Lettre n° 2642
Par la grâce de D.ieu,
8 Iyar 5714,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
multipliant les accomplissements positifs pour la
Torah et les Mitsvot, aux nombreuses connaissances,
le Rav ‘Hananya Yom Tov Lipa(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, vos livres, les cinq tomes de Taharat Yom Tov. Vous m’annoncez également que vous en préparez l’édition du sixième tome.
Ils sont basés sur le Yessod Yossef, qui traite, en particulier, du respect de l’alliance(2) et de la manière d’en réparer les violations (3).
Les ‘Hassidim n’ont pas l’habitude d’éditer des livres spécifiquement pour expliquer la raison de cette faute, ni même d’en parler en public ou avec une large diffusion et l’on peut le justifier d’après l’explication du Tséma’h Tsédek(4) selon laquelle, la pensée ou la crainte de la faute peuvent naturellement provoquer un écoulement de semence, au même titre que la réflexion à la faute. Vous consulterez également le Tséma’h Tsédek, porte des additifs, chapitre 62.
Dans ce pays, cette faute s’est largement répandue, auprès de certains milieux, qui tentent même de la légitimer. Bien plus, certains médecins, au service du paganisme, permettant ce qui est interdit, prescrivent de telles pratiques à ceux qui les consultent et leur demandent de s’y habituer. Ils se moquent de ceux qui les interdisent et expliquent qu’elles sont non seulement permises, mais même souhaitables, ce qu’à D.ieu ne plaise.
Et, du fait de nos fautes, nul n’intervient pour protester et les condamner. Nul n’explique comment l’on affaiblit son corps, on amenuise ses forces et l’on perd la vie, en agissant de la sorte. De plus, on rend son âme impure et l’on provoque sa chute, selon l’expression de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h.
Cette faute est particulièrement grave, beaucoup plus que les unions interdites, du point de vue de la grandeur et de l’importance de l’impureté qui en résulte, dans une proportion considérable, comme le dit le chapitre 7 du Tanya et comme le Likouteï Torah, au début de la Parchat Chela’h, en explique l’immense gravité.
Il y a donc lieu de penser qu’il est nécessaire d’imprimer et de diffuser la gravité de cette faute et de la souillure qui en résulte. Il est également nécessaire d’en parler, si l’on peut ainsi préserver de jeunes Juifs de la chute. Il faut surtout renforcer et accroître la vigilance des enseignants, des professeurs et des recteurs de Yechivot, afin qu’ils prennent conscience de cette situation. Car, pour une large part, il dépend d’eux de rectifier une situation aussi déplorable. En conséquence, la responsabilité leur en incombe. Car, celui qui a la possibilité d’intervenir…(5).
D.ieu fasse que vous connaissiez la réussite. Vous conférerez un mérite au plus grand nombre et vous montrerez comment juger les oppresseurs, c’est-à-dire comment avoir pitié d’eux, avoir pitié des parcelles de Sainteté qui sont oppressées par les actions des hommes, comme le dit l’Admour Haémtsahi, dans son Sidour, commentant le verset : “ Il rend le jugement aux oppresseurs ”, jusqu’à ce que l’Eternel rassemble Son peuple, Israël, qui est disséminé, par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours, Amen.
Avec ma bénédiction de réussite,
Dans votre livre, vous traitez également du Mikwé et je vous joins une copie d’une liste d’instructions données par le Rabbi Rachab(6), père de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, lorsqu’un Mikwé fut construit dans sa ville.
Comme marque d’appréciation, je formulerai quelques remarques qui me sont venues en feuilletant votre livre.
Tome 1, page 1, sur l’organe masculin :
Il faut rappeler et souligner l’affirmation de nos Sages, au traité Yebamot 53b selon laquelle celui-ci ne peut se durcir que du plein gré de l’homme. En effet, il existe un lien direct entre cet organe et le cerveau. Et, la raison en est bien connue. Il y a des nerfs, très fins, qui assurent la liaison entre eux et les unissent au point de ne former qu’un seul et même membre. Vous consulterez les additifs du Torah Or, de l’Admour Hazaken, à la fin de la Parchat Vaye’hi, qui développent une longue explication à ce sujet.
Tome 1, page 87 :
Vous consulterez le Or Hachanim, du Rav A. L. Epstein, grand érudit et kabbaliste, président du tribunal rabbinique de Königsberg, qui définit l’émission de semence en pure perte comme une transgression de l'Interdiction : “ Tu ne commettras pas d’adultère ”. Pour l’heure, je n’ai vu personne d’autre qui défende la même position.
Tome 2, page 34, concernant la raison pour laquelle la Torah ne mentionne pas clairement l’interdiction de provoquer la perte de semence en pure perte :
Voir le Or Hachanim, précédemment cité. La fin du chapitre 7 du Tanya en donne la raison. En effet, il est possible, par la Techouva qui convient, de réintégrer au domaine de la Sainteté la vitalité qui a été enfermée dans les forces du mal, du fait de cette faute. Il n’en est pas de même pour les autres Interdictions de la Torah(7). Vous consulterez le Panim la Torah.
Tome 2, page 88, concernant la punition de la réincarnation :
Je sui surpris que vous ne reproduisiez rien de l’enseignement du Ari Zal et de ses disciples, après que celui-ci ait été révélé. Bien plus, parmi les “ huit portes ” du Ari Zal, l’une d’elles est intégralement consacrée à ce sujet(8). Il s’agit du Chaar Ha Guilgoulim(9).
Par ailleurs, différents autres textes des écrits du Ari Zal commentent également cette idée. Vous consulterez la fin de l’introduction de Rabbi ‘Haïm Vital au Chaar Haakdamot(10).
Tome 3, au début, concernant les réparations de cette faute :
Voir le chapitre 7 du Tanya et Iguéret Hatechouva, de l’Admour Hazaken, chapitres 3 et 9.
Tome 3, page 111, concernant le fait de retirer la bague du Loulav, à Hochaana Rabba, après la lecture du Hallel :
On peut s’interroger, à ce sujet. Notre coutume(11) est de la retirer avant le Hallel. C’est également ce que dit le Baït ‘Hadach, Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, chapitre 664. Vous consulterez la raison qu’il donne. C’est aussi l’avis du Darkeï ‘Haïm Ve Chalom, au chapitre 791.
Tome 4, au début, concernant la réparation par le fait d’étudier les secrets de la Torah :
Dans la mesure où cela pourrait être d’une quelconque nécessité, nous pouvons en déduire une autre raison de l’affirmation du Ari Zal selon laquelle, précisément en ces dernières générations, il est permis et il est une Mitsva de révéler cette sagesse, celle de la Kabbala. Dans l’introduction précédemment citée, Rabbi ‘Haïm Vital explique :
“ Tout dépend de la manière dont on étudie cette Sagesse. En ne le faisant pas, nous retardons et nous empêchons la reconstruction du Temple. Le malheur vient de la négligence de cette étude. En effet, D.ieu conçoit du plaisir de ce qu’Il a créé dans Son monde uniquement lorsque Ses enfants étudient, ici-bas, les secrets de la Torah et non uniquement son sens simple. L’homme n’a été créé que pour étudier la Kabbala ”.
Il cite et commente les propos du Zohar, tome 1, pages 26 et 27, page 118a, tome 2, page 247a. Vous consulterez son long développement.
Tome 4, à partir de la page 67 :
Vous verrez, pour tout cela, les responsa Tséma’h Tsédek, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 139, porte des additifs, chapitre 45 et ses commentaires sur le traité Bera’hot, chapitre 3, page 5a.
Tome 5, au début, à propos du verset “ Et Yossef vint ” :
Vous verrez le Dére’h Mitsvoté’ha du Tséma’h Tsédek, tome 2, à partir de la page 277b, qui fait une longue analyse, à ce sujet.
Tome 5, page 159, chapitre 51, paragraphe 1 :
Vous verrez, à ce sujet, les responsa Tsafnat Paanéa’h, du Rav Yossef Rosin de Ragatchov, au chapitre 25.
Tome 5, à la fin, page 182, concernant le fait que l’intégrité s’étend également à la pensée et l’on peut se demander où l’on trouve une allusion à cela :
On peut trouver cette allusion dans le Zohar, tome 3, page 230a , qui dit :
“ On doit être intérieurement conforme à ce que l’on est extérieurement. On doit être intègre en ses membres intérieurs comme en ses membres extérieurs. ”
A la page 165b, une déduction est faite, de ce verset pour Noa’h, “ un homme juste, qui était intègre ”.
Notes
(1) Le Rav H. Y. T. L. Deutsch.
(2) De notre père Avraham, celle de la circoncision.
(3) En particulier, l’émission de semence en pure perte.
(4) Voir Iguerot Kodech du Tséma’h Tsédek, lettre n°26.
(5) Et ne le fait pas est considéré comme s’il avait lui-même fauté. Voir le premier chapitre du Tanya.
(6) Celle-ci est imprimée à la fin du Taharat Maïm, l’ouvrage sur le Mikwé du Rav Telushkin et dans les additifs du Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, éditions Kehot, tome 5 et 6, page 910-78.
(7) Par exemple lorsqu’une union interdite a eu pour conséquence la naissance d’un enfant, dont l’existence perdurera à la Techouva du père.
(8) A la réincarnation.
(9) Textuellement, la porte des réincarnations.
(10) Textuellement, la porte des introductions.
(11) Voir Séfer Ha Minhaguim ‘Habad, page 68.
8 Iyar 5714,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
multipliant les accomplissements positifs pour la
Torah et les Mitsvot, aux nombreuses connaissances,
le Rav ‘Hananya Yom Tov Lipa(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, vos livres, les cinq tomes de Taharat Yom Tov. Vous m’annoncez également que vous en préparez l’édition du sixième tome.
Ils sont basés sur le Yessod Yossef, qui traite, en particulier, du respect de l’alliance(2) et de la manière d’en réparer les violations (3).
Les ‘Hassidim n’ont pas l’habitude d’éditer des livres spécifiquement pour expliquer la raison de cette faute, ni même d’en parler en public ou avec une large diffusion et l’on peut le justifier d’après l’explication du Tséma’h Tsédek(4) selon laquelle, la pensée ou la crainte de la faute peuvent naturellement provoquer un écoulement de semence, au même titre que la réflexion à la faute. Vous consulterez également le Tséma’h Tsédek, porte des additifs, chapitre 62.
Dans ce pays, cette faute s’est largement répandue, auprès de certains milieux, qui tentent même de la légitimer. Bien plus, certains médecins, au service du paganisme, permettant ce qui est interdit, prescrivent de telles pratiques à ceux qui les consultent et leur demandent de s’y habituer. Ils se moquent de ceux qui les interdisent et expliquent qu’elles sont non seulement permises, mais même souhaitables, ce qu’à D.ieu ne plaise.
Et, du fait de nos fautes, nul n’intervient pour protester et les condamner. Nul n’explique comment l’on affaiblit son corps, on amenuise ses forces et l’on perd la vie, en agissant de la sorte. De plus, on rend son âme impure et l’on provoque sa chute, selon l’expression de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h.
Cette faute est particulièrement grave, beaucoup plus que les unions interdites, du point de vue de la grandeur et de l’importance de l’impureté qui en résulte, dans une proportion considérable, comme le dit le chapitre 7 du Tanya et comme le Likouteï Torah, au début de la Parchat Chela’h, en explique l’immense gravité.
Il y a donc lieu de penser qu’il est nécessaire d’imprimer et de diffuser la gravité de cette faute et de la souillure qui en résulte. Il est également nécessaire d’en parler, si l’on peut ainsi préserver de jeunes Juifs de la chute. Il faut surtout renforcer et accroître la vigilance des enseignants, des professeurs et des recteurs de Yechivot, afin qu’ils prennent conscience de cette situation. Car, pour une large part, il dépend d’eux de rectifier une situation aussi déplorable. En conséquence, la responsabilité leur en incombe. Car, celui qui a la possibilité d’intervenir…(5).
D.ieu fasse que vous connaissiez la réussite. Vous conférerez un mérite au plus grand nombre et vous montrerez comment juger les oppresseurs, c’est-à-dire comment avoir pitié d’eux, avoir pitié des parcelles de Sainteté qui sont oppressées par les actions des hommes, comme le dit l’Admour Haémtsahi, dans son Sidour, commentant le verset : “ Il rend le jugement aux oppresseurs ”, jusqu’à ce que l’Eternel rassemble Son peuple, Israël, qui est disséminé, par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours, Amen.
Avec ma bénédiction de réussite,
Dans votre livre, vous traitez également du Mikwé et je vous joins une copie d’une liste d’instructions données par le Rabbi Rachab(6), père de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, lorsqu’un Mikwé fut construit dans sa ville.
Comme marque d’appréciation, je formulerai quelques remarques qui me sont venues en feuilletant votre livre.
Tome 1, page 1, sur l’organe masculin :
Il faut rappeler et souligner l’affirmation de nos Sages, au traité Yebamot 53b selon laquelle celui-ci ne peut se durcir que du plein gré de l’homme. En effet, il existe un lien direct entre cet organe et le cerveau. Et, la raison en est bien connue. Il y a des nerfs, très fins, qui assurent la liaison entre eux et les unissent au point de ne former qu’un seul et même membre. Vous consulterez les additifs du Torah Or, de l’Admour Hazaken, à la fin de la Parchat Vaye’hi, qui développent une longue explication à ce sujet.
Tome 1, page 87 :
Vous consulterez le Or Hachanim, du Rav A. L. Epstein, grand érudit et kabbaliste, président du tribunal rabbinique de Königsberg, qui définit l’émission de semence en pure perte comme une transgression de l'Interdiction : “ Tu ne commettras pas d’adultère ”. Pour l’heure, je n’ai vu personne d’autre qui défende la même position.
Tome 2, page 34, concernant la raison pour laquelle la Torah ne mentionne pas clairement l’interdiction de provoquer la perte de semence en pure perte :
Voir le Or Hachanim, précédemment cité. La fin du chapitre 7 du Tanya en donne la raison. En effet, il est possible, par la Techouva qui convient, de réintégrer au domaine de la Sainteté la vitalité qui a été enfermée dans les forces du mal, du fait de cette faute. Il n’en est pas de même pour les autres Interdictions de la Torah(7). Vous consulterez le Panim la Torah.
Tome 2, page 88, concernant la punition de la réincarnation :
Je sui surpris que vous ne reproduisiez rien de l’enseignement du Ari Zal et de ses disciples, après que celui-ci ait été révélé. Bien plus, parmi les “ huit portes ” du Ari Zal, l’une d’elles est intégralement consacrée à ce sujet(8). Il s’agit du Chaar Ha Guilgoulim(9).
Par ailleurs, différents autres textes des écrits du Ari Zal commentent également cette idée. Vous consulterez la fin de l’introduction de Rabbi ‘Haïm Vital au Chaar Haakdamot(10).
Tome 3, au début, concernant les réparations de cette faute :
Voir le chapitre 7 du Tanya et Iguéret Hatechouva, de l’Admour Hazaken, chapitres 3 et 9.
Tome 3, page 111, concernant le fait de retirer la bague du Loulav, à Hochaana Rabba, après la lecture du Hallel :
On peut s’interroger, à ce sujet. Notre coutume(11) est de la retirer avant le Hallel. C’est également ce que dit le Baït ‘Hadach, Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, chapitre 664. Vous consulterez la raison qu’il donne. C’est aussi l’avis du Darkeï ‘Haïm Ve Chalom, au chapitre 791.
Tome 4, au début, concernant la réparation par le fait d’étudier les secrets de la Torah :
Dans la mesure où cela pourrait être d’une quelconque nécessité, nous pouvons en déduire une autre raison de l’affirmation du Ari Zal selon laquelle, précisément en ces dernières générations, il est permis et il est une Mitsva de révéler cette sagesse, celle de la Kabbala. Dans l’introduction précédemment citée, Rabbi ‘Haïm Vital explique :
“ Tout dépend de la manière dont on étudie cette Sagesse. En ne le faisant pas, nous retardons et nous empêchons la reconstruction du Temple. Le malheur vient de la négligence de cette étude. En effet, D.ieu conçoit du plaisir de ce qu’Il a créé dans Son monde uniquement lorsque Ses enfants étudient, ici-bas, les secrets de la Torah et non uniquement son sens simple. L’homme n’a été créé que pour étudier la Kabbala ”.
Il cite et commente les propos du Zohar, tome 1, pages 26 et 27, page 118a, tome 2, page 247a. Vous consulterez son long développement.
Tome 4, à partir de la page 67 :
Vous verrez, pour tout cela, les responsa Tséma’h Tsédek, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 139, porte des additifs, chapitre 45 et ses commentaires sur le traité Bera’hot, chapitre 3, page 5a.
Tome 5, au début, à propos du verset “ Et Yossef vint ” :
Vous verrez le Dére’h Mitsvoté’ha du Tséma’h Tsédek, tome 2, à partir de la page 277b, qui fait une longue analyse, à ce sujet.
Tome 5, page 159, chapitre 51, paragraphe 1 :
Vous verrez, à ce sujet, les responsa Tsafnat Paanéa’h, du Rav Yossef Rosin de Ragatchov, au chapitre 25.
Tome 5, à la fin, page 182, concernant le fait que l’intégrité s’étend également à la pensée et l’on peut se demander où l’on trouve une allusion à cela :
On peut trouver cette allusion dans le Zohar, tome 3, page 230a , qui dit :
“ On doit être intérieurement conforme à ce que l’on est extérieurement. On doit être intègre en ses membres intérieurs comme en ses membres extérieurs. ”
A la page 165b, une déduction est faite, de ce verset pour Noa’h, “ un homme juste, qui était intègre ”.
Notes
(1) Le Rav H. Y. T. L. Deutsch.
(2) De notre père Avraham, celle de la circoncision.
(3) En particulier, l’émission de semence en pure perte.
(4) Voir Iguerot Kodech du Tséma’h Tsédek, lettre n°26.
(5) Et ne le fait pas est considéré comme s’il avait lui-même fauté. Voir le premier chapitre du Tanya.
(6) Celle-ci est imprimée à la fin du Taharat Maïm, l’ouvrage sur le Mikwé du Rav Telushkin et dans les additifs du Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, éditions Kehot, tome 5 et 6, page 910-78.
(7) Par exemple lorsqu’une union interdite a eu pour conséquence la naissance d’un enfant, dont l’existence perdurera à la Techouva du père.
(8) A la réincarnation.
(9) Textuellement, la porte des réincarnations.
(10) Textuellement, la porte des introductions.
(11) Voir Séfer Ha Minhaguim ‘Habad, page 68.