Lettre n° 3175
Par la grâce de D.ieu,
8 Tévet 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ’Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Morde’haï Guimpel Hacohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Faisant suite à votre visite et à notre discussion, je voudrais vous exprimer ma gratitude pour le livre, le premier tome du Sifri avec le commentaire du Kéter Kehouna. Puisse D.ieu faire que vous et votre frère(2) parveniez à grandir et à parer la Torah, quantitativement et qualitativement(3).
Il peut en être ainsi pour tout ce qui concerne l’étude de notre Torah, Torah de vie, depuis celle des enfants, comme le dit le Rambam, à la fin du second chapitre de ses lois de l’étude de la Torah, jusqu’au stade le plus élevé de l’étude, décrit par le traité ‘Houlin 66b.
Comme j’en ai l’habitude, j’ai formulé quelques notes, à réception de ce livre, au moins sur son début et sa fin, en fonction du temps dont je disposais. Je les reproduis ici.
J’ai reçu, en son temps, le Te’hélet Morde’haï sur la Torah,
Avec ma bénédiction de réussite,
N. B. : Au début du Kéter Kehouna, au paragraphe 1 :
Vous expliquez que la Torah devait faire le récit du renvoi des impurs(4), car la punition, en la matière, avait été énoncée par le verset: “ l’homme qui deviendra impur et ne se purifiera pas ”, alors qu’aucune Interdiction n’avait été édictée.
Or, on peut s’interroger sur cette explication, car :
A) trois versets traitent de la punition, Vaykra 15, 31, “ tu mettras en garde… et ils ne mourront pas ”, Bamidbar 19, 13, “ quiconque toucheras… sera retranché ”, Bamidbar 19, 20, “ l’homme qui deviendra impur… sera retranché ”. Or, pourquoi le Sifri mentionne-t-il uniquement le dernier et non les premiers ?
B) cette explication appellent deux commentaires. Le second, qui cite le début de la Paracha et l’explique en fonction de sa conclusion, est acceptable, puisqu’il fait référence à un même contexte. L’autre, en revanche, qui porte sur le verset “ l’homme qui deviendra impur ” et explique la fin du verset, “ cette âme sera retranchée ”, est difficile à accepter. Il le reste même si l’on ajoute cela à la formulation du Sifri, bien que l’on en trouve l’équivalent par ailleurs.
C) celui qui pose cette question, pourquoi cette Paracha a-t-elle été dite, n’en donne pas la raison.
Il me semble, en conséquence, que la signification du Sifri est la suivante. Les mots “ parce que.. il se purifiera ” font partie de la question et la précisent : “ Pourquoi cette Paracha a-t-elle été dite ? Et, cette question se pose parce qu’il est dit : ‘l’homme qui deviendra impur et ne se purifiera pas’. ” Telle est l’interprétation du Malbim.
Cette explication présente l’avantage suivant. Il n’est nul besoin de rectifier quoi que ce soit ou d’appliquer ces mots à la fin du verset. On peut effectivement dire qu’ils portent sur le début du verset, font la preuve qu’une interdiction a bien été énoncée et rien d’autre. On comprend aussi pourquoi le verset “ et tu mettras en garde ” n’a pas été cité. En effet, il concerne uniquement les Cohanim et non tous les enfants d’Israël.
Et, l’on comprend, en tout état de cause, pourquoi le verset Bamidbar 19, 13, n’est pas cité. En effet, celui-ci fait référence au Sanctuaire, ainsi qu’il est dit : “ il a rendu impur le Sanctuaire de D.ieu. Il est donc envisagé, dans le premier paragraphe du Sifri, que cette Injonction ait été émise ultérieurement, comme l’indique la conclusion : “ tu penses que… mais peut-être n’est-ce qu’ultérieurement ”. C’est pour cela qu’est cité le verset portant sur cette période ultérieure, c’est-à-dire le verset Bamidbar 19, 20. Cela est bien évident.
A la fin du livre, au paragraphe 58 :
Faut-il dire, dans la Boraïta de Rabbi Ichmaël(5), Ve’hen, et de même, ou bien, Ve’han, et ici ? Vous consulterez, à ce sujet, la Boraïta des treize principes de Rabbi Ichmaël, publiée à Vilna en 5685(6), qui cite les différentes versions et les explique.
Dans les écrits du Ari Zal, en particulier dans le Peri Ets ‘Haïm, on dit Ve’han. Il en est de même dans le Toureï Zahav sur le Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, chapitre 127, paragraphe 4. Mais, l’Admour Hazaken mentionne les deux versions, dans son Sidour, la version essentielle étant Ve’hen.
Ce passage est commenté dans le Kéter Kehouna, au paragraphe 160, d’après le Midrach Chemot Rabba, à la fin du paragraphe 29 : “ Rabbi Chimeon Ben Lakich dit : Lorsqu’un homme appelle son ami, sa voix a un écho. La voix du Saint béni soit-Il, en revanche, n’a pas d’écho ”.
Certes, on ne peut contester un commentaire(7). Pour autant, on ne comprend pas, d’après ce que vous dites, le début de cette citation, “ Lorsqu’un homme appelle son ami ”. Si l’on consulte les commentateurs du Midrach, on peut constater qu’ils interprètent le mot “ écho ” au sens littéral. Lors du don de la Torah, la voix de D.ieu n’eut effectivement pas d’écho.
Il y a là une idée particulièrement profonde, qui devient ainsi compréhensible(8), faisant suite à ce que dit le Midrach au préalable et en découlant : “ Lorsque le Saint béni soit-Il donna la Torah, aucun oiseau ne gazouilla, la mer devint immobile, le monde resta muet et silencieux. Alors la Voix retentit : Je suis l’Eternel ton D.ieu ”.
Cela signifie que chaque aspect de la création entendit, comprit et perçut la Voix, “ Je suis l’Eternel ton D.ieu ”. Et, le second enseignement, énoncé juste après cela, précise qu’il n’en était pas ainsi uniquement dans la dimension spirituelle, pour ce qui concerne la perception et l’âme de la création.
On trouve, en effet, une telle explication dans les Tossafot sur le traité Avoda Zara 17a et également dans les explications du Maharcha, sur le traité ‘Houlin 60a, précisant que l’astre et l’ange parlèrent et comprirent(9).
En fait, il est stipulé ici que chaque aspect de la création entendit, comprit et perçut la Voix de D.ieu, “ Je suis l’Eternel ton D.ieu ”. Et, il n’est pas surprenant que cela se soit passé matériellement, car il en sera bien ainsi dans le monde futur, lorsque “ la pierre du mur criera ”, comme le soulignent nos Sages, dans le Midrach Tehilim, à la fin du paragraphe 73 et vous consulterez également le traité Taanit 11a.
Il résulte de tout cela que la Voix n’avait pas d’écho.
Concrètement, l’écho se forme de la manière suivante. Lorsque la voix, portée par les ondes, affronte un obstacle, qui ne peut l’absorber, elle est rejetée en arrière, comme l’expliquent les Tossafot, au traité Sanhédrin 11a. Il y a donc ici deux points. D’une part, la voix n’est pas absorbée par l’obstacle, qui lui fait barrage. D’autre part, la voix parvient là où retentit l’écho, non pas de manière directe, à partir de sa source émettrice, mais par un intermédiaire.
La Parole “ Je suis l’Eternel ton D.ieu ”, émanant du Créateur, s’adresse à chaque détail de la création, comme le dit le Midrach, à sa conclusion : “ Lorsque le Saint béni soit-Il parla, sur le mont Sinaï, toute la création fut silencieuse, afin que les créatures sachent qu’il n’est nul autre que Lui ”, non seulement les humains et les animaux, mais aussi les minéraux. C’est ainsi que “ la mer devint immobile ”.
Ainsi, en chaque endroit où elle parvint, la Voix, “ Je suis l’Eternel ton D.ieu ”, fut intégrée par le lieu et les créatures qui s’y trouvaient. Partout où elle se trouvait, elle provenait directement de D.ieu. Telle est la précision apportée par Rabbi Chimeon Ben Lakich à propos des voix, qui, à l’évidence, exercent leur action sur la matière créée. En conséquence, quand un homme s’adresse à son ami, il y a un écho, mais il n’en fut pas de même pour la Voix du Saint béni soit-Il.
Ceci nous permet de faire le lien entre cet enseignement et le précédent, comme nous venons de le montrer et comme l’indique la formulation du Midrach Rabba, précédemment cité. Ces deux enseignements se suivent, car, après avoir cité les propos de Rabbi Chimeon Ben Lakich, on revient sur le fait que le monde était muet et silencieux. Et le Midrach conclut : “ Et, si tu es étonné par tout cela, sache que le Saint béni soit-Il, quand Il parla sur le mont Sinaï, fit taire le monde entier et dit : Je suis l’Eternel ton D.ieu ”. C’est bien clair.
Notes
(1) Le Rav M. G. Walk.
(2) Le Rav Yaakov Walk.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2689, 2769 et 3215.
(4) Du campement d’Israël.
(5) Qui est récitée, tous les jours, dans la prière du matin, avant Hodou.
(6) 1925.
(7) Dès lors qu’il n’a pas d’incidence hala’hique. On peut donc accepter des commentaires divergents.
(8) Voir, à ce sujet, le Likouteï Si’hot, tome 4, page 1092.
(9) En revanche, telle n’est pas l’explication ici. Ce phénomène ne fut pas uniquement moral.
8 Tévet 5715,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ’Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Morde’haï Guimpel Hacohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Faisant suite à votre visite et à notre discussion, je voudrais vous exprimer ma gratitude pour le livre, le premier tome du Sifri avec le commentaire du Kéter Kehouna. Puisse D.ieu faire que vous et votre frère(2) parveniez à grandir et à parer la Torah, quantitativement et qualitativement(3).
Il peut en être ainsi pour tout ce qui concerne l’étude de notre Torah, Torah de vie, depuis celle des enfants, comme le dit le Rambam, à la fin du second chapitre de ses lois de l’étude de la Torah, jusqu’au stade le plus élevé de l’étude, décrit par le traité ‘Houlin 66b.
Comme j’en ai l’habitude, j’ai formulé quelques notes, à réception de ce livre, au moins sur son début et sa fin, en fonction du temps dont je disposais. Je les reproduis ici.
J’ai reçu, en son temps, le Te’hélet Morde’haï sur la Torah,
Avec ma bénédiction de réussite,
N. B. : Au début du Kéter Kehouna, au paragraphe 1 :
Vous expliquez que la Torah devait faire le récit du renvoi des impurs(4), car la punition, en la matière, avait été énoncée par le verset: “ l’homme qui deviendra impur et ne se purifiera pas ”, alors qu’aucune Interdiction n’avait été édictée.
Or, on peut s’interroger sur cette explication, car :
A) trois versets traitent de la punition, Vaykra 15, 31, “ tu mettras en garde… et ils ne mourront pas ”, Bamidbar 19, 13, “ quiconque toucheras… sera retranché ”, Bamidbar 19, 20, “ l’homme qui deviendra impur… sera retranché ”. Or, pourquoi le Sifri mentionne-t-il uniquement le dernier et non les premiers ?
B) cette explication appellent deux commentaires. Le second, qui cite le début de la Paracha et l’explique en fonction de sa conclusion, est acceptable, puisqu’il fait référence à un même contexte. L’autre, en revanche, qui porte sur le verset “ l’homme qui deviendra impur ” et explique la fin du verset, “ cette âme sera retranchée ”, est difficile à accepter. Il le reste même si l’on ajoute cela à la formulation du Sifri, bien que l’on en trouve l’équivalent par ailleurs.
C) celui qui pose cette question, pourquoi cette Paracha a-t-elle été dite, n’en donne pas la raison.
Il me semble, en conséquence, que la signification du Sifri est la suivante. Les mots “ parce que.. il se purifiera ” font partie de la question et la précisent : “ Pourquoi cette Paracha a-t-elle été dite ? Et, cette question se pose parce qu’il est dit : ‘l’homme qui deviendra impur et ne se purifiera pas’. ” Telle est l’interprétation du Malbim.
Cette explication présente l’avantage suivant. Il n’est nul besoin de rectifier quoi que ce soit ou d’appliquer ces mots à la fin du verset. On peut effectivement dire qu’ils portent sur le début du verset, font la preuve qu’une interdiction a bien été énoncée et rien d’autre. On comprend aussi pourquoi le verset “ et tu mettras en garde ” n’a pas été cité. En effet, il concerne uniquement les Cohanim et non tous les enfants d’Israël.
Et, l’on comprend, en tout état de cause, pourquoi le verset Bamidbar 19, 13, n’est pas cité. En effet, celui-ci fait référence au Sanctuaire, ainsi qu’il est dit : “ il a rendu impur le Sanctuaire de D.ieu. Il est donc envisagé, dans le premier paragraphe du Sifri, que cette Injonction ait été émise ultérieurement, comme l’indique la conclusion : “ tu penses que… mais peut-être n’est-ce qu’ultérieurement ”. C’est pour cela qu’est cité le verset portant sur cette période ultérieure, c’est-à-dire le verset Bamidbar 19, 20. Cela est bien évident.
A la fin du livre, au paragraphe 58 :
Faut-il dire, dans la Boraïta de Rabbi Ichmaël(5), Ve’hen, et de même, ou bien, Ve’han, et ici ? Vous consulterez, à ce sujet, la Boraïta des treize principes de Rabbi Ichmaël, publiée à Vilna en 5685(6), qui cite les différentes versions et les explique.
Dans les écrits du Ari Zal, en particulier dans le Peri Ets ‘Haïm, on dit Ve’han. Il en est de même dans le Toureï Zahav sur le Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, chapitre 127, paragraphe 4. Mais, l’Admour Hazaken mentionne les deux versions, dans son Sidour, la version essentielle étant Ve’hen.
Ce passage est commenté dans le Kéter Kehouna, au paragraphe 160, d’après le Midrach Chemot Rabba, à la fin du paragraphe 29 : “ Rabbi Chimeon Ben Lakich dit : Lorsqu’un homme appelle son ami, sa voix a un écho. La voix du Saint béni soit-Il, en revanche, n’a pas d’écho ”.
Certes, on ne peut contester un commentaire(7). Pour autant, on ne comprend pas, d’après ce que vous dites, le début de cette citation, “ Lorsqu’un homme appelle son ami ”. Si l’on consulte les commentateurs du Midrach, on peut constater qu’ils interprètent le mot “ écho ” au sens littéral. Lors du don de la Torah, la voix de D.ieu n’eut effectivement pas d’écho.
Il y a là une idée particulièrement profonde, qui devient ainsi compréhensible(8), faisant suite à ce que dit le Midrach au préalable et en découlant : “ Lorsque le Saint béni soit-Il donna la Torah, aucun oiseau ne gazouilla, la mer devint immobile, le monde resta muet et silencieux. Alors la Voix retentit : Je suis l’Eternel ton D.ieu ”.
Cela signifie que chaque aspect de la création entendit, comprit et perçut la Voix, “ Je suis l’Eternel ton D.ieu ”. Et, le second enseignement, énoncé juste après cela, précise qu’il n’en était pas ainsi uniquement dans la dimension spirituelle, pour ce qui concerne la perception et l’âme de la création.
On trouve, en effet, une telle explication dans les Tossafot sur le traité Avoda Zara 17a et également dans les explications du Maharcha, sur le traité ‘Houlin 60a, précisant que l’astre et l’ange parlèrent et comprirent(9).
En fait, il est stipulé ici que chaque aspect de la création entendit, comprit et perçut la Voix de D.ieu, “ Je suis l’Eternel ton D.ieu ”. Et, il n’est pas surprenant que cela se soit passé matériellement, car il en sera bien ainsi dans le monde futur, lorsque “ la pierre du mur criera ”, comme le soulignent nos Sages, dans le Midrach Tehilim, à la fin du paragraphe 73 et vous consulterez également le traité Taanit 11a.
Il résulte de tout cela que la Voix n’avait pas d’écho.
Concrètement, l’écho se forme de la manière suivante. Lorsque la voix, portée par les ondes, affronte un obstacle, qui ne peut l’absorber, elle est rejetée en arrière, comme l’expliquent les Tossafot, au traité Sanhédrin 11a. Il y a donc ici deux points. D’une part, la voix n’est pas absorbée par l’obstacle, qui lui fait barrage. D’autre part, la voix parvient là où retentit l’écho, non pas de manière directe, à partir de sa source émettrice, mais par un intermédiaire.
La Parole “ Je suis l’Eternel ton D.ieu ”, émanant du Créateur, s’adresse à chaque détail de la création, comme le dit le Midrach, à sa conclusion : “ Lorsque le Saint béni soit-Il parla, sur le mont Sinaï, toute la création fut silencieuse, afin que les créatures sachent qu’il n’est nul autre que Lui ”, non seulement les humains et les animaux, mais aussi les minéraux. C’est ainsi que “ la mer devint immobile ”.
Ainsi, en chaque endroit où elle parvint, la Voix, “ Je suis l’Eternel ton D.ieu ”, fut intégrée par le lieu et les créatures qui s’y trouvaient. Partout où elle se trouvait, elle provenait directement de D.ieu. Telle est la précision apportée par Rabbi Chimeon Ben Lakich à propos des voix, qui, à l’évidence, exercent leur action sur la matière créée. En conséquence, quand un homme s’adresse à son ami, il y a un écho, mais il n’en fut pas de même pour la Voix du Saint béni soit-Il.
Ceci nous permet de faire le lien entre cet enseignement et le précédent, comme nous venons de le montrer et comme l’indique la formulation du Midrach Rabba, précédemment cité. Ces deux enseignements se suivent, car, après avoir cité les propos de Rabbi Chimeon Ben Lakich, on revient sur le fait que le monde était muet et silencieux. Et le Midrach conclut : “ Et, si tu es étonné par tout cela, sache que le Saint béni soit-Il, quand Il parla sur le mont Sinaï, fit taire le monde entier et dit : Je suis l’Eternel ton D.ieu ”. C’est bien clair.
Notes
(1) Le Rav M. G. Walk.
(2) Le Rav Yaakov Walk.
(3) Voir, à ce sujet, les lettres n°2689, 2769 et 3215.
(4) Du campement d’Israël.
(5) Qui est récitée, tous les jours, dans la prière du matin, avant Hodou.
(6) 1925.
(7) Dès lors qu’il n’a pas d’incidence hala’hique. On peut donc accepter des commentaires divergents.
(8) Voir, à ce sujet, le Likouteï Si’hot, tome 4, page 1092.
(9) En revanche, telle n’est pas l’explication ici. Ce phénomène ne fut pas uniquement moral.