Lettre n° 2687
Par la grâce de D.ieu,
29 Iyar 5714,
Brooklyn,
A mon proche parent, le grand Rav, distingué ‘Hassid
qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Guerchon(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de “ Tiféret de Yessod ”(2), à laquelle était jointe une demande de bénédiction. Celle-ci sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles, à ce sujet.
Vous évoquez le discours ‘hassidique intitulé “ Afin de comprendre ce qui est dit au chapitre 23 du Tanya ”. Il existe plusieurs discours ayant ce titre(3). Il semble que l’un d’entre eux soit du Tséma’h Tsédek, l’un du Juste, Rabbi Hillel de Paritch et d’autres des fils ou des petits-fils du Tséma’h Tsédek. Il est difficile de déterminer l’auteur de chacun car, de façon générale, il sont tous basés sur l’enseignement du Tséma’h Tsédek.
Vous évoquez l’étude du traité Sotta(4), pendant la période de l’Omer. On peut en trouver la raison dans le Zohar, tome 3, page 97a, qui précise le lien entre l’un et l’autre. La ‘Hassidout l’explique également, en soulignant que l’offrande de l’Omer était constituée par de l’orge, au même titre que celle de la Sotta.
Vous faites remarquer que le traité Chevouot a le même nombre de pages que le traité Sotta. Nos livres, en particulier le Zi’hron Yehouda, cité par le Likouteï Maharia’h, ordre des coutumes de la période de l’Omer, au nom du Imreï Ech, citent effectivement la coutume d’étudier le traité Chevouot pendant la période de l’Omer. Néanmoins, mon beau-père, le Rabbi, m’a dit que nous étudions le traité Sotta.
Avec ma bénédiction de bonne santé et, conformément à l’expression de mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah de manière joyeuse et profonde,
Notes
(1) Le Rav G. Chen. Voir, à son sujet, les lettres n°2100 et 2789.
(2) Le 23 Iyar, trente huitième jour de l’Omer.
(3) Voir le Likouteï Amarim avec des références et un recueil de commentaires, éditions Kehot 5738-1978, à partir de la page 436.
(4) Ce traité compte quarante neuf pages, comme l’Omer a quarante neuf jours.
29 Iyar 5714,
Brooklyn,
A mon proche parent, le grand Rav, distingué ‘Hassid
qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Guerchon(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de “ Tiféret de Yessod ”(2), à laquelle était jointe une demande de bénédiction. Celle-ci sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles, à ce sujet.
Vous évoquez le discours ‘hassidique intitulé “ Afin de comprendre ce qui est dit au chapitre 23 du Tanya ”. Il existe plusieurs discours ayant ce titre(3). Il semble que l’un d’entre eux soit du Tséma’h Tsédek, l’un du Juste, Rabbi Hillel de Paritch et d’autres des fils ou des petits-fils du Tséma’h Tsédek. Il est difficile de déterminer l’auteur de chacun car, de façon générale, il sont tous basés sur l’enseignement du Tséma’h Tsédek.
Vous évoquez l’étude du traité Sotta(4), pendant la période de l’Omer. On peut en trouver la raison dans le Zohar, tome 3, page 97a, qui précise le lien entre l’un et l’autre. La ‘Hassidout l’explique également, en soulignant que l’offrande de l’Omer était constituée par de l’orge, au même titre que celle de la Sotta.
Vous faites remarquer que le traité Chevouot a le même nombre de pages que le traité Sotta. Nos livres, en particulier le Zi’hron Yehouda, cité par le Likouteï Maharia’h, ordre des coutumes de la période de l’Omer, au nom du Imreï Ech, citent effectivement la coutume d’étudier le traité Chevouot pendant la période de l’Omer. Néanmoins, mon beau-père, le Rabbi, m’a dit que nous étudions le traité Sotta.
Avec ma bénédiction de bonne santé et, conformément à l’expression de mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah de manière joyeuse et profonde,
Notes
(1) Le Rav G. Chen. Voir, à son sujet, les lettres n°2100 et 2789.
(2) Le 23 Iyar, trente huitième jour de l’Omer.
(3) Voir le Likouteï Amarim avec des références et un recueil de commentaires, éditions Kehot 5738-1978, à partir de la page 436.
(4) Ce traité compte quarante neuf pages, comme l’Omer a quarante neuf jours.