Lettre n° 2721
2721
Par la grâce de D.ieu,
9 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption, j’ai eu le plaisir de recevoir votre lettre du 3 Sivan et surtout d’apprendre que l’on propose un parti à votre fille.
Vous me dites que les parents du jeune homme ne réclament pas de dot et qu’ils s’engagent à payer l’appartement, les meubles et les autres frais. D’une part, j’en suis satisfait, car cela permet d’établir la qualité de votre fille. Mais, par ailleurs, un Juif ou une Juive, en général, des parents, en particulier, doivent souhaiter investir physiquement, moralement et même financièrement, pour leurs enfants.
Le saint Zohar, tome 2, page 128a, souligne que, pour tout ce qui concerne le domaine de la sainteté, rien ne doit être gratuit. Combien plus est-ce le cas, quand il s’agit du mariage d’une fille. Il faut en supporter le coût et, bien plus, ne pas lésiner. Il est clair que ceci fait partie de ce qui est accordé à l’homme pendant les dix jours séparant Roch Hachana de Yom Kippour. Et, lorsque l’on adopte une attitude large, D.ieu accorde effectivement la largesse.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
N. B. : De façon générale, un gendre doit éprouver de la considération pour son beau-père. Et, si le gendre étudie le Tanya de manière fixe, combien plus le beau-père doit-il étudier non seulement le Tanya, mais aussi le Likouteï Torah et des discours ‘hassidiques.
D.ieu fasse que vous me donniez de bonnes nouvelles, également en la matière.
Par la grâce de D.ieu,
9 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption, j’ai eu le plaisir de recevoir votre lettre du 3 Sivan et surtout d’apprendre que l’on propose un parti à votre fille.
Vous me dites que les parents du jeune homme ne réclament pas de dot et qu’ils s’engagent à payer l’appartement, les meubles et les autres frais. D’une part, j’en suis satisfait, car cela permet d’établir la qualité de votre fille. Mais, par ailleurs, un Juif ou une Juive, en général, des parents, en particulier, doivent souhaiter investir physiquement, moralement et même financièrement, pour leurs enfants.
Le saint Zohar, tome 2, page 128a, souligne que, pour tout ce qui concerne le domaine de la sainteté, rien ne doit être gratuit. Combien plus est-ce le cas, quand il s’agit du mariage d’une fille. Il faut en supporter le coût et, bien plus, ne pas lésiner. Il est clair que ceci fait partie de ce qui est accordé à l’homme pendant les dix jours séparant Roch Hachana de Yom Kippour. Et, lorsque l’on adopte une attitude large, D.ieu accorde effectivement la largesse.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
N. B. : De façon générale, un gendre doit éprouver de la considération pour son beau-père. Et, si le gendre étudie le Tanya de manière fixe, combien plus le beau-père doit-il étudier non seulement le Tanya, mais aussi le Likouteï Torah et des discours ‘hassidiques.
D.ieu fasse que vous me donniez de bonnes nouvelles, également en la matière.