Lettre n° 2795
Par la grâce de D.ieu,
7 Tamouz 5714,
Brooklyn, New York,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
au comportement généreux, issu d’une illustre famille,
le Rav C. Z.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’espère que votre retour a été agréable et fructueux.
Chacun, en rentrant chez lui à l’issue d’un voyage long et actif, établit le bilan de ce qu’il a accompli, de ses actions pendant la durée de ses pérégrinations. J’espère que vous êtes satisfait de ce bilan, de votre voyage, en général et de votre visite à New York, en particulier.
J’espère aussi que cette satisfaction morale n’a pas pour conséquence de “ se voir décerner une médaille et se reposer sur ses lauriers ”(2), conformément à l’expression de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Bien au contraire, vous éprouvez le besoin et le désir de multiplier vos actions, avec encore plus d’ardeur et d’enthousiasme.
On peut, en effet, établir ici un raisonnement “ a fortiori ”(3). Si l’effort investi jusqu’à maintenant, qui n’est qu’un début, alors que “ tous les débuts sont difficiles ”, a permis d’obtenir un tel succès, combien plus en sera-t-il ainsi, lorsque cet effort sera accru. Le succès sera alors considérable et bien supérieur à ce qu’il est actuellement.
Il est sûrement inutile de vous demander encore une fois de venir en aide à toutes nos institutions, celles de ‘Habad, qui sont, en fait, celles de tout le peuple d’Israël et qui, en outre, vous sont moralement proches. Je mets ainsi en pratique l’Injonction de nos Sages selon laquelle “ on ne conseille l’empressement qu’à ceux qui possèdent cette qualité par nature ”.
Ceci concerne, en particulier, les jours qui viennent, cette période de réunions ‘hassidiques et ce moment propice, à l’occasion de la fête de la libération de mon beau-père, le Rabbi, les 12 et 13 Tamouz. Ces jours sont particulièrement favorables pour se renforcer moralement et pour obtenir, de celui dont nous célébrons la joie, une bénédiction de succès. Puisse son mérite nous protéger.
Je vous souhaite, à l’avance, une grande réussite, dans ce domaine.
Avec mes respects, ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Chnéor Zalman Chazar. Voir, à son propos, la lettre n°2651.
(2) En russe dans le texte.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2824 et 2832.
7 Tamouz 5714,
Brooklyn, New York,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
au comportement généreux, issu d’une illustre famille,
le Rav C. Z.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’espère que votre retour a été agréable et fructueux.
Chacun, en rentrant chez lui à l’issue d’un voyage long et actif, établit le bilan de ce qu’il a accompli, de ses actions pendant la durée de ses pérégrinations. J’espère que vous êtes satisfait de ce bilan, de votre voyage, en général et de votre visite à New York, en particulier.
J’espère aussi que cette satisfaction morale n’a pas pour conséquence de “ se voir décerner une médaille et se reposer sur ses lauriers ”(2), conformément à l’expression de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Bien au contraire, vous éprouvez le besoin et le désir de multiplier vos actions, avec encore plus d’ardeur et d’enthousiasme.
On peut, en effet, établir ici un raisonnement “ a fortiori ”(3). Si l’effort investi jusqu’à maintenant, qui n’est qu’un début, alors que “ tous les débuts sont difficiles ”, a permis d’obtenir un tel succès, combien plus en sera-t-il ainsi, lorsque cet effort sera accru. Le succès sera alors considérable et bien supérieur à ce qu’il est actuellement.
Il est sûrement inutile de vous demander encore une fois de venir en aide à toutes nos institutions, celles de ‘Habad, qui sont, en fait, celles de tout le peuple d’Israël et qui, en outre, vous sont moralement proches. Je mets ainsi en pratique l’Injonction de nos Sages selon laquelle “ on ne conseille l’empressement qu’à ceux qui possèdent cette qualité par nature ”.
Ceci concerne, en particulier, les jours qui viennent, cette période de réunions ‘hassidiques et ce moment propice, à l’occasion de la fête de la libération de mon beau-père, le Rabbi, les 12 et 13 Tamouz. Ces jours sont particulièrement favorables pour se renforcer moralement et pour obtenir, de celui dont nous célébrons la joie, une bénédiction de succès. Puisse son mérite nous protéger.
Je vous souhaite, à l’avance, une grande réussite, dans ce domaine.
Avec mes respects, ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Chnéor Zalman Chazar. Voir, à son propos, la lettre n°2651.
(2) En russe dans le texte.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2824 et 2832.