Lettre n° 2591
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
a des comportements généreux, est issu d’une
illustre famille, le Rav C. Z.(1),
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de Pessa’h qui approche, de manière positive, pour nous et pour tout Israël, je voudrais, par la présente, vous adresser ma bénédiction pour qu’elle soit cachère et joyeuse.
J’aborderai maintenant ce qui est d’actualité. L’un des faits marquants du temps de notre liberté est la constitution d’Israël en tant que peuple, malgré les conditions inadaptées de l’époque. Il fallait alors avoir une foi particulièrement intense.
Les enfants d’Israël vécurent par leur foi et, très rapidement, leur espoir fut réalisé. Or, c’est cette foi que nous célébrons pendant la fête des Matsot. Un peuple entier, fait d’hommes, de femmes et d’enfants fut transformé. Il quitta un pays qui assurait la subsistance du monde, possédait une industrie et un mode de vie développés, par rapport aux conditions de l’époque. Puis, il se rendit, selon les termes du verset “ dans un désert grand et redoutable, empli de serpents et de scorpions ”.
Et, notre prophète dit : “ Je Me souviens pour toi de la bonté de ton jeune âge, lorsque tu Me suivis dans le désert, en un endroit aride et inculte ”.
A chaque époque, un homme est tenu de considérer qu’il est lui-même sorti d’Egypte, par sa foi inébranlable en “ Je suis l’Eternel ton D.ieu, Qui t’ai fait sortir du pays de l’Egypte ”. Il peut ainsi se libérer de tous les obstacles et de toutes les barrières, intérieurs et extérieurs.
Nous avons coutume d’adresser aux amis et aux proches de la Matsa Chemoura(2). J’en joins donc trois à la présente lettre, puisque vous résidez en Erets Israël et que vous n’avez donc pas l’obligation de respecter le second jour de la fête(3).
Selon les termes du Zohar, il s’agit(4) de “ l’aliment de la guérison ” et de “ l’aliment de la foi ”.
Avec mes respects et ma bénédiction, à l’occasion de la fête,
Notes
(1) Chnéor Zalman Chazar. Voir, à son sujet, la lettre n°2343.
(2) Dont le blé est gardé depuis le moment de la récolte.
(3) Et, donc le second Séder, pour lequel il faudrait trois autres Matsot.
(4) Les Matsot.
13 Nissan 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
a des comportements généreux, est issu d’une
illustre famille, le Rav C. Z.(1),
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de Pessa’h qui approche, de manière positive, pour nous et pour tout Israël, je voudrais, par la présente, vous adresser ma bénédiction pour qu’elle soit cachère et joyeuse.
J’aborderai maintenant ce qui est d’actualité. L’un des faits marquants du temps de notre liberté est la constitution d’Israël en tant que peuple, malgré les conditions inadaptées de l’époque. Il fallait alors avoir une foi particulièrement intense.
Les enfants d’Israël vécurent par leur foi et, très rapidement, leur espoir fut réalisé. Or, c’est cette foi que nous célébrons pendant la fête des Matsot. Un peuple entier, fait d’hommes, de femmes et d’enfants fut transformé. Il quitta un pays qui assurait la subsistance du monde, possédait une industrie et un mode de vie développés, par rapport aux conditions de l’époque. Puis, il se rendit, selon les termes du verset “ dans un désert grand et redoutable, empli de serpents et de scorpions ”.
Et, notre prophète dit : “ Je Me souviens pour toi de la bonté de ton jeune âge, lorsque tu Me suivis dans le désert, en un endroit aride et inculte ”.
A chaque époque, un homme est tenu de considérer qu’il est lui-même sorti d’Egypte, par sa foi inébranlable en “ Je suis l’Eternel ton D.ieu, Qui t’ai fait sortir du pays de l’Egypte ”. Il peut ainsi se libérer de tous les obstacles et de toutes les barrières, intérieurs et extérieurs.
Nous avons coutume d’adresser aux amis et aux proches de la Matsa Chemoura(2). J’en joins donc trois à la présente lettre, puisque vous résidez en Erets Israël et que vous n’avez donc pas l’obligation de respecter le second jour de la fête(3).
Selon les termes du Zohar, il s’agit(4) de “ l’aliment de la guérison ” et de “ l’aliment de la foi ”.
Avec mes respects et ma bénédiction, à l’occasion de la fête,
Notes
(1) Chnéor Zalman Chazar. Voir, à son sujet, la lettre n°2343.
(2) Dont le blé est gardé depuis le moment de la récolte.
(3) Et, donc le second Séder, pour lequel il faudrait trois autres Matsot.
(4) Les Matsot.