Lettre n° 3144
Par la grâce de D.ieu,
26 Kislev 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Its’hak Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Kislev. Je suis surpris que vous ne me disiez rien de ce que vous avez fait, pendant le jour lumineux du 19 Kislev, date de la libération de l’Admour Hazaken, fondateur de la ‘Hassidout ‘Habad, qui est donc également celui de notre délivrance et de la liberté de nos âmes. En la matière, il convient de compléter, même plus tard, dans toute la mesure du possible. Si vous n’avez pas organisé une réunion ‘hassidique, à cette date, vous le ferez donc, dans les jours qui viennent.
Vous me dites que vous ne trouvez personne pour vous seconder dans vos activités. Mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, explique les expressions “ Celui qui se consacre à la Torah, celui qui se consacre aux Mitsvot ” en faisant référence à un commerce(2), dans lequel on n’attend pas que le client se présente de lui-même. De même, lorsque l’on propose sa marchandise à quelqu’un et qu’il la refuse, on ne s’en affecte pas. On sait, en effet, que l’on ne rend service à personne et que l’on recherche, en fait, son bien propre.
Il faut adopter la même attitude pour diffuser la Torah et les Mitsvot. Comme vous le savez, nos Sages soulignent que “ le pauvre fait, pour le riche, plus que ce que le riche fait pour le pauvre ”. Cela est vrai aussi bien pour la Tsédaka matérielle que pour la Tsédaka morale. Et, il est certain qu’un effort n’est jamais vain, même s’il s’écoule, parfois, un certain temps entre la plantation de la graine et l’apparition de la récolte.
Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit, en bonne santé,
Notes
(1) Le Rav I. Y. Nelson.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°3109.
26 Kislev 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Its’hak Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Kislev. Je suis surpris que vous ne me disiez rien de ce que vous avez fait, pendant le jour lumineux du 19 Kislev, date de la libération de l’Admour Hazaken, fondateur de la ‘Hassidout ‘Habad, qui est donc également celui de notre délivrance et de la liberté de nos âmes. En la matière, il convient de compléter, même plus tard, dans toute la mesure du possible. Si vous n’avez pas organisé une réunion ‘hassidique, à cette date, vous le ferez donc, dans les jours qui viennent.
Vous me dites que vous ne trouvez personne pour vous seconder dans vos activités. Mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, explique les expressions “ Celui qui se consacre à la Torah, celui qui se consacre aux Mitsvot ” en faisant référence à un commerce(2), dans lequel on n’attend pas que le client se présente de lui-même. De même, lorsque l’on propose sa marchandise à quelqu’un et qu’il la refuse, on ne s’en affecte pas. On sait, en effet, que l’on ne rend service à personne et que l’on recherche, en fait, son bien propre.
Il faut adopter la même attitude pour diffuser la Torah et les Mitsvot. Comme vous le savez, nos Sages soulignent que “ le pauvre fait, pour le riche, plus que ce que le riche fait pour le pauvre ”. Cela est vrai aussi bien pour la Tsédaka matérielle que pour la Tsédaka morale. Et, il est certain qu’un effort n’est jamais vain, même s’il s’écoule, parfois, un certain temps entre la plantation de la graine et l’apparition de la récolte.
Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit, en bonne santé,
Notes
(1) Le Rav I. Y. Nelson.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°3109.