Lettre n° 2857
Par la grâce de D.ieu,
12 Mena’hem Av 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du mercredi de la Parchat Matot, dans laquelle vous me dites que vous ne gagnez pas votre vie comme il le faudrait et que vous êtes endetté.
La conclusion de votre lettre, qui manque de joie, contredit son début, dans lequel vous décrivez ce que vous avez vécu et, selon votre expression, les véritables miracles, grâce auxquels vous avez survécu et bâti une famille.
Vous devez donc raisonner “ à fortiori ”. Si D.ieu a pu vous sauver, pendant ces années-là, vous accorder la réussite de construire un foyer juif, basé sur la Torah et les Mitsvot, combien plus Celui Qui nourrit tout être assurera-t-Il votre subsistance et celle des membres de votre famille.
Tout dépend donc de votre confiance en D.ieu et de la manière dont vous mettez en pratique la Mitsva de Tsédaka. Le fait de s’en remettre pleinement à Lui pour assurer ses propres besoins et ceux des membres de sa famille est efficace. Il l’est encore plus, lorsqu’il est accompagné par de la Tsédaka, de laquelle D.ieu dit: “ De grâce, mettez-Moi à l’épreuve, en la matière ” et “ tu prélèveras la dîme afin de devenir riche ”.
Que D.ieu vous accorde la réussite afin que vous puissiez me donner de bonnes nouvelles de tout cela.
Vous connaissez sans doute la décision, s’appliquant à chacun, de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, celle de lire des Tehilim tous les jours, après la prière, selon leur répartition mensuelle et d’apprendre, chaque jour également, quelques versets de la Paracha de la semaine, avec le commentaire de Rachi.
En vous adressant ma bénédiction pour que vous gagnez votre vie, matériellement et spirituellement, avec largesse d’esprit,
12 Mena’hem Av 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du mercredi de la Parchat Matot, dans laquelle vous me dites que vous ne gagnez pas votre vie comme il le faudrait et que vous êtes endetté.
La conclusion de votre lettre, qui manque de joie, contredit son début, dans lequel vous décrivez ce que vous avez vécu et, selon votre expression, les véritables miracles, grâce auxquels vous avez survécu et bâti une famille.
Vous devez donc raisonner “ à fortiori ”. Si D.ieu a pu vous sauver, pendant ces années-là, vous accorder la réussite de construire un foyer juif, basé sur la Torah et les Mitsvot, combien plus Celui Qui nourrit tout être assurera-t-Il votre subsistance et celle des membres de votre famille.
Tout dépend donc de votre confiance en D.ieu et de la manière dont vous mettez en pratique la Mitsva de Tsédaka. Le fait de s’en remettre pleinement à Lui pour assurer ses propres besoins et ceux des membres de sa famille est efficace. Il l’est encore plus, lorsqu’il est accompagné par de la Tsédaka, de laquelle D.ieu dit: “ De grâce, mettez-Moi à l’épreuve, en la matière ” et “ tu prélèveras la dîme afin de devenir riche ”.
Que D.ieu vous accorde la réussite afin que vous puissiez me donner de bonnes nouvelles de tout cela.
Vous connaissez sans doute la décision, s’appliquant à chacun, de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, celle de lire des Tehilim tous les jours, après la prière, selon leur répartition mensuelle et d’apprendre, chaque jour également, quelques versets de la Paracha de la semaine, avec le commentaire de Rachi.
En vous adressant ma bénédiction pour que vous gagnez votre vie, matériellement et spirituellement, avec largesse d’esprit,