Lettre n° 2520
Par la grâce de D.ieu,
12 Adar Cheni 5714,
Brooklyn, New York,
Aux femmes et jeunes filles juives,
aux femmes et jeunes filles ‘Habad, en particulier,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Dans les jours qui viennent, reliant Pourim à Pessa’h, chaque femme ou jeune fille juive doit méditer au rôle important assumé par les femmes, dans ces fêtes et à l’enseignement qui en découle.
Les femmes sont tenues de respecter les Mitsvot spécifiques aux fêtes de Pourim et de Pessa’h, comme la Meguila ou la Haggadah. En effet, elles prirent part et contribuèrent aux miracles qui se passèrent “ en ces jours-ci, à cette époque-là ”.
La Meguila d’Esther établit clairement de quelle manière celle-ci révéla le grand miracle pour tout Israël, de sorte que le jeûne précédant la fête et la Meguila portent son nom.
Le Midrach raconte de quelle manière les femmes contribuèrent également à la fête de Pessa’h, temps de notre liberté. Pendant la dure période de l’exil d’Egypte, les femmes surent maintenir le moral et la confiance en D.ieu de leur mari. Elles éduquèrent des générations de Juifs fidèles, qui eurent le mérite de recevoir la Torah, en tant qu’héritage éternel, sur le mont Sinaï, de même que notre Terre Sainte, qui sera restaurée et rebâtie, par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours.
La manière dont les femmes et les jeunes filles conduisirent vers ces grands miracles fut différente, dans chacune de ces fêtes.
A Pessa’h, l’influence des femmes était essentiellement orientée vers leur foyer, ainsi qu’il est dit : “ L’honneur de la fille du roi se trouve à l’intérieur ”. Elle s’exprima par la pudeur et la vie de famille.
A Pourim, conformément aux besoins du moment et aux instructions tranchées des Grands d’Israël et de ceux qui inspirent la crainte de D.ieu, une femme juive dut intervenir en usant pleinement de son influence, au profit de tout le peuple. Elle le fit avec abnégation, mettant sa vie en danger pour sauver notre peuple.
Les fêtes de Pourim et de Pessa’h sont deux témoignages éternels, établissant que la femme juive, au sein de son foyer ou bien à l’extérieur, dès que la situation l’exige, offre son ardeur et son existence pour la Torah et les Mitsvot, la pureté familiale, l’éducation judicieuse des enfants, valeurs qui constituent les fondements de la perpétuation et de la délivrance de notre peuple.
Femmes et jeunes filles juives ! Imitez l’exemple des femmes vertueuses de toutes les époques. Car, pour une large part, le sort de notre peuple dépend de vous et se trouve dans vos mains.
Lorsque l’on fait sincèrement don de sa personne pour réaliser les objectifs divins, le Tout Puissant vient en aide, comme Il le fit pour Esther et toutes les difficultés disparaissent. Dès lors, Il accorde des bénédictions célestes, enfants, santé et prospérité matérielle, tout le bien physique et moral.
Avec ma bénédiction,
Mena’hem Schneerson,
12 Adar Cheni 5714,
Brooklyn, New York,
Aux femmes et jeunes filles juives,
aux femmes et jeunes filles ‘Habad, en particulier,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Dans les jours qui viennent, reliant Pourim à Pessa’h, chaque femme ou jeune fille juive doit méditer au rôle important assumé par les femmes, dans ces fêtes et à l’enseignement qui en découle.
Les femmes sont tenues de respecter les Mitsvot spécifiques aux fêtes de Pourim et de Pessa’h, comme la Meguila ou la Haggadah. En effet, elles prirent part et contribuèrent aux miracles qui se passèrent “ en ces jours-ci, à cette époque-là ”.
La Meguila d’Esther établit clairement de quelle manière celle-ci révéla le grand miracle pour tout Israël, de sorte que le jeûne précédant la fête et la Meguila portent son nom.
Le Midrach raconte de quelle manière les femmes contribuèrent également à la fête de Pessa’h, temps de notre liberté. Pendant la dure période de l’exil d’Egypte, les femmes surent maintenir le moral et la confiance en D.ieu de leur mari. Elles éduquèrent des générations de Juifs fidèles, qui eurent le mérite de recevoir la Torah, en tant qu’héritage éternel, sur le mont Sinaï, de même que notre Terre Sainte, qui sera restaurée et rebâtie, par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours.
La manière dont les femmes et les jeunes filles conduisirent vers ces grands miracles fut différente, dans chacune de ces fêtes.
A Pessa’h, l’influence des femmes était essentiellement orientée vers leur foyer, ainsi qu’il est dit : “ L’honneur de la fille du roi se trouve à l’intérieur ”. Elle s’exprima par la pudeur et la vie de famille.
A Pourim, conformément aux besoins du moment et aux instructions tranchées des Grands d’Israël et de ceux qui inspirent la crainte de D.ieu, une femme juive dut intervenir en usant pleinement de son influence, au profit de tout le peuple. Elle le fit avec abnégation, mettant sa vie en danger pour sauver notre peuple.
Les fêtes de Pourim et de Pessa’h sont deux témoignages éternels, établissant que la femme juive, au sein de son foyer ou bien à l’extérieur, dès que la situation l’exige, offre son ardeur et son existence pour la Torah et les Mitsvot, la pureté familiale, l’éducation judicieuse des enfants, valeurs qui constituent les fondements de la perpétuation et de la délivrance de notre peuple.
Femmes et jeunes filles juives ! Imitez l’exemple des femmes vertueuses de toutes les époques. Car, pour une large part, le sort de notre peuple dépend de vous et se trouve dans vos mains.
Lorsque l’on fait sincèrement don de sa personne pour réaliser les objectifs divins, le Tout Puissant vient en aide, comme Il le fit pour Esther et toutes les difficultés disparaissent. Dès lors, Il accorde des bénédictions célestes, enfants, santé et prospérité matérielle, tout le bien physique et moral.
Avec ma bénédiction,
Mena’hem Schneerson,