Lettre n° 2720
Par la grâce de D.ieu,
9 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait d’obtenir de vos nouvelles, par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Chmouel David Raitchik, émissaire des Sages(1). Il m’a également dit que vous avez acheté un terrain(2) et que vous pensez y construire une maison.
Puisse D.ieu faire que votre projet connaisse le succès et, selon l’expression de l’Admour Hazaken, qu’Il vous accorde beaucoup de biens matériels, afin que vous en fassiez de la spiritualité, en apportant votre contribution à des réalisations liées à la Torah et aux Mitsvot. Vous le ferez en bonne santé et dans la joie.
Le Rav Raitchik m’a précisé que vous êtes médecin. Je suis donc certain qu’il est inutile de vous préciser à quel point la santé physique est liée à la santé morale. En conséquence, vous comprendrez que l’âme juive a besoin de recevoir ce qui lui est nécessaire, c’est-à-dire la Torah et les Mitsvot. C’est uniquement à cette condition que le corps peut être sain.
C’est également à cela que fait allusion la Mitsva des Tefillin, que l’on porte sur la tête, dans laquelle se trouve le cerveau(2) et sur le bras, face au cœur. Or, du cerveau dépend tout le système nerveux, alors que le cerveau assure la circulation du sang.
Les Téfilines contiennent quatre parchemins de la Torah, qui commencent par le verset : “ Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est un ”, appel lancé à chaque Juif pour qu’il comprenne et retienne que D.ieu est le seul Maître de tout et donc également de sa vie privée.
La conscience de tout cela doit pénétrer le cerveau et le cœur, puis, par leur intermédiaire, l’ensemble du corps. C’est uniquement dans ce cas que l’âme est en bonne santé.
J’espère que ces quelques lignes clarifient, bien que brièvement, l’une des allusions essentielles introduites par la Mitsva des Téfilines et son application, dans la vie quotidienne.
Je serai heureux d’avoir de vos nouvelles, de temps en temps. Je vous souhaite de connaître le succès en tout ce qui vient d’être dit.
Notes
(1) Emissaire du Rabbi pour la côte ouest des Etats Unis.
(2) En anglais dans le texte.
9 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait d’obtenir de vos nouvelles, par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Chmouel David Raitchik, émissaire des Sages(1). Il m’a également dit que vous avez acheté un terrain(2) et que vous pensez y construire une maison.
Puisse D.ieu faire que votre projet connaisse le succès et, selon l’expression de l’Admour Hazaken, qu’Il vous accorde beaucoup de biens matériels, afin que vous en fassiez de la spiritualité, en apportant votre contribution à des réalisations liées à la Torah et aux Mitsvot. Vous le ferez en bonne santé et dans la joie.
Le Rav Raitchik m’a précisé que vous êtes médecin. Je suis donc certain qu’il est inutile de vous préciser à quel point la santé physique est liée à la santé morale. En conséquence, vous comprendrez que l’âme juive a besoin de recevoir ce qui lui est nécessaire, c’est-à-dire la Torah et les Mitsvot. C’est uniquement à cette condition que le corps peut être sain.
C’est également à cela que fait allusion la Mitsva des Tefillin, que l’on porte sur la tête, dans laquelle se trouve le cerveau(2) et sur le bras, face au cœur. Or, du cerveau dépend tout le système nerveux, alors que le cerveau assure la circulation du sang.
Les Téfilines contiennent quatre parchemins de la Torah, qui commencent par le verset : “ Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est un ”, appel lancé à chaque Juif pour qu’il comprenne et retienne que D.ieu est le seul Maître de tout et donc également de sa vie privée.
La conscience de tout cela doit pénétrer le cerveau et le cœur, puis, par leur intermédiaire, l’ensemble du corps. C’est uniquement dans ce cas que l’âme est en bonne santé.
J’espère que ces quelques lignes clarifient, bien que brièvement, l’une des allusions essentielles introduites par la Mitsva des Téfilines et son application, dans la vie quotidienne.
Je serai heureux d’avoir de vos nouvelles, de temps en temps. Je vous souhaite de connaître le succès en tout ce qui vient d’être dit.
Notes
(1) Emissaire du Rabbi pour la côte ouest des Etats Unis.
(2) En anglais dans le texte.