Lettre n° 2902
Par la grâce de D.ieu,
3 Elloul 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 28 Mena’hem Av. C’est avec peine que j’y ai lu, entre les lignes, de quelle manière vos difficultés financières ont été, à votre sens, la cause de votre détresse morale.
Je suis particulièrement surpris de constater qu’un érudit de la Torah et une femme ayant reçu son éducation dans un foyer ‘hassidique considèrent qu’ils sont dans la détresse morale à cause de problèmes financiers dont on peut se demander s’ils sont réellement importants et qui, en tout état de cause, ne sont que passagers.
Vous connaissez l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ la roue tourne ”. Mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, explique qu’un point de la roue, lorsqu’il se trouve au stade le plus bas, ce qu’à D.ieu ne plaise, ne peut, par la suite, que remonter. La pratique démontre qu’il en est bien ainsi.
Or, une image énoncée par la Torah décrit, en tout point, ce qu’elle doit illustrer. Celui qui constate un manque, y compris dans le domaine matériel, doit demander à D.ieu de le combler. Telle est la définition de la Mitsva de la prière, d’après plusieurs des premiers Sages. En revanche, que D.ieu nous garde du découragement ! Il n’est pas possible de ne pas en être troublé dans son service du Créateur, lequel, en pareil cas, n’est plus ce qu’il devrait être.
J’espère que ces quelques lignes seront suffisantes. Comme le dit l’Admour Hazaken, dans son Likouteï Torah, à la Parchat Reéh, page 32b, quiconque le désire peut, en ces jours, aller à la rencontre du Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il. Celui-ci réserve un bon accueil à chacun, montre un visage bienveillant, ainsi qu’il est dit : “ D.ieu éclairera Sa Face envers toi ”. Puisse donc D.ieu vous prendre en pitié et vous accorder votre subsistance, de la manière qui convient et dans le calme, avec largesse d’esprit.
Vous m’annoncerez que vous redoublez d’ardeur dans l’influence que vous exercez sur votre entourage, que vous rapprocherez de la ‘Hassidout en diffusant les sources à l’extérieur.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez inscrits et scellés pour une bonne année et que vous donniez de bonnes nouvelles,
3 Elloul 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 28 Mena’hem Av. C’est avec peine que j’y ai lu, entre les lignes, de quelle manière vos difficultés financières ont été, à votre sens, la cause de votre détresse morale.
Je suis particulièrement surpris de constater qu’un érudit de la Torah et une femme ayant reçu son éducation dans un foyer ‘hassidique considèrent qu’ils sont dans la détresse morale à cause de problèmes financiers dont on peut se demander s’ils sont réellement importants et qui, en tout état de cause, ne sont que passagers.
Vous connaissez l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ la roue tourne ”. Mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, explique qu’un point de la roue, lorsqu’il se trouve au stade le plus bas, ce qu’à D.ieu ne plaise, ne peut, par la suite, que remonter. La pratique démontre qu’il en est bien ainsi.
Or, une image énoncée par la Torah décrit, en tout point, ce qu’elle doit illustrer. Celui qui constate un manque, y compris dans le domaine matériel, doit demander à D.ieu de le combler. Telle est la définition de la Mitsva de la prière, d’après plusieurs des premiers Sages. En revanche, que D.ieu nous garde du découragement ! Il n’est pas possible de ne pas en être troublé dans son service du Créateur, lequel, en pareil cas, n’est plus ce qu’il devrait être.
J’espère que ces quelques lignes seront suffisantes. Comme le dit l’Admour Hazaken, dans son Likouteï Torah, à la Parchat Reéh, page 32b, quiconque le désire peut, en ces jours, aller à la rencontre du Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il. Celui-ci réserve un bon accueil à chacun, montre un visage bienveillant, ainsi qu’il est dit : “ D.ieu éclairera Sa Face envers toi ”. Puisse donc D.ieu vous prendre en pitié et vous accorder votre subsistance, de la manière qui convient et dans le calme, avec largesse d’esprit.
Vous m’annoncerez que vous redoublez d’ardeur dans l’influence que vous exercez sur votre entourage, que vous rapprocherez de la ‘Hassidout en diffusant les sources à l’extérieur.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez inscrits et scellés pour une bonne année et que vous donniez de bonnes nouvelles,