Lettre n° 2777
Par la grâce de D.ieu,
1er Tamouz 5714,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre des 21 et 27 Sivan, de même qu’aux précédentes du 30 Nissan, 4, 19, 24 Iyar et 5 Sivan, bien qu’il me semble vous en avoir déjà accusé réception.
Concernant le réseau(2) et la Yechiva Loubavitch de Lod, vous avez sûrement déjà reçu ma lettre et vous en avez pris connaissance. Je suis surpris que vous puissiez commettre des erreurs aussi fondamentales à propos de ce qui est clair et évident, allant ainsi à l’encontre de l’optique qui a toujours été celle de Loubavitch. Puisse D.ieu faire que cette attitude disparaisse, au moins à l’avenir.
Je suis très peiné de constater que les livres qui ont été envoyés ici(3) ne sont pas diffusés comme il le faudrait. Certains disent même qu’ils ne le sont pas du tout. Quelle sera la conséquence d’une telle manière d’agir ? Il m’est difficile de le dire.
De temps à autre, je me souviens du proverbe(4) de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel une période propice approche, celle de la venue du Machia’h. Lorsqu’elle sera effective, on se frappera sur le front et l’on se dira que l’on a vécu une période durant laquelle on pouvait accomplir tant de choses. Or, on a laissé cette période s’écouler. Il me semble que vous avez vous-même assisté à cette réunion ‘hassidique(5).
J’ai écrit à l’association des ‘Hassidim ‘Habad, à Tel Aviv(6), car j’ai entendu qu’il existe un manuscrit, peut-être même original, se trouvant chez les petits-enfants du Rav C. N. de Babroisk et également chez ceux du Rav C. Z., fils du Rav N. Schneersohn. S’il s’avère qu’il en est bien ainsi et que ces manuscrits contiennent des explications qui n’ont pas encore été imprimés, j’ai demandé qu’on se les procure et qu’on les envoie ici ou, à défaut d’une autre solution, qu’ils soient prêtés pour un certain temps.
Vous ne dites rien de votre état de santé et de celui des membres de votre famille. Il est donc certain que chacun d’entre vous va bien. J’attends, néanmoins, que vous me le signifiez clairement.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav A. Pariz. Voir, à son sujet, la lettre n°2647.
(2) Des écoles Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch, en Terre Sainte.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2647, 2672 et 2826.
(4) Voir, à ce sujet, la lettre n°2517.
(5) Lorsque le précédent Rabbi prononça ces mots.
(6) Il s’agit de la lettre n°2739.
1er Tamouz 5714,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre des 21 et 27 Sivan, de même qu’aux précédentes du 30 Nissan, 4, 19, 24 Iyar et 5 Sivan, bien qu’il me semble vous en avoir déjà accusé réception.
Concernant le réseau(2) et la Yechiva Loubavitch de Lod, vous avez sûrement déjà reçu ma lettre et vous en avez pris connaissance. Je suis surpris que vous puissiez commettre des erreurs aussi fondamentales à propos de ce qui est clair et évident, allant ainsi à l’encontre de l’optique qui a toujours été celle de Loubavitch. Puisse D.ieu faire que cette attitude disparaisse, au moins à l’avenir.
Je suis très peiné de constater que les livres qui ont été envoyés ici(3) ne sont pas diffusés comme il le faudrait. Certains disent même qu’ils ne le sont pas du tout. Quelle sera la conséquence d’une telle manière d’agir ? Il m’est difficile de le dire.
De temps à autre, je me souviens du proverbe(4) de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel une période propice approche, celle de la venue du Machia’h. Lorsqu’elle sera effective, on se frappera sur le front et l’on se dira que l’on a vécu une période durant laquelle on pouvait accomplir tant de choses. Or, on a laissé cette période s’écouler. Il me semble que vous avez vous-même assisté à cette réunion ‘hassidique(5).
J’ai écrit à l’association des ‘Hassidim ‘Habad, à Tel Aviv(6), car j’ai entendu qu’il existe un manuscrit, peut-être même original, se trouvant chez les petits-enfants du Rav C. N. de Babroisk et également chez ceux du Rav C. Z., fils du Rav N. Schneersohn. S’il s’avère qu’il en est bien ainsi et que ces manuscrits contiennent des explications qui n’ont pas encore été imprimés, j’ai demandé qu’on se les procure et qu’on les envoie ici ou, à défaut d’une autre solution, qu’ils soient prêtés pour un certain temps.
Vous ne dites rien de votre état de santé et de celui des membres de votre famille. Il est donc certain que chacun d’entre vous va bien. J’attends, néanmoins, que vous me le signifiez clairement.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav A. Pariz. Voir, à son sujet, la lettre n°2647.
(2) Des écoles Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch, en Terre Sainte.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2647, 2672 et 2826.
(4) Voir, à ce sujet, la lettre n°2517.
(5) Lorsque le précédent Rabbi prononça ces mots.
(6) Il s’agit de la lettre n°2739.