Lettre n° 2426
Par la grâce de D.ieu,
23 Chevat 5714,
Brooklyn,
Au grand Rav, Juste et distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
issu d’une illustre famille, le Rav Yé’hyel(1) Chlita,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre m’annonçant une bonne nouvelle, celle des fiançailles de votre fille ‘Hava Yehoudit. Le mariage a été fixé au premier jour de Roch ‘Hodech Adar Richon.
Puisse D.ieu vous accorder un Mazal Tov, Mazal Tov, en un moment bon et fructueux. Que le couple bâtisse un édifice éternel, basé sur la Torah et les Mitsvot, telles qu’elles sont éclairées par le luminaire de la Torah, c’est-à-dire l’enseignement de la ‘Hassidout. Vous-même et votre épouse, la Rabbanit, concevrez d’eux beaucoup de satisfaction ‘hassidique.
Avec mes respects et ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov,
Vous connaissez l’affirmation de nos Sages selon lequel “ dès le début d’Adar(2), on multiplie sa joie ”. Le Maguen Avraham en retient le principe pour la Hala’ha, au chapitre 686, paragraphe 5. Vous consulterez également les responsa du ‘Hatam Sofer, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 160 et le Nimoukeï Ora’h ‘Haïm, à la même référence, de l’auteur du Min’hat Eléazar. Or, d’après le Ramah, Ora’h ‘Haïm, chapitre 568, paragraphe 7, il s’agit bien d’Adar Richon(3).
En conséquence, d’après les responsa des Gaonim et du Maharits Guyat, cité dans le Tour Ora’h ‘Haïm, au chapitre 420 et les références citées par le Sdeï ‘Hémed, coin du champ, principes, paragraphe 82, il y a ici(4) trois raisons de réjouir, qui constituent un fait établi, le mois d’Adar, le Roch ‘Hodech et la joie des mariés. Ce fait établi se poursuivra donc par la suite.
Notes
(1) Le Rav Y. Gartner.
(2) C’est-à-dire à la date prévue pour le mariage.
(3) Lorsque l’année a deux Adars, comme ce fut le cas en 5714, il convient de se réjouir dès le début du premier.
(4) Dans la date qui a été choisie pour ce mariage.
23 Chevat 5714,
Brooklyn,
Au grand Rav, Juste et distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
issu d’une illustre famille, le Rav Yé’hyel(1) Chlita,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre m’annonçant une bonne nouvelle, celle des fiançailles de votre fille ‘Hava Yehoudit. Le mariage a été fixé au premier jour de Roch ‘Hodech Adar Richon.
Puisse D.ieu vous accorder un Mazal Tov, Mazal Tov, en un moment bon et fructueux. Que le couple bâtisse un édifice éternel, basé sur la Torah et les Mitsvot, telles qu’elles sont éclairées par le luminaire de la Torah, c’est-à-dire l’enseignement de la ‘Hassidout. Vous-même et votre épouse, la Rabbanit, concevrez d’eux beaucoup de satisfaction ‘hassidique.
Avec mes respects et ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov,
Vous connaissez l’affirmation de nos Sages selon lequel “ dès le début d’Adar(2), on multiplie sa joie ”. Le Maguen Avraham en retient le principe pour la Hala’ha, au chapitre 686, paragraphe 5. Vous consulterez également les responsa du ‘Hatam Sofer, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 160 et le Nimoukeï Ora’h ‘Haïm, à la même référence, de l’auteur du Min’hat Eléazar. Or, d’après le Ramah, Ora’h ‘Haïm, chapitre 568, paragraphe 7, il s’agit bien d’Adar Richon(3).
En conséquence, d’après les responsa des Gaonim et du Maharits Guyat, cité dans le Tour Ora’h ‘Haïm, au chapitre 420 et les références citées par le Sdeï ‘Hémed, coin du champ, principes, paragraphe 82, il y a ici(4) trois raisons de réjouir, qui constituent un fait établi, le mois d’Adar, le Roch ‘Hodech et la joie des mariés. Ce fait établi se poursuivra donc par la suite.
Notes
(1) Le Rav Y. Gartner.
(2) C’est-à-dire à la date prévue pour le mariage.
(3) Lorsque l’année a deux Adars, comme ce fut le cas en 5714, il convient de se réjouir dès le début du premier.
(4) Dans la date qui a été choisie pour ce mariage.