Lettre n° 2644
Par la grâce de D.ieu,
10 Iyar 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du premier jour de Roch ‘Hodech Iyar, avec ce qu’elle contenait.
Concernant votre état de santé, vous devez, de façon générale, vous conformer aux prescriptions du médecin. Il y a sûrement un moyen de le faire sans contredire la mission sacrée qui est la vôtre, d’autant que la santé du corps, “ le fait qu’il soit sain et intègre, appartient aux voies de D.ieu ”(1). Il est donc impossible qu’une Mitsva en contredise une autre.
Combien plus est-ce le cas lorsque l’on fait tout cela joyeusement, car la joie brise les limites inhérentes à la matière et les fait disparaître. Dès lors, la matérialité n’est plus très éloignée de la spiritualité.
D.ieu fasse que vous et les membres de votre famille annonciez toujours de bonnes nouvelles et que vous connaissiez la réussite dans la mission qui vous est confiée, en bonne santé.
Avec ma bénédiction et en saluant tous les ‘Hassidim,
N. B. : Je vous joins un extrait de la causerie(2) prononcée pendant le Chabbat qui a béni le mois de Sivan, l’an dernier. De fait, celui-ci est d’actualité, tout au long de l’année.
Notes
(1) Selon les termes du Rambam.
(2) Du Rabbi lui-même.
10 Iyar 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du premier jour de Roch ‘Hodech Iyar, avec ce qu’elle contenait.
Concernant votre état de santé, vous devez, de façon générale, vous conformer aux prescriptions du médecin. Il y a sûrement un moyen de le faire sans contredire la mission sacrée qui est la vôtre, d’autant que la santé du corps, “ le fait qu’il soit sain et intègre, appartient aux voies de D.ieu ”(1). Il est donc impossible qu’une Mitsva en contredise une autre.
Combien plus est-ce le cas lorsque l’on fait tout cela joyeusement, car la joie brise les limites inhérentes à la matière et les fait disparaître. Dès lors, la matérialité n’est plus très éloignée de la spiritualité.
D.ieu fasse que vous et les membres de votre famille annonciez toujours de bonnes nouvelles et que vous connaissiez la réussite dans la mission qui vous est confiée, en bonne santé.
Avec ma bénédiction et en saluant tous les ‘Hassidim,
N. B. : Je vous joins un extrait de la causerie(2) prononcée pendant le Chabbat qui a béni le mois de Sivan, l’an dernier. De fait, celui-ci est d’actualité, tout au long de l’année.
Notes
(1) Selon les termes du Rambam.
(2) Du Rabbi lui-même.