Lettre n° 2683
Par la grâce de D.ieu,
28 Iyar 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du trente huitième jour de l’Omer(1) et aux nouvelles que vous avez annoncées par téléphone et qui ont suscité mon étonnement.
Vous avez observé des miracles de D.ieu, dans votre propre vie et, a fortiori, dans celle des autres. Parfois, alors que l’on ne voyait aucune issue, une solution positive a pu être trouvée, au point d’être surpris et même désolé d’avoir été à ce point désespéré.
Le sage dit que le passé délivre une leçon pour le futur. Il faut donc être fermement convaincu que tout ce que D.ieu fait est pour le bien. Puis, on s’élève vers un niveau plus haut et l’on comprend que tout ce qui survient est effectivement pour le bien. Une telle attitude est elle-même le bien et non uniquement la cause de ce bien. Et, vous connaissez la différence que l’on peut faire entre le récit du traité Bera’hot 60b, selon lequel “ tout ce que D.ieu fait est pour le bien ” et celui du traité Taanit 21a, qui dit : “ ceci est également pour le bien ”(2).
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, je conclus en vous adressant ma bénédiction pour que vous receviez la Torah, de manière joyeuse et profonde.
Notes
(1) Le 23 Iyar.
(2) Cette différence est expliquée dans la lettre n°1744.
28 Iyar 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du trente huitième jour de l’Omer(1) et aux nouvelles que vous avez annoncées par téléphone et qui ont suscité mon étonnement.
Vous avez observé des miracles de D.ieu, dans votre propre vie et, a fortiori, dans celle des autres. Parfois, alors que l’on ne voyait aucune issue, une solution positive a pu être trouvée, au point d’être surpris et même désolé d’avoir été à ce point désespéré.
Le sage dit que le passé délivre une leçon pour le futur. Il faut donc être fermement convaincu que tout ce que D.ieu fait est pour le bien. Puis, on s’élève vers un niveau plus haut et l’on comprend que tout ce qui survient est effectivement pour le bien. Une telle attitude est elle-même le bien et non uniquement la cause de ce bien. Et, vous connaissez la différence que l’on peut faire entre le récit du traité Bera’hot 60b, selon lequel “ tout ce que D.ieu fait est pour le bien ” et celui du traité Taanit 21a, qui dit : “ ceci est également pour le bien ”(2).
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, je conclus en vous adressant ma bénédiction pour que vous receviez la Torah, de manière joyeuse et profonde.
Notes
(1) Le 23 Iyar.
(2) Cette différence est expliquée dans la lettre n°1744.