Lettre n° 2592
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5714,
Brooklyn, New York,
A l’homme très distingué, qui craint D.ieu, a de
bons sentiments et une compréhension positive,
le Rav Israël, qui est appelé docteur Efrat,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu plaisir à vous connaître personnellement, à l’occasion de la réunion ‘hassidique de Pourim. Comme le dit mon beau-père(1), le Rabbi, dont le mérite nous protégera, lorsque deux Juifs se rencontrent, il doit en résulter un bien pour un troisième, outre ce que l’un et l’autre en tirent.
On m’a dit que vous faites des conférences sur la littérature et la philosophie. Vous exposez, en particulier, les conceptions de Rabbi Chlomo Ben Gabirol, exprimées dans son livre Mekor ‘Haïm. Vous savez sans doute qu’il existe plusieurs points communs entre la ‘Hassidout ‘Habad et l’enseignement de Rabbi Chlomo Ben Gabirol.
Il ne fait pas de doute que celui qui a une bonne connaissance de la ‘Hassidout ‘Habad comprendra mieux les idées de Rabbi Chlomo Ben Gabirol, dans son Mekor ‘Haïm. Bien évidemment, il ne faut pas en déduire un manque d’originalité de la ‘Hassidout, en général et de la ‘Hassidout ‘Habad, en particulier. En effet, il existe des points communs entre différentes parties de notre sainte Torah.
Plusieurs tentatives ont été faites de formuler une interprétation “ internationaliste ” des écrits de Rabbi Chlomo Ben Gabirol, qui ne trouverait pas sa source dans la Torah d’Israël. Cette conception est fausse. Non seulement son enseignement est basé sur la Tradition d’Israël et la Kabbala antique, mais, bien plus, la Torah et la Kabbala sont partie intégrante de ses conceptions.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, je vous adresse ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, une liberté véritable, la délivrance des tracas matériels et spirituels, de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu joyeux et enthousiaste.
De vos jours et des nôtres, s’accompliront les termes de la promesse tant attendue, “ comme aux jours de ta sortie d’Egypte, Je te montrerai des merveilles ”, lors de la délivrance véritable et complète, par notre juste Machia’h(2).
Avec mes respects et ma bénédiction pour la fête,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2432.
(2) Voir la lettre n°2589.
13 Nissan 5714,
Brooklyn, New York,
A l’homme très distingué, qui craint D.ieu, a de
bons sentiments et une compréhension positive,
le Rav Israël, qui est appelé docteur Efrat,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu plaisir à vous connaître personnellement, à l’occasion de la réunion ‘hassidique de Pourim. Comme le dit mon beau-père(1), le Rabbi, dont le mérite nous protégera, lorsque deux Juifs se rencontrent, il doit en résulter un bien pour un troisième, outre ce que l’un et l’autre en tirent.
On m’a dit que vous faites des conférences sur la littérature et la philosophie. Vous exposez, en particulier, les conceptions de Rabbi Chlomo Ben Gabirol, exprimées dans son livre Mekor ‘Haïm. Vous savez sans doute qu’il existe plusieurs points communs entre la ‘Hassidout ‘Habad et l’enseignement de Rabbi Chlomo Ben Gabirol.
Il ne fait pas de doute que celui qui a une bonne connaissance de la ‘Hassidout ‘Habad comprendra mieux les idées de Rabbi Chlomo Ben Gabirol, dans son Mekor ‘Haïm. Bien évidemment, il ne faut pas en déduire un manque d’originalité de la ‘Hassidout, en général et de la ‘Hassidout ‘Habad, en particulier. En effet, il existe des points communs entre différentes parties de notre sainte Torah.
Plusieurs tentatives ont été faites de formuler une interprétation “ internationaliste ” des écrits de Rabbi Chlomo Ben Gabirol, qui ne trouverait pas sa source dans la Torah d’Israël. Cette conception est fausse. Non seulement son enseignement est basé sur la Tradition d’Israël et la Kabbala antique, mais, bien plus, la Torah et la Kabbala sont partie intégrante de ses conceptions.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, je vous adresse ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, une liberté véritable, la délivrance des tracas matériels et spirituels, de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu joyeux et enthousiaste.
De vos jours et des nôtres, s’accompliront les termes de la promesse tant attendue, “ comme aux jours de ta sortie d’Egypte, Je te montrerai des merveilles ”, lors de la délivrance véritable et complète, par notre juste Machia’h(2).
Avec mes respects et ma bénédiction pour la fête,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2432.
(2) Voir la lettre n°2589.