Lettre n° 2528
Par la grâce de D.ieu,
16 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous évoquez votre nervosité. Il serait bon que vous étudiez quelques chapitres de la “ porte de la confiance en D.ieu ” du ‘Hovat Halevavot. Vous chercherez également, dans la ‘Hassidout, des textes expliquant cela, comme Igueret Hakodech au chapitre 25, page 138b. En effet, si vous aviez la conviction que tout vient de D.ieu, vous comprendriez qu’il n’y a pas lieu d’être nerveux.
Car, on sait ce qu’il faut faire pour révéler les bénédictions de D.ieu en tout ce dont on a besoin. Les voies en ont été tracées et chacun peut les emprunter, être sûr de lui. Il n’y a donc aucune raison de se mettre en colère et d’être nerveux.
Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit, pour vous-même et votre épouse, la Rabbanit,
N. B. : Il y a quelques temps, votre épouse m’a écrit qu’elle n’aime pas ce qui reste inachevé. Je suis donc surpris de ce qui, en l’occurrence, n’a pas été conduit à son terme, c’est-à-dire du fait que je n’ai pas eu de réponse à propos de ce que je lui avais écrit, à deux reprises. Je lui ai expliqué qu’elle devait agir sur son entourage pour y développer non seulement la pratique juive, mais aussi la ‘Hassidout.
Vous connaissez le dicton de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon lequel la confection de pain est indispensable pour la perpétuation du genre humain. Malgré cela, celui qui est capable d’enfiler des perles et qui a été formé à cette tâche, ne doit nullement se consacrer à une activité que beaucoup d’autres personnes sont capables d’assumer.
Bien évidemment, je ne dis pas qu’il faille m’écrire tout ce qui est réalisé, en la matière. L’essentiel est que l’action concrète se fasse. Et, “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec forfaiture envers Ses créatures ”. Les forces et les possibilités d’obtenir un tel résultat ont donc sûrement été accordées. J’attends de bonnes nouvelles.
Avec ma bénédiction,
16 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous évoquez votre nervosité. Il serait bon que vous étudiez quelques chapitres de la “ porte de la confiance en D.ieu ” du ‘Hovat Halevavot. Vous chercherez également, dans la ‘Hassidout, des textes expliquant cela, comme Igueret Hakodech au chapitre 25, page 138b. En effet, si vous aviez la conviction que tout vient de D.ieu, vous comprendriez qu’il n’y a pas lieu d’être nerveux.
Car, on sait ce qu’il faut faire pour révéler les bénédictions de D.ieu en tout ce dont on a besoin. Les voies en ont été tracées et chacun peut les emprunter, être sûr de lui. Il n’y a donc aucune raison de se mettre en colère et d’être nerveux.
Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit, pour vous-même et votre épouse, la Rabbanit,
N. B. : Il y a quelques temps, votre épouse m’a écrit qu’elle n’aime pas ce qui reste inachevé. Je suis donc surpris de ce qui, en l’occurrence, n’a pas été conduit à son terme, c’est-à-dire du fait que je n’ai pas eu de réponse à propos de ce que je lui avais écrit, à deux reprises. Je lui ai expliqué qu’elle devait agir sur son entourage pour y développer non seulement la pratique juive, mais aussi la ‘Hassidout.
Vous connaissez le dicton de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon lequel la confection de pain est indispensable pour la perpétuation du genre humain. Malgré cela, celui qui est capable d’enfiler des perles et qui a été formé à cette tâche, ne doit nullement se consacrer à une activité que beaucoup d’autres personnes sont capables d’assumer.
Bien évidemment, je ne dis pas qu’il faille m’écrire tout ce qui est réalisé, en la matière. L’essentiel est que l’action concrète se fasse. Et, “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec forfaiture envers Ses créatures ”. Les forces et les possibilités d’obtenir un tel résultat ont donc sûrement été accordées. J’attends de bonnes nouvelles.
Avec ma bénédiction,