Lettre n° 2436
Par la grâce de D.ieu,
25 Chevat 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, il y a quelques temps, votre lettre dans laquelle vous exprimez votre souhait fervent et celui de votre épouse, votre désir d’avoir un enfant. Lorsque je me rendrais près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai vos noms, pour cela.
Vous connaissez la lettre(1) de l’Admour Hazaken selon laquelle, pour avoir des enfants, il faut éprouver l’amour et la crainte de D.ieu, car ces sentiments sont appelés “ le fils et la fille ”, dans la dimension spirituelle. Cette lettre est imprimée, dans tout son détail, à la fin du Sidour Méa Chéarim. En conséquence, vous devez vous fixer une étude supplémentaire de la ‘Hassidout.
Bien évidemment, il faut respecter les prescriptions des médecins, car tout événement doit emprunter les voies naturelles. De même, votre épouse donnera quelques pièces à la Tsédaka, avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Et, vous ferez encore une fois vérifier vos Mezouzot et vos Tefilin.
Par ailleurs, il faudrait vous demander si, en vous mariant, vous n’avez pas, d’une certaine façon, froissé un Juif ou une Juive(2).
Que D.ieu fasse que vous m’annonciez de bonnes nouvelles. Vous me direz que votre épouse attend un enfant et, conformément à l’instruction de mon beau-père, le Rabbi, elle ne fera pas connaître son état à ses proches(3) avant le début du cinquième mois de sa grossesse. C’est en pareil cas(4) que l’on peut parler de diffusion. Mais, il est clair qu’elle pourra le dire à vous-même et à son médecin traitant.
D.ieu vous accordera la réussite.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°1920.
(2) A qui l’un ou l’autre aurait auparavant promis le mariage.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2158 et 2452.
(4) Lorsque l’on diffuse la nouvelle à tous ses proches.
25 Chevat 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, il y a quelques temps, votre lettre dans laquelle vous exprimez votre souhait fervent et celui de votre épouse, votre désir d’avoir un enfant. Lorsque je me rendrais près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai vos noms, pour cela.
Vous connaissez la lettre(1) de l’Admour Hazaken selon laquelle, pour avoir des enfants, il faut éprouver l’amour et la crainte de D.ieu, car ces sentiments sont appelés “ le fils et la fille ”, dans la dimension spirituelle. Cette lettre est imprimée, dans tout son détail, à la fin du Sidour Méa Chéarim. En conséquence, vous devez vous fixer une étude supplémentaire de la ‘Hassidout.
Bien évidemment, il faut respecter les prescriptions des médecins, car tout événement doit emprunter les voies naturelles. De même, votre épouse donnera quelques pièces à la Tsédaka, avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Et, vous ferez encore une fois vérifier vos Mezouzot et vos Tefilin.
Par ailleurs, il faudrait vous demander si, en vous mariant, vous n’avez pas, d’une certaine façon, froissé un Juif ou une Juive(2).
Que D.ieu fasse que vous m’annonciez de bonnes nouvelles. Vous me direz que votre épouse attend un enfant et, conformément à l’instruction de mon beau-père, le Rabbi, elle ne fera pas connaître son état à ses proches(3) avant le début du cinquième mois de sa grossesse. C’est en pareil cas(4) que l’on peut parler de diffusion. Mais, il est clair qu’elle pourra le dire à vous-même et à son médecin traitant.
D.ieu vous accordera la réussite.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°1920.
(2) A qui l’un ou l’autre aurait auparavant promis le mariage.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2158 et 2452.
(4) Lorsque l’on diffuse la nouvelle à tous ses proches.