Lettre n° 2780
Par la grâce de D.ieu,
3 Tamouz 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 22 Sivan, dans laquelle vous me décrivez ce que vous avez vécu, les différentes modifications de votre situation, jusqu’à ce jour et votre situation actuelle, qui est meilleure que par le passé, mais doit encore être améliorée, en différents points.
Vous devez vous réjouir du mérite et du succès qui sont les vôtres, puisque vous vous trouvez dans la Yechiva Loubavitch, fondée et dirigée par le Rabbi et par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Ceux-ci y investirent leurs forces, firent don d’eux-mêmes pour cela. Quiconque s’y trouve par les deux cent quarante huit membres et les trois cent soixante cinq nerfs de son corps, physiquement et moralement, forge ainsi le réceptacle qui lui permet d’intégrer leurs bénédictions, afin de connaître la réussite chaque fois que cela est nécessaire.
De la sorte, vous pourrez, dans la mesure du possible, étudier la Torah, prier, accomplir les Mitsvot de la meilleure façon et joyeusement. En effet, si un peu de lumière repousse beaucoup d’obscurité, combien plus peut le faire beaucoup de lumière et, a fortiori, le luminaire lui-même, qui est la source de cette lumière, en l’occurrence la ‘Hassidout, son enseignement, ses pratiques et ses usages.
Comme vous le savez, les jeûnes et les mortifications sont étrangers à la voie du Baal Chem Tov. Différents textes l’établissent, en particulier le discours ‘hassidique du 10 Chevat 5713, intitulé “ Je suis venu dans mon jardin ”.
Bien plus, le Séfer Hatoldot Maharach explique que, pour un ‘Hassid, jeûner signifie ne pas faire ce qu’il désire, fut-ce même pour quelques instants. Vous consulterez également le Tanya, au chapitre 27, page 34b. Le discours ‘hassidique précédemment cité souligne également la nécessité de conserver la santé, afin de ne subir aucune entrave de la part du corps.
Lorsque vous vous renforcerez en tout cela et agirez en ce sens, D.ieu vous accordera une aide accrue et tout cela s’appliquera concrètement, dans votre existence quotidienne.
Vous parlez d’amélioration. Vous multiplierez donc les mots de la Torah et de la prière. Sans doute avez-vous gravé en votre esprit quelques chapitres de Michna, de Tanya, des discours ‘hassidiques, en particulier celui qui est intitulé “ Tu honoreras l’ancien ”, qui est à la fin de la Parchat Kedochim, dans le Likouteï Torah.
Avec ma bénédiction de réussite dans l’étude de la Torah, la prière, les bonnes actions, qui sont les trois piliers sur lesquels le monde, et également le petit monde que constitue l’homme, reposent,
3 Tamouz 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 22 Sivan, dans laquelle vous me décrivez ce que vous avez vécu, les différentes modifications de votre situation, jusqu’à ce jour et votre situation actuelle, qui est meilleure que par le passé, mais doit encore être améliorée, en différents points.
Vous devez vous réjouir du mérite et du succès qui sont les vôtres, puisque vous vous trouvez dans la Yechiva Loubavitch, fondée et dirigée par le Rabbi et par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Ceux-ci y investirent leurs forces, firent don d’eux-mêmes pour cela. Quiconque s’y trouve par les deux cent quarante huit membres et les trois cent soixante cinq nerfs de son corps, physiquement et moralement, forge ainsi le réceptacle qui lui permet d’intégrer leurs bénédictions, afin de connaître la réussite chaque fois que cela est nécessaire.
De la sorte, vous pourrez, dans la mesure du possible, étudier la Torah, prier, accomplir les Mitsvot de la meilleure façon et joyeusement. En effet, si un peu de lumière repousse beaucoup d’obscurité, combien plus peut le faire beaucoup de lumière et, a fortiori, le luminaire lui-même, qui est la source de cette lumière, en l’occurrence la ‘Hassidout, son enseignement, ses pratiques et ses usages.
Comme vous le savez, les jeûnes et les mortifications sont étrangers à la voie du Baal Chem Tov. Différents textes l’établissent, en particulier le discours ‘hassidique du 10 Chevat 5713, intitulé “ Je suis venu dans mon jardin ”.
Bien plus, le Séfer Hatoldot Maharach explique que, pour un ‘Hassid, jeûner signifie ne pas faire ce qu’il désire, fut-ce même pour quelques instants. Vous consulterez également le Tanya, au chapitre 27, page 34b. Le discours ‘hassidique précédemment cité souligne également la nécessité de conserver la santé, afin de ne subir aucune entrave de la part du corps.
Lorsque vous vous renforcerez en tout cela et agirez en ce sens, D.ieu vous accordera une aide accrue et tout cela s’appliquera concrètement, dans votre existence quotidienne.
Vous parlez d’amélioration. Vous multiplierez donc les mots de la Torah et de la prière. Sans doute avez-vous gravé en votre esprit quelques chapitres de Michna, de Tanya, des discours ‘hassidiques, en particulier celui qui est intitulé “ Tu honoreras l’ancien ”, qui est à la fin de la Parchat Kedochim, dans le Likouteï Torah.
Avec ma bénédiction de réussite dans l’étude de la Torah, la prière, les bonnes actions, qui sont les trois piliers sur lesquels le monde, et également le petit monde que constitue l’homme, reposent,