Lettre n° 2835

Par la grâce de D.ieu,
28 Tamouz 5714,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

J’ai appris aujourd’hui même que vous n’êtes pas en bonne santé. Par un effet de la divine Providence, j’ai eu connaissance de cette nouvelle avant de me rendre près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera et j’y ai donc mentionné votre nom, afin que vous ayez une prompte guérison.

A n’en pas douter, mon beau-père, le Rabbi, invoquera la miséricorde divine, afin que votre état de santé s’améliore. J’espère que vous pourrez m’annoncer de bonnes nouvelles, me dire que vous allez de mieux en mieux, conformément à l’explication de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah. Cette explication figure dans le Séfer Hamitsvot du Tséma’h Tsédek, à la page 114b et elle se trouve également dans ses lettres, à la référence indiquée à cette page.

Selon cette explication, l’enchaînement des Attributs supérieurs, dans le domaine de la Sainteté, est, dans l’ordre, la bonté, la rigueur, la pitié. En conséquence, après la rigueur, la miséricorde doit faire son apparition. Or, elle est plus intense que la bonté qui se révèle la première, comme on le sait.

La miséricorde est l’attribut de notre père Yaakov, l’héritage sans limite, qui va d’une extrême à l’autre. Puisse D.ieu faire que la nouvelle que vous m’annoncerez soit conforme à tout cela.

Avec mes respects, ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,