Lettre n° 2637
Par la grâce de D.ieu,
7 Iyar 5714,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue(1),
Il y a quelques semaines, D.ieu a montré Sa Bonté et Il a réalisé pour vous ce qu’il convient d’appeler un miracle(2). Ceci devrait susciter un sentiment de reconnaissance envers Celui qui “ guérit toute chair et fait des merveilles ”. Et, ce sentiment doit prendre la forme voulue par D.ieu Lui-même et exprimée, dans Sa sainte Torah, pour tous les Juifs, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme.
J’espérais donc que ceci éveillerait en vous la volonté de porter une perruque(3), ce qui est un moyen de sanctifier publiquement le Nom de D.ieu. Et, s’il semble qu’il soit difficile de le faire, cela veut simplement dire que la reconnaissance exprimée à D.ieu de cette façon est encore plus importante. Il faut donc le faire avec encore plus de joie.
J’espérais que votre reconnaissance à D.ieu s’exprimerait également, de manière conforme à Sa Volonté, exprimée dans Sa sainte Torah, envers les autres, en renforçant votre action pour leur faire acquérir les valeurs juives, de la meilleure façon, en particulier en tout ce qui est accompli publiquement, c’est-à-dire en présence de nombreuses personnes.
En conséquence, j’ai été très surpris par une rumeur qui est parvenue jusqu’à moi. On m’a dit que vous avez interprété le miracle qui vous est arrivé comme un événement normal. Non seulement vous n’avez pas exprimé votre reconnaissance et votre louange face à la Bonté de D.ieu, vous ne faites pas preuve de plus de sensibilité et d’enthousiasme pour la pratique juive, mais, bien plus, vous vous servez de l’influence que vous exercez sur vos proches pour les conduire à se dresser contre le Choul’han Arou’h.
Lorsque l’on marie sa fille, on a conscience que ce mariage est à la base même de sa vie. Or, vous souhaitez qu’un mariage se déroule d’une manière contraire à l’avis de D.ieu, exprimé dans le Choul’han Arou’h. Bien plus, vous craignez que la mariée elle-même souhaite se conformer à la Hala’ha et, de ce fait, vous tentez de convaincre les parents de la nécessité de la transgresser. Voilà comment vous exprimez votre reconnaissance après le miracle que D.ieu a accompli pour vous !
Je veux espérer que cette rumeur n’est pas fondée et qu’elle ne correspond pas à la réalité. Néanmoins, elle est parvenue jusqu’à moi et tout est effet de la divine Providence. Je pense donc qu’il est de mon devoir de vous écrire ces quelques lignes. J’espère recevoir, de votre part, une bonne nouvelle, le fait que vous portez une perruque, au moins à partir d’aujourd’hui, conformément à la pratique des femmes juives vertueuses et que vous exercez une influence positive sur votre entourage, en général et sur le plus proche, en particulier, afin que tous conforment leur comportement aux exigences du Choul’han Arou’h.
D.ieu vous accordera la réussite.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Une guérison miraculeuse.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°1892, 2434, 2463 et 2555.
7 Iyar 5714,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue(1),
Il y a quelques semaines, D.ieu a montré Sa Bonté et Il a réalisé pour vous ce qu’il convient d’appeler un miracle(2). Ceci devrait susciter un sentiment de reconnaissance envers Celui qui “ guérit toute chair et fait des merveilles ”. Et, ce sentiment doit prendre la forme voulue par D.ieu Lui-même et exprimée, dans Sa sainte Torah, pour tous les Juifs, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme.
J’espérais donc que ceci éveillerait en vous la volonté de porter une perruque(3), ce qui est un moyen de sanctifier publiquement le Nom de D.ieu. Et, s’il semble qu’il soit difficile de le faire, cela veut simplement dire que la reconnaissance exprimée à D.ieu de cette façon est encore plus importante. Il faut donc le faire avec encore plus de joie.
J’espérais que votre reconnaissance à D.ieu s’exprimerait également, de manière conforme à Sa Volonté, exprimée dans Sa sainte Torah, envers les autres, en renforçant votre action pour leur faire acquérir les valeurs juives, de la meilleure façon, en particulier en tout ce qui est accompli publiquement, c’est-à-dire en présence de nombreuses personnes.
En conséquence, j’ai été très surpris par une rumeur qui est parvenue jusqu’à moi. On m’a dit que vous avez interprété le miracle qui vous est arrivé comme un événement normal. Non seulement vous n’avez pas exprimé votre reconnaissance et votre louange face à la Bonté de D.ieu, vous ne faites pas preuve de plus de sensibilité et d’enthousiasme pour la pratique juive, mais, bien plus, vous vous servez de l’influence que vous exercez sur vos proches pour les conduire à se dresser contre le Choul’han Arou’h.
Lorsque l’on marie sa fille, on a conscience que ce mariage est à la base même de sa vie. Or, vous souhaitez qu’un mariage se déroule d’une manière contraire à l’avis de D.ieu, exprimé dans le Choul’han Arou’h. Bien plus, vous craignez que la mariée elle-même souhaite se conformer à la Hala’ha et, de ce fait, vous tentez de convaincre les parents de la nécessité de la transgresser. Voilà comment vous exprimez votre reconnaissance après le miracle que D.ieu a accompli pour vous !
Je veux espérer que cette rumeur n’est pas fondée et qu’elle ne correspond pas à la réalité. Néanmoins, elle est parvenue jusqu’à moi et tout est effet de la divine Providence. Je pense donc qu’il est de mon devoir de vous écrire ces quelques lignes. J’espère recevoir, de votre part, une bonne nouvelle, le fait que vous portez une perruque, au moins à partir d’aujourd’hui, conformément à la pratique des femmes juives vertueuses et que vous exercez une influence positive sur votre entourage, en général et sur le plus proche, en particulier, afin que tous conforment leur comportement aux exigences du Choul’han Arou’h.
D.ieu vous accordera la réussite.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Une guérison miraculeuse.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°1892, 2434, 2463 et 2555.