Lettre n° 3340
Par la grâce de D.ieu,
13 Adar 5715,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham Dov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse au feuillet que vous avez joint à la lettre de ce jeune homme.
A mon sens, il faudrait s’efforcer, dans toute la mesure du possible, mais de manière diplomatique, qu’il quitte l’endroit où se trouve la jeune fille(2). En effet, nous demandons, chaque jour, dans la prière, “ ne nous soumets pas à l’épreuve ”.
De plus, il écrit que la lecture de votre lettre lui a causé de la peine. Il faut donc lui expliquer que l’on n’y peut rien et que la Hala’ha s’applique en tout état de cause. Bien plus, il doit être heureux d’en avoir eu connaissance pendant qu’il en est encore temps. En effet, notre Torah est une Torah de vie, au sens le plus littéral, ce qui veut dire qu’elle insuffle la vie, dans ce monde.
Par ailleurs, Torah est de la même étymologie que Horaa, enseignement. En conséquence, le fait de ne pas mettre en pratique ses enseignements, ce qu’à D.ieu ne plaise, va à l’encontre du bonheur et d’une vie digne de ce nom, pour tous ceux qui adoptent une telle attitude, pour le jeune homme comme pour la jeune fille.
En se préservant d’un tel comportement, il se sauvera lui-même et sauvera cette jeune fille de ce qui aurait pu être destructeur pour l’un et pour l’autre, ce qu’à D.ieu ne plaise.
En ces jours de Pourim, pendant lesquels “ pour les Juifs, ce fut lumière, allégresse et valeur ” à toute époque, D.ieu illuminera les yeux de chacun, afin que l’on voit la vérité, y compris en cet endroit et à cette époque.
Notes
(1) Le Rav A. D. Hecht. Voir, à son sujet, la lettre n°924.
(2) Avec laquelle une union est hala’hiquement impossible.
13 Adar 5715,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham Dov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse au feuillet que vous avez joint à la lettre de ce jeune homme.
A mon sens, il faudrait s’efforcer, dans toute la mesure du possible, mais de manière diplomatique, qu’il quitte l’endroit où se trouve la jeune fille(2). En effet, nous demandons, chaque jour, dans la prière, “ ne nous soumets pas à l’épreuve ”.
De plus, il écrit que la lecture de votre lettre lui a causé de la peine. Il faut donc lui expliquer que l’on n’y peut rien et que la Hala’ha s’applique en tout état de cause. Bien plus, il doit être heureux d’en avoir eu connaissance pendant qu’il en est encore temps. En effet, notre Torah est une Torah de vie, au sens le plus littéral, ce qui veut dire qu’elle insuffle la vie, dans ce monde.
Par ailleurs, Torah est de la même étymologie que Horaa, enseignement. En conséquence, le fait de ne pas mettre en pratique ses enseignements, ce qu’à D.ieu ne plaise, va à l’encontre du bonheur et d’une vie digne de ce nom, pour tous ceux qui adoptent une telle attitude, pour le jeune homme comme pour la jeune fille.
En se préservant d’un tel comportement, il se sauvera lui-même et sauvera cette jeune fille de ce qui aurait pu être destructeur pour l’un et pour l’autre, ce qu’à D.ieu ne plaise.
En ces jours de Pourim, pendant lesquels “ pour les Juifs, ce fut lumière, allégresse et valeur ” à toute époque, D.ieu illuminera les yeux de chacun, afin que l’on voit la vérité, y compris en cet endroit et à cette époque.
Notes
(1) Le Rav A. D. Hecht. Voir, à son sujet, la lettre n°924.
(2) Avec laquelle une union est hala’hiquement impossible.