Lettre n° 2547
Par la grâce de D.ieu,
23 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 3 Adar Cheni, dans laquelle vous me dites que vous êtes très inquiet pour votre épouse et pour les membres de votre famille. Vous vous faites du soucis également à propos de la manière d’assurer votre subsistance. Tout cela vous empêche d’avoir la quiétude nécessaire pour étudier la Torah de D.ieu.
Je suis surpris que vous ne mentionnez pas les canaux et les réceptacles permettant d’obtenir les bénédictions divines, dans ces domaines, c’est-à-dire la Torah et les Mitsvot. Vous connaissez la lettre adressée par l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et décisionnaire de la partie révélée de la Torah, à quelqu’un qui formulait pratiquement la même plainte que vous(1) :
“ Tu te soucies de ce dont tu as besoin, mais non de ce que l’on attend de toi ”.
Ce récit est mentionné dans une lettre(2) de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, qui est imprimée dans le fascicule n°57.
Il est également expliqué qu’en appliquant ses efforts à ce qui est la finalité de l’homme sur la terre, conformément à l’affirmation de nos Sages, à la fin du traité Kidouchin, selon laquelle “ Je n’ai été créé que pour le service de mon Créateur ”, on obtient de D.ieu la satisfaction de ses propres besoins.
Vous connaissez sûrement les trois études qui concernent chacun et qui furent instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Ce sont les suivantes :
A) Les Tehilim, selon leur répartition mensuelle, qu’on lit chaque jour après la prière du matin.
B) Une Paracha du ‘Houmach, avec le commentaire de Rachi, le dimanche du début de la Sidra jusqu’au Cheni, le lundi du Cheni au Chelichi et ainsi de suite.
C) Un passage du Tanya, qu’on étudie chaque jour, selon la répartition annuelle de ce livre.
A la prochaine occasion, vous voudrez bien me renseigner sur tout cela. Comme vous le demandez, je mentionnerai chacun d’entre vous près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin que vous obteniez la satisfaction de tous vos besoins, matériels et spirituels.
Avec ma bénédiction pour que vous m’annonciez de bonnes nouvelles, concernant tout ce qui vient d’être dit et pour que vous ayez un Pessa’h cacher et joyeux,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Qui se plaignait de problèmes matériels.
(2) Voir les lettres du précédent Rabbi, tome 3, lettre n°729 et tome 9, lettre n°3054.
23 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 3 Adar Cheni, dans laquelle vous me dites que vous êtes très inquiet pour votre épouse et pour les membres de votre famille. Vous vous faites du soucis également à propos de la manière d’assurer votre subsistance. Tout cela vous empêche d’avoir la quiétude nécessaire pour étudier la Torah de D.ieu.
Je suis surpris que vous ne mentionnez pas les canaux et les réceptacles permettant d’obtenir les bénédictions divines, dans ces domaines, c’est-à-dire la Torah et les Mitsvot. Vous connaissez la lettre adressée par l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et décisionnaire de la partie révélée de la Torah, à quelqu’un qui formulait pratiquement la même plainte que vous(1) :
“ Tu te soucies de ce dont tu as besoin, mais non de ce que l’on attend de toi ”.
Ce récit est mentionné dans une lettre(2) de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, qui est imprimée dans le fascicule n°57.
Il est également expliqué qu’en appliquant ses efforts à ce qui est la finalité de l’homme sur la terre, conformément à l’affirmation de nos Sages, à la fin du traité Kidouchin, selon laquelle “ Je n’ai été créé que pour le service de mon Créateur ”, on obtient de D.ieu la satisfaction de ses propres besoins.
Vous connaissez sûrement les trois études qui concernent chacun et qui furent instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Ce sont les suivantes :
A) Les Tehilim, selon leur répartition mensuelle, qu’on lit chaque jour après la prière du matin.
B) Une Paracha du ‘Houmach, avec le commentaire de Rachi, le dimanche du début de la Sidra jusqu’au Cheni, le lundi du Cheni au Chelichi et ainsi de suite.
C) Un passage du Tanya, qu’on étudie chaque jour, selon la répartition annuelle de ce livre.
A la prochaine occasion, vous voudrez bien me renseigner sur tout cela. Comme vous le demandez, je mentionnerai chacun d’entre vous près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin que vous obteniez la satisfaction de tous vos besoins, matériels et spirituels.
Avec ma bénédiction pour que vous m’annonciez de bonnes nouvelles, concernant tout ce qui vient d’être dit et pour que vous ayez un Pessa’h cacher et joyeux,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Qui se plaignait de problèmes matériels.
(2) Voir les lettres du précédent Rabbi, tome 3, lettre n°729 et tome 9, lettre n°3054.