Lettre n° 2412
Par la grâce de D.ieu,
14 Chevat 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, par le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires(1), votre demande d’invoquer la miséricorde divine pour le fils de votre frère, qui s’est emporté contre son père. Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai leur nom, afin que la paix s’instaure entre eux et que D.ieu les conduise sur la voie de la paix et de la réussite, en tous leurs besoins.
Nos livres expliquent que, lorsque la paix ne règne pas entre deux personnes, la raison n’en est pas toujours celle qui est clairement affirmée, ni même celle que l’on pense. Il peut en exister une autre, plus profonde, dont l’âme animale elle-même n’a pas conscience. C’est pour cela qu’il faut, en l’occurrence, déterminer quelle est réellement la situation. Votre frère s’est-il efforcé de donner une éducation juive à son fils ? Ce dernier est-il né dans la pureté(2) ?
Que D.ieu vous donne le mérite d’annoncer de bonnes nouvelles de l’état de santé, physique et moral, de votre fils, de même que de votre frère et de son fils.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Dont le nom n’est pas indiqué afin de respecter la confidentialité.
(2) Les parents ont-ils respecté les lois de la pureté familiale ?
14 Chevat 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, par le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires(1), votre demande d’invoquer la miséricorde divine pour le fils de votre frère, qui s’est emporté contre son père. Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai leur nom, afin que la paix s’instaure entre eux et que D.ieu les conduise sur la voie de la paix et de la réussite, en tous leurs besoins.
Nos livres expliquent que, lorsque la paix ne règne pas entre deux personnes, la raison n’en est pas toujours celle qui est clairement affirmée, ni même celle que l’on pense. Il peut en exister une autre, plus profonde, dont l’âme animale elle-même n’a pas conscience. C’est pour cela qu’il faut, en l’occurrence, déterminer quelle est réellement la situation. Votre frère s’est-il efforcé de donner une éducation juive à son fils ? Ce dernier est-il né dans la pureté(2) ?
Que D.ieu vous donne le mérite d’annoncer de bonnes nouvelles de l’état de santé, physique et moral, de votre fils, de même que de votre frère et de son fils.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Dont le nom n’est pas indiqué afin de respecter la confidentialité.
(2) Les parents ont-ils respecté les lois de la pureté familiale ?