Lettre n° 3647

Par la grâce de D.ieu,
18 Tamouz 5715,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je viens de recevoir les exemplaires de la causerie prononcée le 20 Mena'hem Av 5715(1) et je vous en remercie. Je suis étonné et même très surpris que l'absence de relecture(2) n'en ait pas été signalée. Tout d'abord, peu nombreux sont ceux qui connaissent la signification du terme Ana'ha(3). De plus, on peut aussi imaginer qu'une Ana'ha soit effectivement relue, ce qui n'est pas le cas, en l'occurrence.

S'il vous en reste d'autres exemplaires, vous voudrez bien rectifier cette imprécision.

Nous attendons de bonnes nouvelles. Vous m'annoncerez donc que vous avez profité des jours de la libération, les 12 et 13 Tamouz, de la manière qui convient. Puisse tout cela se poursuivre, pendant le reste de l'année et avoir un effet concret.

Avec ma bénédiction,

Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,

Notes

(1) 1955, par le Rabbi lui-même, à l'occasion de la Hilloula de son père.
(2) Par le Rabbi, s'agissant de notes rédigées par ceux qui étaient présents quand il prononça ces propos.
(3) Désignant un texte rédigé par les auditeurs mais non relu par le Rabbi. Ce terme apparaissait sûrement sur la couverture de cette causerie.