Lettre n° 2553
Par la grâce de D.ieu,
25 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Nathan Mena’hem(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 12 Adar Cheni et la carte postale qui l’accompagnait.
Vous rapportez, dans votre lettre, une discussion à propos du jeûne des premiers-nés, à la veille de Pessa’h(2). Sans aborder la question proprement dite, vous comprenez qu’une Haggadah éditée pour le plus grand nombre, surtout aux Etats Unis, sera considérée comme exprimant la Hala’ha tranchée et la décision en dernière instance, qui ne peut être remise en cause.
Vous savez qu’au final, l’acte est essentiel et c’est la raison pour laquelle j’ai souligné ce point. Il s’agit, à mon sens, d’une inexactitude qui doit être rectifiée.
A ce propos, vous citez ce que l’on dit, au nom du Rabbi de Ziditchov, concernant une autre version du traité Sofrim. Ceci a été totalement infirmé dans le recueil Divreï Torah, tome 5, chapitre 15, du Rabbi de Munkatch, auteur du Min’hat Eléazar, lequel confirme, en outre, sa position dans le Nimoukeï Ora’h ‘Haïm, au chapitre 470. Ils se trouvaient à proximité l’un de l’autre et avaient même une proximité familiale. Cet avis doit donc être pris en compte.
Vous évoquez, dans votre lettre, les propos de Torah qui se trouvent dans le Yalkout Nathan et le Léka’h Tov, parties de votre livre. De façon générale, il faut, à l’heure actuelle, encourager tout ce qui peut insuffler la crainte de D.ieu, renforcer les Mitsvot, permettre de mieux les accomplir. En effet, ‘Hababouk les(3) résuma en un principe, celui de la foi(4).
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Notes
(1) Le Rav N. M. Mandel. Voir, à son sujet, la lettre n°2488.
(2) Voir la lettre n°2488.
(3) Les Préceptes de la Torah.
(4) Qu’il convient donc de renforcer.
25 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Nathan Mena’hem(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 12 Adar Cheni et la carte postale qui l’accompagnait.
Vous rapportez, dans votre lettre, une discussion à propos du jeûne des premiers-nés, à la veille de Pessa’h(2). Sans aborder la question proprement dite, vous comprenez qu’une Haggadah éditée pour le plus grand nombre, surtout aux Etats Unis, sera considérée comme exprimant la Hala’ha tranchée et la décision en dernière instance, qui ne peut être remise en cause.
Vous savez qu’au final, l’acte est essentiel et c’est la raison pour laquelle j’ai souligné ce point. Il s’agit, à mon sens, d’une inexactitude qui doit être rectifiée.
A ce propos, vous citez ce que l’on dit, au nom du Rabbi de Ziditchov, concernant une autre version du traité Sofrim. Ceci a été totalement infirmé dans le recueil Divreï Torah, tome 5, chapitre 15, du Rabbi de Munkatch, auteur du Min’hat Eléazar, lequel confirme, en outre, sa position dans le Nimoukeï Ora’h ‘Haïm, au chapitre 470. Ils se trouvaient à proximité l’un de l’autre et avaient même une proximité familiale. Cet avis doit donc être pris en compte.
Vous évoquez, dans votre lettre, les propos de Torah qui se trouvent dans le Yalkout Nathan et le Léka’h Tov, parties de votre livre. De façon générale, il faut, à l’heure actuelle, encourager tout ce qui peut insuffler la crainte de D.ieu, renforcer les Mitsvot, permettre de mieux les accomplir. En effet, ‘Hababouk les(3) résuma en un principe, celui de la foi(4).
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Notes
(1) Le Rav N. M. Mandel. Voir, à son sujet, la lettre n°2488.
(2) Voir la lettre n°2488.
(3) Les Préceptes de la Torah.
(4) Qu’il convient donc de renforcer.