Lettre n° 2523
Par la grâce de D.ieu,
13 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Pour ce qui vous concerne personnellement, il me semble vous avoir déjà cité, il y a quelques temps, l’affirmation de nos Sages, selon laquelle “ il perd son niveau et se marie ”. Il semble que cela ne se soit pas encore réalisé pour vous ou, selon l’expression du Likouteï Torah, au début de la Parchat Chemini, ne vous ait pas touché.
De manière plaisante, on peut rappeler qu’un mariage est aussi difficile à réaliser que le passage de la mer Rouge. Or, quand ce dernier fut-il possible ? Lorsqu’un Juif sauta à la mer, sans bâtir un profond raisonnement, en sachant seulement que telle est la volonté de D.ieu, que le bâton de Moché était dirigé dans ce sens.
Conformément à votre demande, je mentionnerai votre nom, à ce sujet, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Néanmoins, vous savez ce que disent nos Sages. Pour que D.ieu ouvre comme le portail du Sanctuaire, il faut encore pratiquer soi-même une ouverture, au moins comme la pointe d’une aiguille.
Je vous adresse ma bénédiction de joyeux Pourim, que l’on célèbre “ jusqu’à ne plus savoir ”, précisément avec du vin, lequel, selon notre Torah, qui est notre vie, fait allusion à son enseignement caché. Nos Sages disent aussi que “ celui qui prend du vin révèle son secret ”. Différents textes du Zohar et de la ‘Hassidout l’expliquent.
Avec ma bénédiction pour que vous me donniez, au plus vite, de bonnes nouvelles de tout cela,
13 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Pour ce qui vous concerne personnellement, il me semble vous avoir déjà cité, il y a quelques temps, l’affirmation de nos Sages, selon laquelle “ il perd son niveau et se marie ”. Il semble que cela ne se soit pas encore réalisé pour vous ou, selon l’expression du Likouteï Torah, au début de la Parchat Chemini, ne vous ait pas touché.
De manière plaisante, on peut rappeler qu’un mariage est aussi difficile à réaliser que le passage de la mer Rouge. Or, quand ce dernier fut-il possible ? Lorsqu’un Juif sauta à la mer, sans bâtir un profond raisonnement, en sachant seulement que telle est la volonté de D.ieu, que le bâton de Moché était dirigé dans ce sens.
Conformément à votre demande, je mentionnerai votre nom, à ce sujet, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Néanmoins, vous savez ce que disent nos Sages. Pour que D.ieu ouvre comme le portail du Sanctuaire, il faut encore pratiquer soi-même une ouverture, au moins comme la pointe d’une aiguille.
Je vous adresse ma bénédiction de joyeux Pourim, que l’on célèbre “ jusqu’à ne plus savoir ”, précisément avec du vin, lequel, selon notre Torah, qui est notre vie, fait allusion à son enseignement caché. Nos Sages disent aussi que “ celui qui prend du vin révèle son secret ”. Différents textes du Zohar et de la ‘Hassidout l’expliquent.
Avec ma bénédiction pour que vous me donniez, au plus vite, de bonnes nouvelles de tout cela,