Lettre n° 2602
Par la grâce de D.ieu,
19 Nissan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre de Nissan et celles qui la précédaient. Vous me décrivez vos efforts pour rapprocher le cœur des enfants d’Israël de notre Père Qui se trouve dans les cieux. Vous contactez les jeunes gens et les jeunes filles. De différents points de vue, ces dernières ont un rôle déterminant, comme l’expliquent nos Sages, à propos du verset : “ Ainsi, tu parleras à la maison de Yaakov et tu diras aux enfants d’Israël ”(1).
A l’avenir, vous continuerez à agir de la sorte. Ainsi, s’accomplira la décision de nos Sages, affirmant que “ l’on vient en aide à celui qui désire se purifier ”, surtout si l’on met en pratique le principe selon lequel on connaît l’élévation et l’ajout, dans le domaine de la sainteté.
Dernier point, qui suscite le plus d’intérêt, vous m’annoncez vos fiançailles. Vous consulterez, à ce sujet, les responsa du Tséma’h Tsédek, partie Even Haézer, fin du chapitre 11, paragraphe 7, selon lesquels vous devez connaître l’ensemble d’un traité(2).
Puisse D.ieu vous accorder un Mazal Tov, en un moment bon et fructueux. Vous bâtirez un foyer juif, un édifice éternel, basé sur la Torah et les Mitsvot, telles qu’elles sont illuminées par le luminaire de la Torah, l’enseignement de la ‘Hassidout. Ainsi, votre maison sera heureuse, matériellement et spirituellement à la fois.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov et pour la fête,
Du fait de la sainteté de la fête, le Rabbi Chlita n’a pas signé cette lettre.
N. B. : Pour l’heure, je ne connais pas de livres ou de discours ‘hassidiques en français.
Notes
(1) Nos Sages disent : “ La maison de Yaakov, ce sont les femmes, les enfants d’Israël, ce sont les hommes ”. Les femmes se préparèrent donc les premières à recevoir la Torah.
(2) La fiancée est vraisemblablement la fille d’un Cohen. Pour l’épouser, il faut donc être un érudit de la Torah, titre que l’on acquiert dès lors que l’on connaît au moins un traité talmudique.
19 Nissan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre de Nissan et celles qui la précédaient. Vous me décrivez vos efforts pour rapprocher le cœur des enfants d’Israël de notre Père Qui se trouve dans les cieux. Vous contactez les jeunes gens et les jeunes filles. De différents points de vue, ces dernières ont un rôle déterminant, comme l’expliquent nos Sages, à propos du verset : “ Ainsi, tu parleras à la maison de Yaakov et tu diras aux enfants d’Israël ”(1).
A l’avenir, vous continuerez à agir de la sorte. Ainsi, s’accomplira la décision de nos Sages, affirmant que “ l’on vient en aide à celui qui désire se purifier ”, surtout si l’on met en pratique le principe selon lequel on connaît l’élévation et l’ajout, dans le domaine de la sainteté.
Dernier point, qui suscite le plus d’intérêt, vous m’annoncez vos fiançailles. Vous consulterez, à ce sujet, les responsa du Tséma’h Tsédek, partie Even Haézer, fin du chapitre 11, paragraphe 7, selon lesquels vous devez connaître l’ensemble d’un traité(2).
Puisse D.ieu vous accorder un Mazal Tov, en un moment bon et fructueux. Vous bâtirez un foyer juif, un édifice éternel, basé sur la Torah et les Mitsvot, telles qu’elles sont illuminées par le luminaire de la Torah, l’enseignement de la ‘Hassidout. Ainsi, votre maison sera heureuse, matériellement et spirituellement à la fois.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov et pour la fête,
Du fait de la sainteté de la fête, le Rabbi Chlita n’a pas signé cette lettre.
N. B. : Pour l’heure, je ne connais pas de livres ou de discours ‘hassidiques en français.
Notes
(1) Nos Sages disent : “ La maison de Yaakov, ce sont les femmes, les enfants d’Israël, ce sont les hommes ”. Les femmes se préparèrent donc les premières à recevoir la Torah.
(2) La fiancée est vraisemblablement la fille d’un Cohen. Pour l’épouser, il faut donc être un érudit de la Torah, titre que l’on acquiert dès lors que l’on connaît au moins un traité talmudique.