Lettre n° 3523
Par la grâce de D.ieu,
1er Sivan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du premier jour de la Parchat Bamidbar, avec la demande de bénédiction qu’elle contenait. Vous me communiquez également l’avis du médecin sur votre état de santé. Et, puisse D.ieu faire que vous alliez de mieux en mieux, jusqu’à recouvrer toutes vos forces.
Vous évoquez le fait de diffuser une littérature convenable, au sein de l’hôpital. Il faut déterminer si celle-ci doit être offerte à la bibliothèque qui se trouve sur place, afin qu’un seul exemplaire serve à de nombreuses personnes. En effet, nos moyens ne nous permettent pas d’en donner un à chacun et, en outre, cela n’a pas grand intérêt. Bien plus, ce qui est gratuit n’a pas de valeur pour la personne qui le reçoit.
Par ailleurs, il faut prendre conseil auprès de ceux qui connaissent l’état d’esprit des personnes hospitalisées et établir une liste de livres parus aux éditions Kehot qui pourrait leur convenir. A réception de ces informations, nous ferons le nécessaire.
Ces jours sont propices, puisque nous nous rapprochons du temps du don de notre Torah, qui apporte la guérison au monde. En effet, le Midrach Chemot Rabba explique longuement que tous les Juifs étaient en bonne santé et intègres, quand ils reçurent la Torah.
Avec ma bénédiction de bonne santé, physique et morale,
1er Sivan 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du premier jour de la Parchat Bamidbar, avec la demande de bénédiction qu’elle contenait. Vous me communiquez également l’avis du médecin sur votre état de santé. Et, puisse D.ieu faire que vous alliez de mieux en mieux, jusqu’à recouvrer toutes vos forces.
Vous évoquez le fait de diffuser une littérature convenable, au sein de l’hôpital. Il faut déterminer si celle-ci doit être offerte à la bibliothèque qui se trouve sur place, afin qu’un seul exemplaire serve à de nombreuses personnes. En effet, nos moyens ne nous permettent pas d’en donner un à chacun et, en outre, cela n’a pas grand intérêt. Bien plus, ce qui est gratuit n’a pas de valeur pour la personne qui le reçoit.
Par ailleurs, il faut prendre conseil auprès de ceux qui connaissent l’état d’esprit des personnes hospitalisées et établir une liste de livres parus aux éditions Kehot qui pourrait leur convenir. A réception de ces informations, nous ferons le nécessaire.
Ces jours sont propices, puisque nous nous rapprochons du temps du don de notre Torah, qui apporte la guérison au monde. En effet, le Midrach Chemot Rabba explique longuement que tous les Juifs étaient en bonne santé et intègres, quand ils reçurent la Torah.
Avec ma bénédiction de bonne santé, physique et morale,