Lettre n° 3325

Par la grâce de D.ieu,
2 Adar 5715,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Vous avez sûrement conservé une copie des courriers que vous m’avez adressé. Comparez donc vos premières lettres, votre déconvenue, vos tracas, à l’état d’esprit, radicalement opposé, qui est exprimé dans votre dernière lettre.

Puisse D.ieu faire que vous voyiez en cela une preuve tranchée du fait qu’à l’avenir, vous ne devrez pas vous affecter si l’un de vos besoins n’est pas immédiatement comblé, en fonction de ce que vous pouvez observer par vos yeux de chair. Parfois, quelques jours de plus sont nécessaires.

Cette décision n’est pas seulement indispensable pour votre bonne santé morale. Elle est, en outre, favorable à votre santé physique.

Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit, en tout ce qui vous concerne et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,