Lettre n° 2728
Par la grâce de D.ieu,
10 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 5 Sivan et la suivante, avec la demande de bénédiction qui y était jointe et dont je donnerai lecture, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. A n’en pas douter, il invoquera la bénédiction divine pour tous ceux que vous mentionnez, afin qu’ils obtiennent la satisfaction de leurs besoins, matériels et spirituels.
Vous me parlez de votre classe et vous me dites que, pour différentes raisons, les cours y ont été suspendus, pendant quelques temps. Comme vous le savez, nos Sages disent: “ J’ai fait des efforts et ils ont été couronnés de succès ”. C’est en particulier vrai quand il s’agit de l’enseignement, qui est une mission sacrée. Pour l’assumer, D.ieu accorde donc une aide accrue.
Néanmoins, comme pour tout ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, l’éducation doit être abordée avec joie et confiance en D.ieu. Dès lors, la réussite, qui s’accroît en permanence, peut être observée, chez l’enseignant comme chez les élèves. Bien plus, de cette manière, l’enseignant peut conserver la santé et même la raffermir, au sens le plus littéral.
Vous me parlez d’un jeune homme, repoussant l’examen qu’il doit subir, du fait du problème que cela pose(1). Vous connaissez l’enseignement(2) que donna mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, à ce sujet: “ Il est bon de faire don de soi-même, dans ce but(3) ”.
Néanmoins, il existe différents examens et diverses manières de les pratiquer. Il est, bien sûr, préférable de commencer par celui qui pose le moins de problème, d’après la Hala’ha.
Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez, très prochainement, de bonnes nouvelles, à ce sujet.
Avec ma bénédiction de réussite,
N. B. : Je suis surpris que vous ne parliez jamais, dans vos lettres, de votre participation aux réunions ‘hassidiques.
Notes
(1) Provoquant une perte de semence, que l’on peut estimer être en pure perte.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°1997.
(3) Dans le but d’avoir des enfants et donc de pratiquer cet examen.
10 Sivan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 5 Sivan et la suivante, avec la demande de bénédiction qui y était jointe et dont je donnerai lecture, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. A n’en pas douter, il invoquera la bénédiction divine pour tous ceux que vous mentionnez, afin qu’ils obtiennent la satisfaction de leurs besoins, matériels et spirituels.
Vous me parlez de votre classe et vous me dites que, pour différentes raisons, les cours y ont été suspendus, pendant quelques temps. Comme vous le savez, nos Sages disent: “ J’ai fait des efforts et ils ont été couronnés de succès ”. C’est en particulier vrai quand il s’agit de l’enseignement, qui est une mission sacrée. Pour l’assumer, D.ieu accorde donc une aide accrue.
Néanmoins, comme pour tout ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, l’éducation doit être abordée avec joie et confiance en D.ieu. Dès lors, la réussite, qui s’accroît en permanence, peut être observée, chez l’enseignant comme chez les élèves. Bien plus, de cette manière, l’enseignant peut conserver la santé et même la raffermir, au sens le plus littéral.
Vous me parlez d’un jeune homme, repoussant l’examen qu’il doit subir, du fait du problème que cela pose(1). Vous connaissez l’enseignement(2) que donna mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, à ce sujet: “ Il est bon de faire don de soi-même, dans ce but(3) ”.
Néanmoins, il existe différents examens et diverses manières de les pratiquer. Il est, bien sûr, préférable de commencer par celui qui pose le moins de problème, d’après la Hala’ha.
Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez, très prochainement, de bonnes nouvelles, à ce sujet.
Avec ma bénédiction de réussite,
N. B. : Je suis surpris que vous ne parliez jamais, dans vos lettres, de votre participation aux réunions ‘hassidiques.
Notes
(1) Provoquant une perte de semence, que l’on peut estimer être en pure perte.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°1997.
(3) Dans le but d’avoir des enfants et donc de pratiquer cet examen.