Lettre n° 3648
Par la grâce de D.ieu,
18 Tamouz 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 15 Tamouz.
Je constate, avec effroi, que vous ne me dites pas un mot des jours de la libération, les 12 et 13 Tamouz. Or, il y a sûrement eu une réunion 'hassidique. Vous avez dû vous sentir encouragé, au moins pendant la durée de celle-ci. Vous pourrez donc maintenir tout cela, durant tout le reste de l'année.
Est-ce donc pour cela que vous avez risqué votre vie, dans le pays où vous vous trouviez auparavant, pour cela que vous avez vécu tous ces miracles évidents, jusqu'à ce que vous parveniez dans l'endroit où vous vous trouvez actuellement? S'agit-il uniquement de se faire du soucis sur la manière dont vous allez assurer votre propre subsistance, de même que celle des membres de votre famille? Faut-il que, quarante huit heures plus tard, ait disparu de votre esprit, jusqu'au souvenir de la célébration de la fête de la libération de mon beau-père, le Rabbi, de notre délivrance et de la liberté de nos âmes?
Comme vous me le demandez, je mentionnerai tous ceux que vous citez, à l'occasion de leur anniversaire, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Sans doute, chacun d'entre eux a-t-il, à sa manière, respecté les coutumes de l'anniversaire.
Puisse D.ieu faire qu'ils connaissent tous une année de réussite, matérielle et spirituelle à la fois.
Avec ma bénédiction,
N. B. : Je vous joins un fascicule présentant la suite du récit de l'emprisonnement. Celui-ci a été édité à l'occasion des 12 et 13 Tamouz. Vous en mettrez sûrement le contenu à la disposition du plus grand nombre. Le mérite public dépend de vous.
18 Tamouz 5715,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 15 Tamouz.
Je constate, avec effroi, que vous ne me dites pas un mot des jours de la libération, les 12 et 13 Tamouz. Or, il y a sûrement eu une réunion 'hassidique. Vous avez dû vous sentir encouragé, au moins pendant la durée de celle-ci. Vous pourrez donc maintenir tout cela, durant tout le reste de l'année.
Est-ce donc pour cela que vous avez risqué votre vie, dans le pays où vous vous trouviez auparavant, pour cela que vous avez vécu tous ces miracles évidents, jusqu'à ce que vous parveniez dans l'endroit où vous vous trouvez actuellement? S'agit-il uniquement de se faire du soucis sur la manière dont vous allez assurer votre propre subsistance, de même que celle des membres de votre famille? Faut-il que, quarante huit heures plus tard, ait disparu de votre esprit, jusqu'au souvenir de la célébration de la fête de la libération de mon beau-père, le Rabbi, de notre délivrance et de la liberté de nos âmes?
Comme vous me le demandez, je mentionnerai tous ceux que vous citez, à l'occasion de leur anniversaire, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Sans doute, chacun d'entre eux a-t-il, à sa manière, respecté les coutumes de l'anniversaire.
Puisse D.ieu faire qu'ils connaissent tous une année de réussite, matérielle et spirituelle à la fois.
Avec ma bénédiction,
N. B. : Je vous joins un fascicule présentant la suite du récit de l'emprisonnement. Celui-ci a été édité à l'occasion des 12 et 13 Tamouz. Vous en mettrez sûrement le contenu à la disposition du plus grand nombre. Le mérite public dépend de vous.