Lettre n° 2613
Par la grâce de D.ieu,
25 Nissan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du premier jour de ‘Hol Hamoed Pessa’h, dans laquelle vous sollicitez une bénédiction, du fait de votre état de santé. Comme vous me le demandez, je mentionnerai votre nom, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous ayez une prompte guérison.
Il est sans doute inutile de préciser qu’en ces jours, vous devez renforcez votre foi et votre confiance en D.ieu, jusque dans le moindre détail. En effet, nous venons de vivre les jours de la fête des Matsot, “ aliment de la foi ” et “ aliment de la guérison ” et nous nous dirigeons vers le temps du don de notre Torah, dont ‘Habakouk résuma les Préceptes en un principe, celui de la foi.
Vous connaissez la règle établie par le Baal Chem Tov, selon laquelle chaque événement du monde est un effet de la divine Providence. Combien plus est-ce le cas pour un Juif et surtout pour celui qui occupe une fonction lui donnant une influence sur un groupe de personnes. Il est dit, en effet, que “ le préposé à la citerne est nommé par D.ieu ”, Qui est l’Essence du bien et désire prodiguer Ses bienfaits. Il faut donc écarter résolument les pensées qui ne sont pas positives.
Bien évidemment, mon but n’est pas de vous faire de la morale, ce qu’à D.ieu ne plaise. Je souhaite uniquement rappeler ce qui est le principe même de la foi. De fait, en apprenant une idée simple de la Torah, on est bien considéré comme se consacrant à son étude.
J’espère avoir de vos bonnes nouvelles au plus vite, apprendre que vous investissez toute votre ardeur dans la Torah et le service de D.ieu, en particulier dans ce qui est votre rôle, c’est-à-dire l’influence que vous exercez, dans l’esprit de la Tradition d’Israël, sur votre entourage, proche ou éloigné.
Que D.ieu vous accorde la réussite.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
25 Nissan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du premier jour de ‘Hol Hamoed Pessa’h, dans laquelle vous sollicitez une bénédiction, du fait de votre état de santé. Comme vous me le demandez, je mentionnerai votre nom, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous ayez une prompte guérison.
Il est sans doute inutile de préciser qu’en ces jours, vous devez renforcez votre foi et votre confiance en D.ieu, jusque dans le moindre détail. En effet, nous venons de vivre les jours de la fête des Matsot, “ aliment de la foi ” et “ aliment de la guérison ” et nous nous dirigeons vers le temps du don de notre Torah, dont ‘Habakouk résuma les Préceptes en un principe, celui de la foi.
Vous connaissez la règle établie par le Baal Chem Tov, selon laquelle chaque événement du monde est un effet de la divine Providence. Combien plus est-ce le cas pour un Juif et surtout pour celui qui occupe une fonction lui donnant une influence sur un groupe de personnes. Il est dit, en effet, que “ le préposé à la citerne est nommé par D.ieu ”, Qui est l’Essence du bien et désire prodiguer Ses bienfaits. Il faut donc écarter résolument les pensées qui ne sont pas positives.
Bien évidemment, mon but n’est pas de vous faire de la morale, ce qu’à D.ieu ne plaise. Je souhaite uniquement rappeler ce qui est le principe même de la foi. De fait, en apprenant une idée simple de la Torah, on est bien considéré comme se consacrant à son étude.
J’espère avoir de vos bonnes nouvelles au plus vite, apprendre que vous investissez toute votre ardeur dans la Torah et le service de D.ieu, en particulier dans ce qui est votre rôle, c’est-à-dire l’influence que vous exercez, dans l’esprit de la Tradition d’Israël, sur votre entourage, proche ou éloigné.
Que D.ieu vous accorde la réussite.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,