Lettre n° 2636
Par la grâce de D.ieu,
7 Iyar 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Yossef(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 4 Iyar, avec ce qu’elle contenait, des chèques pour le Collel ‘Habad en Terre Sainte que j’ai envoyés, ces jours-ci, à leurs utilisateurs finaux. J’ai également apprécié l’empressement avec lequel vous me les avez adressés, sans attendre les autres.
Comme sont extraordinaires les propos de l’Admour Hazaken(2), à propos du sacrifice(3), l’événement qui sert de référence et de symbole non seulement aux enfants d’Israël, mais aussi aux autres nations et qui est couramment interprété de la manière suivante. Un père âgé livre son fils unique au sacrifice, sur l’ordre du Saint béni soit-Il.
Puis, vient l’Admour Hazaken, qui souligne que tel n’est pas du tout le contenu profond de ce sacrifice. Il dit que “ le sacrifice proprement dit n’est pas une épreuve si importante, compte tenu de la grande élévation de notre père Avraham. En effet, D.ieu s’est adressé à lui et lui a dit : ‘De grâce, prends ton fils’.
En fait, sa qualité fut la suivante. Notre père Avraham s’exécuta avec un merveilleux empressement. Il fit la preuve de sa joie et de sa bonne volonté. Nos Sages en déduisent qu’il doit en être de même pour la pratique de toutes les Mitsvot, en général et, en particulier, de la Tsédaka, qui dépasse toutes les autres. ”
Vous consulterez également Igueret Hakodech, au chapitre 21. Vous pouvez déduire de ces propos la valeur de l’empressement qui est plus grande, plus importante et plus merveilleuse que le sacrifice lui-même. Pour quelqu’un comme vous, il est inutile d’en dire plus.
Vous avez sûrement reçu, en son temps, ma précédente lettre.
Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vous concerne,
Notes
(1) Le Rav Yossef Flyer. Voir, à son sujet, la lettre n°2330.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2827.
(3) D’Its’hak à Avraham.
7 Iyar 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Yossef(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 4 Iyar, avec ce qu’elle contenait, des chèques pour le Collel ‘Habad en Terre Sainte que j’ai envoyés, ces jours-ci, à leurs utilisateurs finaux. J’ai également apprécié l’empressement avec lequel vous me les avez adressés, sans attendre les autres.
Comme sont extraordinaires les propos de l’Admour Hazaken(2), à propos du sacrifice(3), l’événement qui sert de référence et de symbole non seulement aux enfants d’Israël, mais aussi aux autres nations et qui est couramment interprété de la manière suivante. Un père âgé livre son fils unique au sacrifice, sur l’ordre du Saint béni soit-Il.
Puis, vient l’Admour Hazaken, qui souligne que tel n’est pas du tout le contenu profond de ce sacrifice. Il dit que “ le sacrifice proprement dit n’est pas une épreuve si importante, compte tenu de la grande élévation de notre père Avraham. En effet, D.ieu s’est adressé à lui et lui a dit : ‘De grâce, prends ton fils’.
En fait, sa qualité fut la suivante. Notre père Avraham s’exécuta avec un merveilleux empressement. Il fit la preuve de sa joie et de sa bonne volonté. Nos Sages en déduisent qu’il doit en être de même pour la pratique de toutes les Mitsvot, en général et, en particulier, de la Tsédaka, qui dépasse toutes les autres. ”
Vous consulterez également Igueret Hakodech, au chapitre 21. Vous pouvez déduire de ces propos la valeur de l’empressement qui est plus grande, plus importante et plus merveilleuse que le sacrifice lui-même. Pour quelqu’un comme vous, il est inutile d’en dire plus.
Vous avez sûrement reçu, en son temps, ma précédente lettre.
Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vous concerne,
Notes
(1) Le Rav Yossef Flyer. Voir, à son sujet, la lettre n°2330.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2827.
(3) D’Its’hak à Avraham.