Lettre n° 2703
Par la grâce de D.ieu,
3 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’écrivez à propos des études menées au Kfar(1). Je suis surpris que vous ne mentionnez pas celle des lois qui s’appliquent en Erets Israël(2). J’espère qu’il s’agit uniquement d’une omission dans votre courrier, mais qu’une telle étude existe effectivement. Comme vous le savez, nos Sages soulignent que “ l’acte est essentiel et non l’étude ”.
Vous évoquez vos difficultés de concentrer votre pensée. L’une des solutions, en pareil cas, est de changer le thème de son étude, selon son goût, dès que l’on se fatigue(3). Il ne faut pas contraindre sa pensée à s’investir en ce qui a contribué à la fatiguer.
Par ailleurs, vous me dites que votre anniversaire approche. Puisse D.ieu faire que, pendant de longs jours et de bonnes années, qui seront bonnes à tous les sens du terme, vous concentriez toute votre ardeur sur la Torah et les Mitsvot, que vous transmettrez également à votre entourage, au même titre que le luminaire de la Torah, qui est la ‘Hassidout.
De votre vivant et du nôtre, s’accomplira la promesse(4) selon laquelle : “ Je couperai toutes les cornes des impies. Que se dresse les cornes du Juste ”. Rachi, à cette même référence, explique que cette formulation fait allusion à la délivrance véritable et complète. Alors, on effacera le souvenir d’Amalek et l’on rehaussera les cornes du Juste du monde. Vous consulterez, à ce sujet, le Or Ha Torah du Tséma’h Tsédek, dans les commentaires de ‘Hanouka, à la page 600.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, pour que vous receviez la Torah de manière joyeuse et profonde,
Notes
(1) A Kfar ‘Habad.
(2) En particulier, les lois agricoles.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2674, 2779 et 2884.
(4) Tehilim 75, 11.
3 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’écrivez à propos des études menées au Kfar(1). Je suis surpris que vous ne mentionnez pas celle des lois qui s’appliquent en Erets Israël(2). J’espère qu’il s’agit uniquement d’une omission dans votre courrier, mais qu’une telle étude existe effectivement. Comme vous le savez, nos Sages soulignent que “ l’acte est essentiel et non l’étude ”.
Vous évoquez vos difficultés de concentrer votre pensée. L’une des solutions, en pareil cas, est de changer le thème de son étude, selon son goût, dès que l’on se fatigue(3). Il ne faut pas contraindre sa pensée à s’investir en ce qui a contribué à la fatiguer.
Par ailleurs, vous me dites que votre anniversaire approche. Puisse D.ieu faire que, pendant de longs jours et de bonnes années, qui seront bonnes à tous les sens du terme, vous concentriez toute votre ardeur sur la Torah et les Mitsvot, que vous transmettrez également à votre entourage, au même titre que le luminaire de la Torah, qui est la ‘Hassidout.
De votre vivant et du nôtre, s’accomplira la promesse(4) selon laquelle : “ Je couperai toutes les cornes des impies. Que se dresse les cornes du Juste ”. Rachi, à cette même référence, explique que cette formulation fait allusion à la délivrance véritable et complète. Alors, on effacera le souvenir d’Amalek et l’on rehaussera les cornes du Juste du monde. Vous consulterez, à ce sujet, le Or Ha Torah du Tséma’h Tsédek, dans les commentaires de ‘Hanouka, à la page 600.
Avec ma bénédiction, selon la formulation de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, pour que vous receviez la Torah de manière joyeuse et profonde,
Notes
(1) A Kfar ‘Habad.
(2) En particulier, les lois agricoles.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2674, 2779 et 2884.
(4) Tehilim 75, 11.