Lettre n° 2702
Par la grâce de D.ieu,
2 Sivan 5714,
Brooklyn,
Au Rav et Tsaddik, descendant d’une illustre famille,
issu d’une grande lignée, le Rav Chimeon Zeev Chlita(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du trente huitième jour du compte des enfants d’Israël(2), qui faisait suite à une longue interruption. Vous m’y annoncez une bonne nouvelle, puisque vous me dites que vous allez bien.
Puisse D.ieu faire que chacun d’entre nous n’annonce que de bonnes nouvelles à l’autre. Et, “ il n’est de bon que la Torah ”, qui est appelée Torah de vie, ce qui veut dire qu’elle est liée et unifiée à la vie, au sens le plus littéral et comme on peut le comprendre.
Il est clair que cela inclut également la vie dans ce monde, comme l’explique en particulier le chapitre 36 du Tanya et comme on peut le déduire de la décision de nos Sages selon laquelle “ la Torah ne se trouve pas dans le ciel ”, mais précisément ici-bas.
J’ai été content d’apprendre que vous étudiez chaque jour le saint Tanya(3). En effet, ce qualificatif(4) lui a été donné dans l’approbation à son impression qui figure dans l’édition de Zolkwa, laquelle fut rédigée, en un endroit éloigné de celui où vivait l’Admour Hazaken, par des Rabbanim qui ne le connaissaient pas.
Vous savez aussi ce qu’écrivirent les premiers à donner leur approbation à l’édition du Tanya, ceux qui furent les grands disciples du Maguid de Mézéritch. Leur propos sont imprimés au début du Tanya et ce qui est clairement établi n’a nul besoin d’être commenté. Vous avez sans doute vu également la note de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, qui se trouve à la fin du recueil de résumés et de commentaires sur le Tanya(5).
Je vous remercie beaucoup d’avoir mentionné mon nom près des lieux saints(6). Il est sûrement inutile de rappeler à quelqu’un comme vous ce qui est expliqué, à ce sujet, dans un discours ‘hassidique de l’Admour Haémtsahi, fils de l’Admour Hazaken qui est l’auteur du Tanya. Ce texte est intitulé “ Pour comprendre le sens de la visite à un tombeau ”. On peut également trouver des précisions, à ce sujet, dans les commentaires de Rabbi Hillel de Paritch.
Comme vous me le demandez, je mentionnerai votre nom et celui des membres de votre famille, lorsque je me trouverai près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Dernier point, qui suscite le plus d’intérêt, vous m’annoncez la bonne nouvelle de la naissance de votre fille, avec Mazal Tov. Vous l’avez appelée Sima Léa. Puisse D.ieu faire qu’elle grandisse pour la Torah, le dais nuptial et les bonnes actions. Vous et votre épouse concevrez, d’elle et de tous vos enfants, beaucoup de satisfaction ‘hassidique, pendant de longs jours et de bonnes années.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah de manière joyeuse et profonde,
Notes
(1) Le Rav C. Z. Rubin. Voir, à son sujet, la lettre n°2444.
(2) Du compte de l’Omer.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°2444.
(4) Saint.
(5) Du Tséma’h Tsédek.
(6) Vraisemblablement d’Erets Israël.
2 Sivan 5714,
Brooklyn,
Au Rav et Tsaddik, descendant d’une illustre famille,
issu d’une grande lignée, le Rav Chimeon Zeev Chlita(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du trente huitième jour du compte des enfants d’Israël(2), qui faisait suite à une longue interruption. Vous m’y annoncez une bonne nouvelle, puisque vous me dites que vous allez bien.
Puisse D.ieu faire que chacun d’entre nous n’annonce que de bonnes nouvelles à l’autre. Et, “ il n’est de bon que la Torah ”, qui est appelée Torah de vie, ce qui veut dire qu’elle est liée et unifiée à la vie, au sens le plus littéral et comme on peut le comprendre.
Il est clair que cela inclut également la vie dans ce monde, comme l’explique en particulier le chapitre 36 du Tanya et comme on peut le déduire de la décision de nos Sages selon laquelle “ la Torah ne se trouve pas dans le ciel ”, mais précisément ici-bas.
J’ai été content d’apprendre que vous étudiez chaque jour le saint Tanya(3). En effet, ce qualificatif(4) lui a été donné dans l’approbation à son impression qui figure dans l’édition de Zolkwa, laquelle fut rédigée, en un endroit éloigné de celui où vivait l’Admour Hazaken, par des Rabbanim qui ne le connaissaient pas.
Vous savez aussi ce qu’écrivirent les premiers à donner leur approbation à l’édition du Tanya, ceux qui furent les grands disciples du Maguid de Mézéritch. Leur propos sont imprimés au début du Tanya et ce qui est clairement établi n’a nul besoin d’être commenté. Vous avez sans doute vu également la note de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, qui se trouve à la fin du recueil de résumés et de commentaires sur le Tanya(5).
Je vous remercie beaucoup d’avoir mentionné mon nom près des lieux saints(6). Il est sûrement inutile de rappeler à quelqu’un comme vous ce qui est expliqué, à ce sujet, dans un discours ‘hassidique de l’Admour Haémtsahi, fils de l’Admour Hazaken qui est l’auteur du Tanya. Ce texte est intitulé “ Pour comprendre le sens de la visite à un tombeau ”. On peut également trouver des précisions, à ce sujet, dans les commentaires de Rabbi Hillel de Paritch.
Comme vous me le demandez, je mentionnerai votre nom et celui des membres de votre famille, lorsque je me trouverai près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Dernier point, qui suscite le plus d’intérêt, vous m’annoncez la bonne nouvelle de la naissance de votre fille, avec Mazal Tov. Vous l’avez appelée Sima Léa. Puisse D.ieu faire qu’elle grandisse pour la Torah, le dais nuptial et les bonnes actions. Vous et votre épouse concevrez, d’elle et de tous vos enfants, beaucoup de satisfaction ‘hassidique, pendant de longs jours et de bonnes années.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah de manière joyeuse et profonde,
Notes
(1) Le Rav C. Z. Rubin. Voir, à son sujet, la lettre n°2444.
(2) Du compte de l’Omer.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°2444.
(4) Saint.
(5) Du Tséma’h Tsédek.
(6) Vraisemblablement d’Erets Israël.