégrante de la Mitsva.