Lettre n° 3332
Par la grâce de D.ieu,
7 Adar 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav ‘Haïm Noa’h, qui est appelé docteur Denburg,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 29 Chevat et, par la suite, un exemplaire de votre livre sur les derniers chapitres du Choul’han Arou’h, que vous traduisez dans la langue du pays, avec ses commentaires.
A chaque époque, et surtout en cette génération orpheline, nombreux sont ceux qui, pour notre malheur et pour notre peine, “ disent à leur père et à leur mère, je ne vous ai pas vu ” et tournent le dos à la Tradition, car leurs parents “ gardent Ta Parole et respectent Ton alliance ”.
Puisse donc D.ieu faire, conformément à ce que doit être le rôle d’un Rav, que vous parveniez à insuffler un esprit de crainte de D.ieu, au quotidien, à tous les membres de votre communauté. Celui-ci s’exprimera dans l’action concrète, non seulement par des figures de style, mais également dans les sentiments du cœur.
Et, vous irez de la fin de votre livre vers son début, c’est-à-dire des lois du deuil, en faisant revivre les morts par les Paroles du D.ieu de vie, vers celles de la visite aux malades et de la guérison, jusqu’à ce que tous adoptent un mode de vie de personnes en bonne santé physique et morale, parce qu’elles mettent en pratique le Principe : “ J’ai placé l’Eternel en permanence face à moi ”, conformément au début du Tour et Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm.
Sans doute ne vous contentez-vous pas de ce qui est imprimé, mais vous recherchez tous les moyens et toutes les façons d’agir en ce sens, par un mot chaleureux, sans compromis, sans se limiter à la moitié, au tiers ou au quart, mais en empruntant le chemin de la vie, qui a été tracé pour nous par notre Torah, Torah de vie.
Avec ma bénédiction,
7 Adar 5715,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav ‘Haïm Noa’h, qui est appelé docteur Denburg,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 29 Chevat et, par la suite, un exemplaire de votre livre sur les derniers chapitres du Choul’han Arou’h, que vous traduisez dans la langue du pays, avec ses commentaires.
A chaque époque, et surtout en cette génération orpheline, nombreux sont ceux qui, pour notre malheur et pour notre peine, “ disent à leur père et à leur mère, je ne vous ai pas vu ” et tournent le dos à la Tradition, car leurs parents “ gardent Ta Parole et respectent Ton alliance ”.
Puisse donc D.ieu faire, conformément à ce que doit être le rôle d’un Rav, que vous parveniez à insuffler un esprit de crainte de D.ieu, au quotidien, à tous les membres de votre communauté. Celui-ci s’exprimera dans l’action concrète, non seulement par des figures de style, mais également dans les sentiments du cœur.
Et, vous irez de la fin de votre livre vers son début, c’est-à-dire des lois du deuil, en faisant revivre les morts par les Paroles du D.ieu de vie, vers celles de la visite aux malades et de la guérison, jusqu’à ce que tous adoptent un mode de vie de personnes en bonne santé physique et morale, parce qu’elles mettent en pratique le Principe : “ J’ai placé l’Eternel en permanence face à moi ”, conformément au début du Tour et Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm.
Sans doute ne vous contentez-vous pas de ce qui est imprimé, mais vous recherchez tous les moyens et toutes les façons d’agir en ce sens, par un mot chaleureux, sans compromis, sans se limiter à la moitié, au tiers ou au quart, mais en empruntant le chemin de la vie, qui a été tracé pour nous par notre Torah, Torah de vie.
Avec ma bénédiction,