Lettre n° 3063

Par la grâce de D.ieu,
28 Mar’hechvan 5715,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 28 ‘Hechvan, dans laquelle je ne trouve toujours pas la raison pour laquelle, durant tout ce temps, vous et votre épouse n’êtes pas venus vous rafraîchir.

Il est inutile de se plaindre du passé et je voulais donc uniquement rétablir les raisons ou, plus exactement, les obstacles et les voiles qui sont à l’origine d’une telle situation. Ainsi, à l’avenir, vous vous souviendrez que vous avez eu le mérite d’être un élève de la Yechiva de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Les forces des Justes, qui sont éternelles, se trouvent donc encore en vous.

Vous devez vous servir de ces forces selon la volonté de notre saint maître, dont le mérite nous protégera, afin de diffuser “ la bougie (qui) est une Mitsva et la Torah (qui) est une lumière ”, de même que le luminaire de la Torah, qui est l’enseignement de la ‘Hassidout, ses pratiques et ses usages.

Vous diffuserez tout cela dans votre maison, au sens littéral comme au sens le plus large, c’est-à-dire dans votre entourage et, en particulier, dans la synagogue où vous priez.

Bien évidemment, votre épouse doit adopter la même attitude, de la manière qui sied à une femme ‘hassidique, épouse d’un ancien élève de la Yechiva. D.ieu fasse que vous puissiez mener à bien cette mission.

Avec ma bénédiction pour que vous donniez de bonnes nouvelles de tout cela,