Lettre n° 2858
Par la grâce de D.ieu,
13 Mena’hem Av 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Chacun d’entre nous, en Terre Sainte où à l’extérieur de celle-ci, doit avoir conscience de la vérité incontestable. On doit participer sincèrement aux accomplissements de mon beau-père, le Rabbi, comme on le faisait auparavant.
Lorsqu’il se trouvait ici-bas, mon beau-père, le Rabbi, était au service de tous ceux qui apportaient leur concours à ces actions. Il satisfaisait leurs besoins, matériels et spirituels, de même que ceux des membres de leur famille.
Or, il en fait de même actuellement, comme tous les bergers fidèles d’Israël. Là-haut, il est encore au service de tous ceux qui participent à ses actions et il leur accorde ses bénédictions, de même qu’aux membres de leur famille. Il le fait même encore plus que de son vivant, comme le dit le Zohar et comme l’explique Iguéret Hakodech, de l’Admour Hazaken, au chapitre 27 et dans son commentaire.
Les bénédictions qu’il accorde ne sont pas uniquement le salaire du travail accompli, selon le montant du chèque que l’on reçoit de l’institution à laquelle on collabore. Elles sont, avant tout, les enfants, la vie, une bonne santé, une manière harmonieuse de gagner sa vie. Il est sûrement inutile d’en dire plus.
Avec ma bénédiction de réussite dans votre mission sacrée et dans vos préoccupations personnelles,
13 Mena’hem Av 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Chacun d’entre nous, en Terre Sainte où à l’extérieur de celle-ci, doit avoir conscience de la vérité incontestable. On doit participer sincèrement aux accomplissements de mon beau-père, le Rabbi, comme on le faisait auparavant.
Lorsqu’il se trouvait ici-bas, mon beau-père, le Rabbi, était au service de tous ceux qui apportaient leur concours à ces actions. Il satisfaisait leurs besoins, matériels et spirituels, de même que ceux des membres de leur famille.
Or, il en fait de même actuellement, comme tous les bergers fidèles d’Israël. Là-haut, il est encore au service de tous ceux qui participent à ses actions et il leur accorde ses bénédictions, de même qu’aux membres de leur famille. Il le fait même encore plus que de son vivant, comme le dit le Zohar et comme l’explique Iguéret Hakodech, de l’Admour Hazaken, au chapitre 27 et dans son commentaire.
Les bénédictions qu’il accorde ne sont pas uniquement le salaire du travail accompli, selon le montant du chèque que l’on reçoit de l’institution à laquelle on collabore. Elles sont, avant tout, les enfants, la vie, une bonne santé, une manière harmonieuse de gagner sa vie. Il est sûrement inutile d’en dire plus.
Avec ma bénédiction de réussite dans votre mission sacrée et dans vos préoccupations personnelles,