Lettre n° 2722
Par la grâce de D.ieu,
9 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Votre mari a, entre autre, porté à ma connaissance la législation en vigueur dans votre pays, selon laquelle une retraite est accordée à chacun, par les autorités, dès l’âge de soixante dix ans. Or, vous vous demandez si vous devez l’accepter.
Tout ce qui se passe dans le monde, en particulier en ce qui concerne un Juif, est un effet de la divine Providence, a une signification et un contenu propres. Aussi, dès que ce Juif reçoit la possibilité d’intensifier son engagement à la Torah et aux Mitsvot, a fortiori lorsque celle-ci lui est accordée sans aucun effort supplémentaire de sa part, il doit voir en cela une signe de D.ieu, être sûr qu’il peut en faire un usage judicieux, conforme à la volonté de notre sainte Torah.
Lorsque l’on se trouve dans une situation où l’on n’a pas l’utilité personnelle d’une certaine somme, il est clair que l’on doit s’en servir pour donner de la Tsédaka, bien plus, la consacrer uniquement à cela, en particulier à celle qui contribue à rapprocher les cœurs juifs de notre Père Qui se trouve dans les cieux.
Je pense que c’est bien le cas pour ce qui vous concerne. Selon la loi, un certain montant doit vous être versé, chaque mois. Il est légitime et il est de votre mérite d’en faire usage en bonne santé et, de la sorte, d’augmenter, de manière substantielle, votre contribution et celle de votre mari à la Tsédaka permettant d’éduquer les enfants juifs, afin de renforcer leur conscience juive, de leur permettre de baser leur comportement sur notre sainte Torah.
Que D.ieu accorde, à vous et à votre mari, de longs jours et de bonnes années, durant lesquels vous donnerez de la Tsédaka, d’une main large et tendue, en bonne santé et dans la joie.
Avec ma bénédiction,
9 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Votre mari a, entre autre, porté à ma connaissance la législation en vigueur dans votre pays, selon laquelle une retraite est accordée à chacun, par les autorités, dès l’âge de soixante dix ans. Or, vous vous demandez si vous devez l’accepter.
Tout ce qui se passe dans le monde, en particulier en ce qui concerne un Juif, est un effet de la divine Providence, a une signification et un contenu propres. Aussi, dès que ce Juif reçoit la possibilité d’intensifier son engagement à la Torah et aux Mitsvot, a fortiori lorsque celle-ci lui est accordée sans aucun effort supplémentaire de sa part, il doit voir en cela une signe de D.ieu, être sûr qu’il peut en faire un usage judicieux, conforme à la volonté de notre sainte Torah.
Lorsque l’on se trouve dans une situation où l’on n’a pas l’utilité personnelle d’une certaine somme, il est clair que l’on doit s’en servir pour donner de la Tsédaka, bien plus, la consacrer uniquement à cela, en particulier à celle qui contribue à rapprocher les cœurs juifs de notre Père Qui se trouve dans les cieux.
Je pense que c’est bien le cas pour ce qui vous concerne. Selon la loi, un certain montant doit vous être versé, chaque mois. Il est légitime et il est de votre mérite d’en faire usage en bonne santé et, de la sorte, d’augmenter, de manière substantielle, votre contribution et celle de votre mari à la Tsédaka permettant d’éduquer les enfants juifs, afin de renforcer leur conscience juive, de leur permettre de baser leur comportement sur notre sainte Torah.
Que D.ieu accorde, à vous et à votre mari, de longs jours et de bonnes années, durant lesquels vous donnerez de la Tsédaka, d’une main large et tendue, en bonne santé et dans la joie.
Avec ma bénédiction,